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Extrait

Extrait ajouté par pmpr 2013-04-21T22:02:23+02:00

—Mais tu ne supportais plus de la voir, tu disais...

—J'ai changé d'avis, coupa Isabelle. Et j'ai retrouvé mes bonnes manières, en même temps.

Bonsoir, laird Ian, cria-t-elle.

Judith était déjà dehors, à côté de Ian. Elle adressa un signe d'adieu à Winslow et à Isabelle avant de se diriger vivement vers la maison de France Catherine. .

Ian ne tarda pas à la rattraper.

—Winslow et Isabelle tiennent à vous dire qu'ils vous remercient infiniment de leur avoir apporté les présents de Margaret. Vous avez également rangé la maison, n'est-ce pas ?

—Oui.

—Pourquoi?

—Elle en avait besoin.

Ian continua de marcher à côté d'elle.

—Judith, ne rendez pas la situation plus compliquée qu'elle ne l'est déjà, murmura-t-il d'une voix rauque.

Elle courait presque.

—Je ne veux rien compliquer, dit-elle sèchement. Je vais de mon côté et vous du vôtre. J'ai déjà surmonté cette insignifiante petite attirance que je ressentais pour vous. Je ne me rappelle même plus vous avoir embrassé.

Ils avaient atteint la haie qui délimitait le jardin de France

Catherine quand elle proféra cet

énorme mensonge.

—Du diable si vous avez oublié ! gronda-t-il.

Il la saisit aux épaules et la tourna vers lui, puis il lui releva le menton pour l'obliger à le regarder.

—Que faites-vous ? s'indigna-t-elle.

—Je réveille vos souvenirs.

Il prit ses lèvres, étouffant toute protestation. Sa bouche était chaude, à la fois douce et insistante.

Elle eut l'impression que ses jambes ne la portaient plus, et elle s'appuya contre lui. Il la serra plus fort. Il ne pouvait quitter ses lèvres. Dieu, il ne se lasserait jamais de l'embrasser ! Elle lui rendait ses baisers avec une ardeur égale. Plus rien d'autre ne comptait pour elle. Elle eut une dernière pensée cohérente : il savait parfaitement apaiser sa colère !

Patrick ouvrit soudain la porte et étouffa un petit rire devant le spectacle qui s'offrait à lui. Ian l'ignora, quant à Judith elle était bien incapable de se rendre compte de quoi que ce fût. Ian releva enfin la tête pour regarder avec une fierté évidente la femme ravissante qu'il tenait dans ses bras. Elle avait les lèvres gonflées, les yeux encore voilés de passion. Et il eut envie de l'embrasser de nouveau.

—Rentrez à présent, Judith, tant que j'ai encore assez de sang- froid pour vous laisser partir.

Elle ne comprit pas très bien cette remarque, ni son air sombre.

—Si vous n'aimez pas m'embrasser, pourquoi avez-vous recommencé ? demanda-t-elle, un peu perdue.

II se mit à rire, et elle en fut mortifiée.

—Lâchez-moi, maintenant ! ordonna-t-elle.

—Mais je ne vous retiens plus...

Elle s'aperçut que c'était elle qui s'accrochait encore à lui, et elle recula vivement. Remettant de l'ordre dans ses cheveux, elle se dirigea vers la porte où elle aperçut un Patrick réjoui. Elle rougit violemment.

—Ne tirez aucune conclusion de ce que vous venez de voir, dit- elle. Ian et moi ne ressentons pas la moindre affection l'un pour l'autre.

—J'aurais pu m'y tromper, plaisanta Patrick.

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