Commentaires

Bon thèmes et bonnes idées. Malheureusement j'avais de la misère à m'attacher aux personnages et il y a eu des moments qui porte à confusion dans l'histoire. Par exemple, je n'ai toujours aucune idée à quoi un icône ressemble. Je m'ai fait une image, mais il n'y avait pas de description claire.

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ICONS est un roman très sympathique, qui se lit ultra facilement et qui possède une ambiance très agréable à découvrir. J'ai passé un très bon moment aux côtés de Dol, Ro, Tima, Lucas, Fortis et Doc, et j'ai adoooooré retrouvé la magnifique plume de Margaret Stohl. S'il y a beaucoup de bons éléments dans ce roman, je dois bien avouer qu'au final, je reste un peu sur ma faim. Les rebondissements présents ne sont pas du tout bouleversants, et le manque de détails et d'informations du début à la fin de l'histoire m'a vraiment gêné. Malgré cela, l'histoire d'ICONS reste vraiment hyper divertissante et vraiment rafraîchissante à lire. Si ICONS n'est pas parfait, le livre possède au moins le mérite de nous faire voyager en dépit des bémols qu'il possède, et c'est tout ce que je demande lorsque je plonge dans un roman.

Commençons avec un des défauts de l'intrigue, vu qu'il nous saute aux yeux dès les premières lignes : Margaret Stohl nous livre une histoire dont elle pense que nous savons déjà tout. Je m'explique : en quelques pages, elle nous dépeint un univers qui possède une mythologie débordant d'évènements et de renversements importants sans nous en offrir les détails. On reçoit une foultitude d'informations d'un seul coup, sans avoir, au préalable, pu découvrir les bases de ce monde dévasté. J'ai eu l'impression que l'auteure faisait comme si nous savions déjà tout. Sauf que nous ne sommes pas dans sa tête ! J'ai eu beaucoup de mal à assimiler les détails de son histoire puis à m'imaginer cet univers riche et intrigant. C'était réellement frustrant, vu que le climat était prenant au possible. Je voulais avancer dans l'histoire, mais j'étais vraiment gêné par cette impression de "trop". Trop d'informations qui viennent trop rapidement pour qu'on puisse totalement entrer dans le récit et se laisser aller. C'est dommage, vraiment !

Et alors que nous découvrons cet univers à la fois trop peu approfondi mais intéressant, nous faisons également la rencontre de Dol et de Ro, deux adolescents par lesquels j'ai été complètement charmé ! Il y a quelque chose chez Dol de torturé et de noir, qui m'a irrémédiablement attiré vers elle. J'ai beaucoup aimé découvrir ses pensées et ses réflexions, ses mots et ses sentiments. Son personnage m'a beaucoup plu car on sent bien qu'il possède un énorme potentiel, et qu'une évolution est possible. J'ai également beaucoup aimé sa relation avec Ro, son meilleur ami depuis toujours. Le lien qu'ils entretiennent depuis des années m'a énormément plu. J'ai complètement craqué pour certains de leurs dialogues, à la fois profonds et gorgés de messages lourds et saisissants.

En avançant dans le roman, nous découvrons également Tima et Lucas, deux autres personnages qui m'ont touché eux aussi. Si j'aurais aimé en apprendre plus sur Tima, j'ai adoré découvrir son histoire et creuser derrière son caractère à la fois dur et sauvage. J'espère pouvoir la découvrir encore plus profondément dans la suite de la série ! Lucas, quant à lui, me laisse un peu indéterminé. D'un côté, il est intelligent et adorable, et son passé m'a chamboulé. Néanmoins, ses quelques réactions sans queue ni tête, ses décisions prises trop rapidement et son impulsivité m'ont un peu dérangé, et ce à plusieurs reprises. Du coup, je reste un peu sur mes gardes pour le tome 2.

Bien évidemment, que serait un roman de Margaret Stohl sans romance ? Si celle-ci est légèrement mise de côté pour laisser plus de place aux retournements de situation, elle reste bien présente... Et un peu lourde. Vous savez pourquoi ? Parce que nous avons affaire à une sorte de triangle/carré amoureux plutôt étrange. Étrange et mal mené, étonnamment. En effet, les personnages développent des sentiments amoureux comme ça, en un clin d'œil, sans grandes explications. Je n'ai vraiment cru aux romances qui voient le jour dans ICONS. C'est trop précipité, trop couru d'avance, pas assez naturel. Puis surtout, ce carré n'a aucune raison d'être. Les couples auraient dû rester tels qu'ils étaient au départ. Enfin, tels que j'ai cru qu'ils étaient, apparemment. Du coup, je n'ai pas vraiment été comblé par cette partie de l'intrigue.

Ce n'est pas vraiment plus glorieux côté rebondissements, d'ailleurs. L'histoire a beau se lire avec une avidité évidente, ce n'est certainement pas grâce au retournements de situation. Pour moi, le résumé en dévoile largement trop - et si vous l'avez oublié en lisant cette phrase, ne remontez surtout pas jusqu'à ma traduction. En fait, on ne fait que (re)lire ce qu'on apprend dans la présentation du roman. Les surprises n'en sont donc pas vraiment, au final. Il n'y a que les derniers chapitres qui s'avèrent être inattendus... Et encore. Je n'ai ni vibré ni frissonné devant les épreuves qu'ont traversés Lucas, Ro, Tima et Dol. C'est dommage ! Ce point rejoint d'ailleurs celui premièrement exposé de l'univers riche mais pas assez détaillés pour nous, pauvres lecteurs dépourvus. Je m'attendais à être bouleversé par l'histoire des Icônes et du Jour où tout a basculé, mais pas du tout ! Comme nous n'avons aucune information, difficile d'être troublés. Puis comme les évènements importants nous sont livrés dans le résumé, la possibilité d'être surpris chute encore. Bon ok, j'accentue légèrement le truc, quand même, puisque je n'ai pas trouvé cela si désagréable de découvrir les éléments cités dans la présentation. Ce n'est pas agaçant, mais ce n'est pas excitant non plus. Dès lors, on ne lit plus pour être enivrés ou grisés, mais plutôt pour se divertir sans attendre la moindre émotion. Frustration, quand tu nous tiens.

Vous savez quoi ? Mon ressenti m'énerve plus qu'autre chose, parce que l'histoire possède pourtant une chose qui m'a énoooooooooooormément plu : l'écriture de Margaret Stohl. Cette plume m'avait manqué, et je dois bien reconnaître que j'ai corné un grand nombre de pages pour relire certains de ses mots dévastateurs. Comme dit plus haut, Dol m'a fait craquer grâce à sa personnalité torturée, elle-même rendue possible grâce à l'écriture de l'auteure. Cette dernière maîtrise les mots à la perfection ( vraiment ) et nous permet dès lors d'être comme littéralement absorbés dans son univers. Chaque page est un délice pour les yeux et pour notre passion pour la lecture. Margaret Stohl nous offre de superbes métaphores et comparaisons qui m'ont achevé, ainsi que certains passages descriptifs à couper le souffle ! Tout aurait été tellement parfait si les rebondissements et la romance avaient été mieux construits ! Je me suis tout simplement régalé grâce à cette plume addictive et chargée d'émotions intenses.

J'ai refermé ICONS avec une drôle d'impression : d'un côté, la fin me plaît puisqu'elle n'est pas spécialement ouverte et qu'elle promet de belles choses pour la suite. D'un autre, je me suis dis "tout ça pour ça ?" car, quand j'y repense, il ne se passe pas d'évènements majeurs ou poignants dans ce roman. C'est assez bizarre comme sensation, en fait. Malgré tout, je reste impatient de lire le second opus de cette série. Pour moi, ICONS pose les bases - d'une manière un peu maladroite, certes - pour une saga qui peut devenir haletante et palpitante si l'auteur prend les bonnes décisions. Seul l'avenir nous dira si la série vaut la peine d'être lue ou non !

En résumé, ICONS est une lecture en demi-teinte, mais qui possède plus d'aspects positifs que négatifs à mes yeux. Si, au départ, l'imprégnation de l'univers est assez laborieuse, les choses se dénouent grâce aux quatre héros que nous rencontrons. Dol est un personnage ultra plaisant à découvrir, et ses trois amis nous charment également ( bien que j'ai encore quelques doutes concernant Lucas ). La romance est plutôt décevante, et les rebondissements n'en sont pas vraiment, faute à un résumé qui en dévoile trop. A contrario, nous redécouvrons la plume ultra passionnante et enivrante de Margaret Stohl et, rien que pour ça, ICONS vaut le détour. A mes yeux, ce roman est une découverte à faire si vous avez besoin d'une histoire qui change un peu sans être parfaitement maîtrisée. Le roman possède quelques défauts, mais ils ne freinent absolument pas notre lecture, puisque l'ambiance reste très prenante et intrigante. J'attends désormais la suite pour pouvoir me faire un jugement complet, et j'espère de tout cœur que Margaret Stohl me surprendra plus dans le second tome de sa nouvelle saga !

ICONS est un livre génial, il se lit facilement et c'est un monde nouveau à découvrir. J'ai adorée lire à nouveau du Margaret Sthol mais certains defauts sont présents : L'auteur ne nous donne pas d'informations sur ce qui c'est passé avant le Jour. L'auteur nous livre donc un monde dont elle pense que nous savons tout.

Mais j'ai tout de meme été attiré par Dol et Ro, deux personnages qui m'ont charmés dans leur relation et le dialogue entre deux.

J'ai adoré le personnage de Lucas mais s'il reste pour moi mystérieux.

L'écriture de Margaret Sthol m'avait beaucoup manquée. Son écriture n'est pas comme les autres, son style est précieux. A vous de voir maintenant par vous meme. :)

J'ai été... étonnée par ce livre, et malheureusement, un peu déçue. D'après le résumé, ça m'avait l'air d'être une dystopie entraînante et efficace, sur ce point là, je n'ai pas tout à fait été comblée.

Surprenante histoire, hors du commun, un mélange de science-fiction, de dystopie, de fantasy, peu être. L'écriture de l'auteure, on ne peut pas le lui enlever, est belle et poétique, et comme, n'ayant lu que les Lunes de ce même auteure, je fus surprise qu'elle aborde un tel sujet.

Dol, Dolly, Doloria, est un personnages, que je pense, à besoin d'être développée, ou plus précisément de SE développer soi-même, au début du livre, jusqu'à la "bataille finale", elle est effacée, elle est les autres, les pensées des autres, elle est triste, plate, pas soi même, et je pense que la fille qu'elle est sensé trouver pour lui remettre les figurines, n'est autre que elle, elle qui pense par elle-même, qui s'insurge, qui ne se laisse pas piétiné par les sentiments et les sensations. Et vers la fin, elle est sur le bon chemin.

Ro, Le brasier incandescent, j'aime l'amitié qu'il y a entre lui et Dol, je ne pense pas qu'une histoire d'amour serait bénéfique, ou du moins qu'elle soit mieux présenter et aborder que dans ce premier tome. Ce personnage me fait penser à Gale, de Hunger Game ; un peu virulent, fidèle, qui est allumé par la rage du Système et qui ne peut pas vivre tant que ce dernier n'est pas détruit, brique par brique de ses propres mains.

Lucas, est fidèle. Envers les mauvaises personnes. Il veut, juste comme tout être humain, l'affection de sa mère, et qui comprend à la fin, qu'il ne l'aura jamais.

Bref, un bouquin un peu lent, les moments à l'Ambassade essoufflent l'histoire. Des personnages composés d'une fille, de son ami d'enfance, d'un bel inconnu et de la meilleure amie de ce dernier, hostile. Banal. Efficace. On voit déjà le triangle amoureux à cinq kilomètres, comme les ondes d'une Icône. Après, ça reste un livre bien, un peu compliqué, pas facile à lire ; personnellement, je n'ai pas tout tout à fait compris, mais ça rajoute un peu de mystère qui me fera lire le prochain tome.

Ce livre m'a vraiment, vraiment déçue.

J'étais pourtant impatiente de le découvrir, après la critique d'Ally Condie, auteur de Promise, mais je suis bien moins séduite qu'elle.

Déjà, cela commence d'une façon assez banale, puis d'un coup, tout s'enchaîne trop vite, on s'emmêle, on s'ennuie et on décroche. Dol est très "froide", on ne la cerne pas, à l'instar des autres personnages, Ro (violent), Lucas (le plus sympathique à mon goût, bien qu'un brin agaçant et ennuyeux), Tima (c'est quoi cette manie de se broder la peau?? Et je ne comprend pas son caractère changeant/double) etc.

De plus, les descriptions des environs manquent, on sent comme un manque de contrôle, les lieux paraissent vides.

Bref, je ne conseille pas ce livre, qui m'a fortement étonnée; on en faisait pourtant maintes louanges (dans les autres commentaires aussi...). Voilà, j'espère que cela vous parlera.

j'ai pour ma part également un avis plutôt mitigé !

L'écriture est très bonne mais pour que je rentre vraiment dans un livre j'ai besoin de m'attacher aux personnages, de m'y intéresser ... Ce que je n'ai pas réussit à faire. Leur comportement extrême peut être ... Seul Lucas m'a paru intéressant un temps mais finalement non. C'est dommage car le scénario et l'univers auraient pu me transporter, mais il manquait trop d'éléments ! J'étais sans cesse perdue dans ma lecture, je ne comprenais pas, ne visualisais pas. Et puis la Chute m'a mise vraiment mal à l'aise, ça m'a dérangée mais je ne sais pas pourquoi !

Et pareil, les maîtres supérieurs je n'ai pas compris, on aurait limite dit qu'ils n'appartenaient pas à l'histoire au fond !

Bref ça occupe mais ce n'est pas le livre du siècle selon moi ...

Il est assez difficile de rentrer dans l'histoire (en fait on y entre jamais vraiment, même à la fin du roman), j'avais du mal à m'attacher aux personnages. Le style d'écriture est particulier, il ne fait pas assez ressortir les émotions des héros, des situations, des souvenirs évoqués...

Et c'est bien dommage, car l'histoire est plutôt sympathique, mais il faut se "forcer" pour le lire en entier.

J'ai bien envie de connaître la suite de l'histoire (il y a une tome 2) mais je ne sais pas si je le lirai...

--> Un peu déçue

L'idée de départ n'est pas mauvaise, mais j'ai finit ce livre aussi peut avancée que je l'étais lorsque je l'ai commencé. Je n'ai rien compris. Je l'ai lu donc si, théoriquement j'ai compris quelque chose, mais le problème, c'est que je trouve que les personnages ne sont pas attachants alors que je considère que c'est plutôt important dans un livre. Je ne retrouve pas du tout le style de 16 Lunes que j'espérais en quelque sorte voir réapparaître entre ces pages. C'est un livre que j'ai lu pour passer le temps, mais je ne le relirai pas et ne lirai pas la suite, c'est certain.

Je suis assez partagé sur ma lecture, je ne sais pas si ce livre est bien ou pas. J’ai divisé ce livre en deux parties.

La première partie correspond aux 93 premières pages. La lecture est très troublante. J’ai eu du mal à m’imaginer le décor et les explications sont vagues. Il manque quelque chose pour que ce soit compréhensible. Ce manque d’explications augmente la sensation de trouble.

Le début est dur à comprendre. Beaucoup de mots qui apparaissent n’ont pas d’explications ce qui désoriente. Je trouve qu’il est alors compliqué de comprendre ce qui se passe, qui est qui ou encore ce que ressent le personnage de Doloria. C’est assez confus et ça peut freiner l’avancer de la lecture ou donner envie de l'arrêter.

Pendant longtemps, on ne sait pas ce qu’il se passe, on ne comprend pas grand chose et on est dans le flou.

Ce qui est sympathique à la lecture, c’est les coupures qu’il y a à la fin de chaque chapitres. Ce sont des parties de dossiers classé secrets, des recherches. Il amènent des informations supplémentaires à la lecture. Ils intriguent un peu au début parce qu’on ne comprend pas tout mais ils ont leur importances. Cependant ce manque d’informations me gêne constamment. On est intrigué et on a envie de comprendre. Le suspens est tout de même bien mis en avant. Ces coupures sont agréables.

L’autre partie est plus claires et plus intéressante.

Le brouillard s’éclaire et la lecture commence vraiment. Il y a plus d’actions. La lecture parle des seigneurs, des icônes, des chantiers et de pleins d’autres choses. Il y a un mystères tout autour de ça et nos personnages vont essayer de faire les lumières dessus. L’histoire est bien tournée, il y a du suspens, des rebondissements inattendus.

Cependant il manque beaucoup trop de détails sur l'invasion extraterrestre. Il nous manque des informations sur sur les seigneurs, les icônes, les chantiers (je pense que c’est fait exprès). Trop de choses reste vague. Je n’ai pas réussi à me représenter un icône, les explications étaient flou, je me suis fait une brève représentation mais pas assez pour comprendre ce que ça représentait vraiment. Les maisons des seigneurs c’est pire, je ne sais pas du tout ce que c’est, ni même ce que ça représente.

Les personnages sont surprenants et ils ne dévient pas de leurs rôles. Utilisé les sentiments exacerbé est une bonne idée. Cependant, des quatre personnages (Tima, Lucas, Furo, Doloria), je n’ai pas de préférence. J’ai eu du mal à m’accrocher aux personnages, j’ai été happée par leur personnalités.

Doloria, en empathie, devient effacé au fur et à mesure de la lecture. Elle est bien présente au début de l’histoire. On voit tout de son point de vue, on est dans sa tête. Elle ressent les sentiments mieux que personnes. Par le fait qu’elle devient effacé, elle n’est plus assez elle même.

Ro est franchement énervant par moment. Il ne se contrôle pas et seul Doloria arrive à le calmer. Mais je l’apprécie tout de même.

Tima, j’ai eu du mal avec elle au début. J’ai eu l’impression qu’elle était incapable de ressentir quoi que ce soit, peu d'émotion. Cependant, cet impression s’est dissoute peu à peu et j’ai découvert la vrai personne qu'elle était. Je l’apprécie vraiment.

Lucas, j’ai eu du mal à le cerner au début. Gentil? Méchant? Je ne savais pas trop. Je comprend mieux maintenant. Il ne demande qu’à ce faire aimer, et souvent par les mauvaises personnes. Il va prendre de mauvaises décision pour simple but de se faire aimer.

Les idées de ce livre sont originales et très bonnes. Dans le principe, c’est super. Cependant, il manque des explications et des descriptions. L’auteur à tout de même une belle écriture.

L’épilogue, que dire de ces dernières pages.... décevantes! Je ne voit pas l'intérêt qu’il y a de les mettre. Elles apportent rien de plus à la fin, je trouve que c’est laborieux.

Un avis plutôt mitigé, avec des bons et des mauvais points. Je pense que c’est un bon livre mais il faut vraiment vraiment s'accrocher pour tout comprendre, j’ai moi même eu du mal !!!

Je m'attendais à un truc pas mal. Et c'était vraiment nul. Grosse déception, j'ai pas pu le finir. L'histoire est bancale.