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Liste des extraits

La croyance en la possibilité d'une guerre courte et décisive semble être l'une des plus anciennes et dangereuses illusions de l'homme

Robert Lynd (1879-1949)

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Ce pays a besoin d'une guerre victorieuse et brève pour endiguer le flot de la révolution.

V.K Plehve, ministre de l'intérieur russe à la veille de la guerre russo-japonaise (1903)

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La voix de Tankersley était plus profonde que dans son souvenir, elle grondait dans sa poitrine. Un filet des sentiments de quelqu’un d’autre s’insinua soudain dans le cerveau d’Honor : Nimitz lui transmettait les émotions de Tankersley comme il avait appris à le faire depuis Yeltsin. Elle n’y était pas encore habituée, loin de là, et leva la main pour lui enjoindre d’arrêter. Mais, ce faisant, elle reconnut la gêne qui habitait son interlocuteur : il regrettait les circonstances de leur première rencontre.

« Merci, fit-elle sur un ton plus naturel avant de désigner le scanner. Le capitaine Ravicz me montrait justement les dégâts. Voyez par vous-même. »

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Pile ce dont nous avions besoin, soupira-t-il. Deux va-t-en-guerre, l’un comme supérieur hiérarchique direct de l’autre, et de quoi créer une querelle immédiate entre celle-ci et le chef d’état-major d’une escadre de croiseurs ! » Il secoua la tête d’un air fatigué. « J’ai comme l’impression que ce déploiement va me sembler très long. »

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— Il est tombé dans les escaliers, répondit presque automatiquement Honor, sur quoi Henke émit un grognement sceptique.

— Évidemment. Spoiler(cliquez pour révéler)C’est pour ça que je t’ai retrouvée cachée sous tes couvertures et que Nimitz avait l’air prêt à défigurer le premier venu ! »

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On ne peut juger la prestation d'un officier qu'en tenant compte de ce qu'il savait au moment où il a pris sa décision.

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Dans ce cas Amiral, tout ce que je peux vous dire, c'est qu'elle est la meilleure. Nous avons eu de gros problèmes quand on nous a exilé à Basilic, et le commandant... eh bien elle a géré les problèmes, monsieur, et je ne l'ai jamais entendue élever la voix une seule fois pendant qu'elle s'en occupait. Vous connaissez la réputation qu'avait Basilic, et nous n'étions pas exactement le meilleur équipage qu'un commandant ait jamais eu. Pas à notre arrivée. Mais bon sang, amiral, nous l'étions en repartant !

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Elle se disait parfois que ce n'était pas de la fusion nucléaire mais des rapports et autres mémos que les vaisseaux de la Flotte tiraient leur énergie. Elle en rédigeait sans fin, et ConstNav se montrait lus exigeant encore que PersNav – surtout lorsqu'un Capitaine de Sa Majesté commettait l'imprudence d'abîmer le navire que les Lords de l'Amirauté lui avaient confié. Un malade avait-il convaincu ces messieurs de concevoir autant de formulaires dans le but à peine voilé de punir ces mécréants pour leurs péchés ?

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Il y a une règle d'or en matière d'analyse militaire : en fonction des ressources connues de l'ennemi, on détermine sa stratégie potentielle la plus dangereuse afin de pouvoir l'arrêter. On ne se contente pas d'espérer qu'il n'essayera pas cette stratégie.

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Nous la tenions pour responsable de notre affectation à Basilic en arrivant. Ce n'était pas sa faute, mais ça ne changeait pas nos sentiments et nous ne les cachions pas. Mais lorsque la situation s'est dégradée, nous l'aurions suivie en enfer. D'ailleurs, je crois que c'est exactement ce que nous avons fait... et nous le referions.

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