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Commentaire ajouté par CelinedeRoany 2019-10-16T23:45:00+02:00
Poubelle

Intriguée par les excellentes critiques lues sur L’ombre du Renard, j’ai décidé de commencer par le milieu et donc mon choix s’est porté sur Horrora Borealis, de Nicolas Feuz, paru en 2016.

Bien mal m’en a pris.

Nicolas Feuz, qui prend soin d’indiquer partout son statut professionnel (procureur), explique également, sous forme de boutade, qu’il n’est pas écrivain et, après avoir lu Horrora Borealis, je le crois sur parole.

Quand je lis un livre, je m'attarde sur plusieurs aspects :

le style, qui, à défaut d'être inspirant ou entraînant, doit a minima se faire oublier pour me permettre de m'immerger dans l'histoire. Il est ici assez pauvre.

les personnages : ils doivent être "en relief", prendre vie dans mon esprit, ne pas être faits d'un bloc, avoir leurs zones d'ombre et leurs qualités. Je dois ressentir quelque chose à propos d'eux ou au moins l'un d'entre eux doit éveiller quelque chose en moi. Rien de tout ça ici. J’avoue même avoir espéré qu’un bûcheron lapon sorte du bois pour truicider tout ce petit monde tant le sort des personnages m’indifférait. Ados stéréotypés – et pas crédibles, couple à la dérive, flic qui entend les cadavres de ses vieilles affaires lui parler, préoccupé par le cancer de sa femme et son opération de la dernière chance, flic qui n’arrête pas le suspect « parce que c’est un bon gars », aucun d’eux n’a pu éveiller le moindre soupçon d’empathie chez moi. Ils sont restés des mots jetés sur le papier, sans âme, sans corps, sans émotion.

l'histoire : ce que ça donne quand on raconte l'histoire en dix lignes. Je ne peux pas le faire ici sans spoiler, mais c'est pas brillant. L’histoire n’est pas du tout crédible et ne consiste, finalement, qu’en une litanie d’incohérences et d’invraisemblances toutes plus crasses les unes que les autres : une mère se demande si elle doit s’inquiéter de ne pas voir rentrer son fils de 8 ans qu’elle a laissé jouer dehors par -20 pendant une tempête de neige, dans un endroit qu’ils ne connaissent pas au fin fond de la Laponie? Une victime d’hydrocution suffisamment sévère pour y laisser deux doigts est renvoyée chez elle le jour même (je répète, nous sommes en Laponie en février) et va se faire un sauna ? Un flic boute le feu à sa moto neige au milieu de nulle part et en pleine tempête pour réchauffer ladite victime en hypothermie, "parce que l'hélico va arriver" ? Un des personnage distingue même les montagnes. En Laponie, oui, Monsieur.

Impossible d’énumérer toutes les invraisemblances sans spoiler le livre, si jamais tu as encore envie de le lire.

le thème : cette idée centrale autour de laquelle s'enroulent toutes les scènes et que le roman traite. Par exemple, la deuxième saison de Top of the Lake explore le thème de la maternité ; Dans la brume écarlate s'articule autour du thème de l'absence ; Le meilleur des mondes s'intéresse au thème de l'éthique, etc. Le thème est ce qui fait qu'un livre est inoubliable, même si tu n'arrives pas à le voir sur le moment. L'absence de thème est souvent ce qui fait que tu as oublié que tu avais lu ce livre. Les thèmes sont censés nous "apprendre" à vivre, nous montrer comment on peut faire, comment font les autres, etc.

Ici, ben ... rien. Je cherche bien, je ne vois pas. On trouve tout un tas de thématiques racoleuses dont l’empilement et l’absence de sens ne font que souligner la vacuité de l’intégralité du roman. La drogue, la tromperie dans le couple, l’illégitimité, les prédateurs sexuels sur internet, la grossesse adolescente, l’inceste, l’amnésie rétrograde. Rien n’est approfondi, tout est survolé et surtout, lorsqu’on referme enfin le livre et qu’on se demande : de quoi ça parle ?, force est de constater que, dans l'esprit, le vide se fait, plus grand et plus glaçant que celui des plaines de Laponie. C’est l’histoire d’un mec qui bute tout le monde, mais sans faire exprès, parce qu’il a oublié ce qu’il s’est passé en Laponie.

l'intrigue, c'est à dire la façon dont l'histoire est racontée : on alterne ici entre des scènes au festival Festineuch de Neuchatel et le déroule de ce qu'il s'est passé en Laponie, sous forme de flash-back. L'intrigue ici consiste en une succession de scènes dont on ne sait pas toujours si elles se sont passées ou si c'était un rêve et dont le narrateur n'est pas toujours bien défini. En général, l'intrigue est structurée en trois grandes parties : la première qui campe l'histoire (25% du livre), la seconde qui contient le déroulé de l'histoire (50%) et la troisième qui est le dénouement (25%). C'est à peu près respecté ici, même si j'ai du mal à situer le milieu, ce moment pivot où tout commence à basculer.

les détails en plus : c'est propre à l'auteur, et c'est ce petit plus qui peut expliquer qu'on n'aime pas un très bon bouquin ou qu'on adore un livre qui n'est pas terrible par ailleurs. Ici, impossible de se rattraper sur des descriptions particulièrement dégeu des sévices subis, sur la complexité des personnages ou le destin particulièrement cruel, comme dans un slasher classique. Non seulement il n’y a pas beaucoup d’imagination dans ce livre, mais il n’y a pas de talent pour lui donner vie ni aucun pouvoir d’évocation. Tu lis Dans l’ombre écarlate et sa nana « dessinée par Moebius et habillée par Marvel » et l’image te saute aux yeux. Tu ouvres Surface, et tu passes des trottoirs crades de Paris à l’air pur de la campagne. Rien qui transporte, non plus. J'ai bien compris que la Laponie, c'est froid, mais moi qui espérait retrouver un peu d'air pur et frais, qu'il soit Suisse ou Lapon, j'en ai été pour mes frais.

En définitive, je n’ai eu que l’haleine fétide « d’un de ces thrillers aux rebondissements rocambolesques qui se dispensent d’une intrigue cohérente en misant sur un lectorat peut exigeant », comme l’écrit monromannoir sur Babelio. Navrant, conclut-il, et je ne peux que plusseoir.

Résumé :

Tout ce sang qui coule aux pieds de Walker. La question n’est pas de savoir qui est ce cadavre avec une balle dans la tête. Non. La bonne question est : qu’est-ce qui s’est passé en Laponie ? Les souvenirs sont flous, mais ce qui est sûr, c’est que de longue date, Walker ne croit plus au Père Noël. Et vous ? Vous y croyez encore ?

http://www.mespolars.com/chr…/horrora-borealis-nicolas-feuz/

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Commentaire ajouté par Julie-176 2019-04-01T00:24:23+02:00
Lu aussi

Voilà le deuxième livre de la sélection pour le mois de mars dans la catégorie « Polar » (après « Dans les angles morts » d’Elizabeth Brundage dont vous pouvez retrouver ma chronique ici : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2019/03/dans-les-angles-morts-delizabeth.html) en lice pour le Prix des Lecteurs des éditions Le Livre de Poche. Il s’agit de « Horrora Borealis » du suisse, Nicolas Feuze.

Lorsque j’ai lu la quatrième de couverture où le journal « L’Express » évoquait l’auteur comme le Maxime Chattam suisse, cela a encore titillé plus ma curiosité nonobstant le résumé de l’histoire. Je ne connaissais Nicolas Feuz que par les couvertures de ses bouquins, n’ayant pas eu l’occasion de les lire. Grâce au « Prix des Lecteurs » dont je fais partie du jury, j’ai eu la chance de le recevoir dans la sélection du mois de mars qui - doucement - se termine déjà et cela a été véritablement une très bonne surprise !

Lors du festival musical Festi’neuch à Neuchâtel, des coups de feu sont tirés faisant plusieurs morts mais surtout une prise d’otage. Preneur d’otage et otage semblent avoir partagé des faits traumatisants mais ils devront retourner dans leurs souvenirs pour comprendre comment les choses ont pu tourner de la sorte. Mais que s’est-il passé en Laponie, pays des rennes, du Père Noël et des aurores boréales ?

Le résumé est assez nébuleux et c’est bien mieux pour le lecteur d’en découvrir toutes les subtilités du récit. Comptant un peu moins de 269 pages, j’ai été littéralement happée par le récit et eu du mal à le lâcher avant de l’avoir terminé.

Même si l’histoire, et surtout la fin, sont peut-être un peu rocambolesque, j’ai beaucoup aimé ce livre qui m’a fait à la fois découvrir la Laponie, la Suisse et plus particulièrement la ville de Neuchâtel. Les descriptions sont si réalistes que j’ai parfois eu l’impression de ressentir le froid glacial du cercle polaire alors je cuisais sous le soleil tropical du Cap-Vert.

J’ai trouvé que le suspens grandissait assez vite au fil des pages grâce notamment à une écriture assez incisive de l’auteur. Je voulais vraiment découvrir ce qu’il avait pu se passer en Laponie et connaître le destin de la famille Walker. Quand je pensais enfin avoir découvert le fin mot de l’histoire, l’auteur m’occasionne un total twist que je n’avais pas vu venir. Franchement, c’est bien tourné et ce, sans que le lecteur ne se doute d’un temps soit peu du final.

Peut-être parce que c’est invraisemblable mais l’auteur a réussi sa mission de me divertir et de m’avoir fait autant apprécié ce récit malgré le pan assez glauque de l’histoire mais on n’est pas dans un livre des Bisounours non plus. Cela pourra en heurter plus d’un, mais vous savez tout comme moi que les auteurs de thrillers ne font pas dans le monde des licornes courant sur des arcs-en-ciel et mangeant des pâquerettes.

En fin de compte, j’ai trouvé que la comparaison avec l’auteur Maxime Chattam n’était pas volée. Nicolas Feuz est un auteur que je compte à l’avenir suivre avec beaucoup d’intérêts et j’espère découvrir très vite son nouveau roman « Le miroir des âmes », paru en août 2018, chez Slatkine et cie.

Ma chronique sur mon blog : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2019/03/horrora-borealis-de-nicolas-feuz.html

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Commentaire ajouté par Goupilpm 2019-08-18T11:21:45+02:00
Bronze

Walker qui a l'impression d'être suivi se réfugie dans l'enceinte du festival de musique pour se fondre dans la foule. Dans l'enceinte il aperçoit qu'il semble reconnaître en train de se munir d'un pistolet qu'il a passé sous la clôture. Il tente de le désarmer mais des coups de feu partent causant la mort de victimes collatérales. Il tient en otage le finlandais et essaie de se souvenir de ce qui s'est passé lors d'un séjour familial en Finlande.

L'auteur prend son temps pour installer le décor dans lequel se situe l'action passée et présente ce qui n'est pas sans créer quelques longueurs dans ce cours roman. Du fait également de la longueur le lecteur est confronté à des descriptions incomplètes et l'on a l'impression que pour l'auteur le cadre de l'histoire revêt une importance secondaire.

Si les chapitres se lisent rapidement l'histoire se révèle dans ses débuts assez plate et de surcroît de nombreux éléments viennent perturber la lecture sans réel rapport avec l'intrigue.

Le séjour en Laponie qui revêt une importance capitale dans le récit manque dans la description de réalisme, certaines scènes sont totalement impossibles vue la rigueur de la température qui y règne.

Il faut attendre les trois quarts du roman pour que l'histoire soit véritablement lancée et que les révélations se succèdent et que le suspense arrive à son paroxysme.

L'écriture de l'auteur est maîtrisée et fluide malgré quelques longueurs et des passages qui n'ont aucun rapport direct avec l'intrigue principale.

Pas d'enquêtes dans ce thriller, les policiers ne sont présents que pour négocier et obtenir la reddition de Walker.

Le final paraît plutôt invraisemblable et l'on peut regretter que certaines questions restent sans réponse. Certaines scènes sont un peu crues. Au final un thriller somme tout passable.

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Commentaire ajouté par LOANDRE 2019-12-14T21:23:47+01:00
Or

Je découvre cet auteur et j'ai beaucoup aimé. Entre la Suisse et la Laponie, pays ou je suis allée en 2004, autant dire que je me suis tout de suite immergée dans l'ambiance glacial de ce roman. Ce thriller m'a tenue en haleine du début à la fin. Un vrai page-turner ou dès le départ, nous n'avons qu'une envie, c'est de savoir ce qu'il s'est passé en Laponie. L'histoire d'une famille ordinaire, mais pas tant que cela, en vacances dans le pays des aurores boréales. Vacances qui vont tourner au cauchemar avec des switch de fin surprenants. Un auteur à suivre.

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Commentaire ajouté par Sylvie-332 2020-02-05T16:04:15+01:00
Or

S'appuyant sur une construction parfaitement maîtrisée, Nicolas Feuz nous entraîne dans un suspense implacable jusqu'à un twist final époustouflant. En effet, si la réponse à " qu'est-ce qu'il s'est passé en Laponie ?" est un peu glauque et violente, c'est justifié par la surprise finale. Une fois ouvert, je n'ai pas réussi à lâcher ce livre tant il est passionnant ! Un très bon thriller que je vous recommande chaudement.

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Commentaire ajouté par marggaux 2020-02-18T00:39:53+01:00
Or

? Horrora borealis , Nicolas FEUZ

? Éditions Le Livre de Poche, Thebookedition.com

? 306 pages

? Thriller ? 1er que je lis de cet auteur et certainement pas le dernier!

? Dans ce roman, nous sommes en Suisse??au festival Festi’ Neuch, mais également en Laponie.

Lors de ce festival de musique, un jeune homme, Walker, est pris de panique... il vient de reconnaître un homme et pense que ce dernier veut le tuer. Walker lui prend son arme et dans la panique, tire sur des personnes innocentes, dont le chanteur du groupe. Il va prendre en otage un homme... de ce fait la police va dépêcher un négociateur.

Walker tient des propos incohérents sur la Laponie, sur une tuerie qui aurait décimé sa famille. Que s’est-il passé là-bas? Qu’est-ce qui relie les personnages?

L’auteur va donc nous proposer des aller-retour présent/passé et on va apprendre le drame qui s’est déroulé...

? La forme de ce roman peut réellement surprendre dans un premier temps. C’est un peu comme si l’auteur tentait de perdre le lecteur dans des temporalités différentes, mais au bout de quelques pages, on comprend pourquoi il utilise ce style et c’est totalement addictif.

J’ai apprécié l’ambiance glaciale de la Laponie, la description des grands espaces et de la nature.

J’ai adoré le twist final!

L’avez-vous lu?

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Commentaire ajouté par vallire74 2020-03-29T14:57:39+02:00
Argent

Il faut savoir que je suis fan de thrillers, mais pas de scènes trop crues... Alors, oui, il y en a bien ici plusieurs pas piquées des hannetons, avec des détails bien sanguinolents et glauques. Mais au-delà de cet aspect, le récit tient toutes ses promesses. Au fil des chapitres, un malaise s'empare du lecteur. Pourquoi la prise d'otage dérape-t-elle à ce point ? Qu'ont donc vécu son protagoniste principal et sa famille en Laponie qui expliquerait peut-être cette terrifiante situation ? Au fil des pages, des flash-back interpellent et provoquent un questionnement grandissant. Plus on avance, plus le récit est glaçant et pas uniquement à cause des moins trente degrés qui sévissent dans cette contrée nordique. Ce thriller-polar (on oscille entre les 2 genres) est assurément sans temps mort et riche en rebondissements rondement amenés. Hormis un détail un peu "gros" à mes yeux, que je vais taire afin de ne rien spoiler, ce roman et cette plume m'ont plutôt convaincu.

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Commentaire ajouté par lecture_isst 2023-03-13T10:04:36+01:00
Or

Bon alors là je ne sais quoi dire !

Géantissime

Grandiose

Fabuleux

Extraordinaire

L'histoire est prenante dès la première page.

Le récit est vif, sans interruption, directement à l'essentiel

Et pourtant le décors décrit est complet, je me suis facilement projetée en Laponie dans ce froid intense (pour Neuchâtel plus facile puisque je connais)

Quand à l'histoire et les personnages bluffant.

Mais je ne dirai absolument rien

Faut juste lire ce sacré livre

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Commentaire ajouté par Martine-Chantal 2023-12-21T21:23:17+01:00
Diamant

Un bon thriller efficace avec des scènes horribles mais une fin que l'on n'attend pas.

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Commentaire ajouté par Vivi78 2024-04-25T20:49:49+02:00
Argent

Un festival de musique sur les bords du lac de Neuchâtel, cela devrait être un cadre sympa. Avec Nicolas Feuz, c'est un peu plus sanglant et glaçant que cela...

Walker a vécu un drame en Laponie lorsqu'il était enfant. Mais il ne s'en souvient pas. En déambulant dans le festival, un visage lui rappelle quelque chose et des souvenirs commencent à émerger.

Nicolas Feuz nous plonge au coeur d'un drame familial qui sera enfin élucidé mais le lecteur a intérêt à bien s'accrocher.

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