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Extrait ajouté par LiliMatoline 2021-08-17T11:08:29+02:00

Chapitre 2 :

Anaïs

«… — C’est ton copain qu’il faut remercier !

— Padon ?

— Pappas machin. C’est bien lui qui lui retourne le cerveau et l’emmène à l’autre bout de la France ?

Alors là, il manque pas de culot, celui-là.

— Dis-donc, c’est pas toi qui fais la tête depuis des mois à Annabelle ? Tout ça parce qu’elle s’est trouvée un mec ? Et puis, pardon, mais trois heures de route pour aller dans le Sud, je crois que ça va pas te tuer, si ? Mais si t’es aussi pénible tout le temps, je comprends qu’elle n’ait pas très envie de te voir !

Il plisse les yeux comme s’il cherchait une bonne répartie.

— On était très bien avant que vous ne débarquiez, toi et ta bande.

Je me lève, échauffée, et le regrette aussitôt quand son regard se braque de nouveau sur mes seins.

— Annabelle, elle est heureuse avec Pappas. Et si tu étais vraiment son ami, tu t’en serais rendu compte ! Tu es juste jaloux.

Le dernier mot claque comme une insulte et il bondit à son tour.

— Ne parle pas de ce que tu ignores !

— Et toi, arrête de me chercher, parce que je n’y suis pour rien si elle est partie !

Il se retourne violemment et croise les bras sur son torse. Quand je pense que j’avais tellement envie de le revoir, lorsqu’on organisait des soirées ! ...»

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Extrait ajouté par LiliMatoline 2021-08-17T10:55:00+02:00

Prologue :

Gauthier

«… — C’est chaud, hein ? continue le premier comme si on était des vieux potes. T’es pas le seul à te sentir dépassé, tu sais. La fac, c’est pas le lycée, surtout celle de médecine.

Il fait une pause avant d’ajouter avec un sourire mauvais :

— Et ça va pas aller en s’arrangeant.

— Merci, ça me rassure, dis-je en me mettant debout, décidé à les ignorer.

Je soulève mon sac de cours que je balance sur mon épaule, et ils se lèvent comme s’ils comptaient me suivre. Je leur lance un regard noir, que le blond ne semble pas remarquer.

— Tu sais, si tu veux un truc pour tenir et garder le cap, j’ai ce qu’il faut. Pour te détendre, aussi, tu as l’air d’en avoir franchement besoin.

— J’ai besoin de rien, merci.

Je longe l’allée et déboule dans le fond de l’amphi, mais ils sont de nouveau là, devant les portes battantes qui sont fermées.

— Attends, ne pars pas si vite. Écoute, je veux juste que tu te sentes bien, c’est tout. Prends ça, dit-il en me tendant un petit sachet avec de l’herbe dedans. Amuse-toi, détends-toi, tu verras, ça fait du bien...»

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Extrait ajouté par MarinaRose 2021-08-16T18:34:48+02:00

— On est bien, là aussi, non… ?

Quand je comprends où elle veut en venir, je me sens bouillonner dans chaque cellule de mon corps. Je m’accoude pour la regarder, soudain intimidé. Je lui chope une mèche de cheveux et la fais crisser sous mes doigts.

— C’est bizarre de rester ici, non ? C’est peut-être la planque d’un gamin ?

Elle s’agrippe à mon tee-shirt et se soulève pour murmurer contre ma bouche :

— C’est la nôtre, maintenant…

Je n’hésite plus et me rue sur elle comme un malpropre. Elle pousse un drôle de gémissement quand je m’écrase de tout mon poids sur elle et on bascule sur le côté pour la libérer.

— Pardon !

Elle rit et crochète sa jambe autour de la mienne, m’arrimant à elle. La banquette n’est pas très large et je doute qu’on fasse long feu dans cet endroit insolite.

— Tu veux qu’on arrange un peu ? demandé-je en regardant autour de moi.

— Je rêve ou tu cherches à gagner du temps ?

— C’est-à-dire ?

— Je te sens timide, tout à coup…

Je me redresse, indigné, glisse du canapé et tombe lourdement sur le cul, avec elle.

— Tu vois maintenant ce que je veux dire !

Elle éclate de rire en basculant la tête en arrière et se positionne à califourchon sur moi pour se relever. Alors je n’y tiens plus, écrase ma paume entre ses deux seins, dérape pour encercler sa nuque et la ramener à moi. Tant pis pour le confort. Lorsque nos bouches se percutent, j’oublie la dureté du sol dans mon dos, la brise qui se lève et me fait frissonner, à moins que ce ne soit elle. Je ne sais même plus où je suis quand elle se plaque contre moi et que sa poitrine remonte sous son débardeur. J’emprisonne son petit cul musclé avec mes mains et le masse tendrement, puis je sens dans sa poche une bosse qui m’intrigue. J’y glisse deux doigts et me décale pour voir si c’est bien ce que je crois. Oui ! Trois capotes reliées entre elles !

— Ben dis donc ! T’étais sûre de ton coup !

Morte de honte, elle se cache le visage dans mon cou, avant de le lécher et d’onduler sur mon érection qu’elle apprivoise.

— C’est quand je suis allée chercher la couverture, dans la chambre… J’ai pensé à toi, toute la soirée, j’avais tellement envie qu’on se retrouve enfin… Je… je les ai piqués à Natalia.

Je pouffe avec elle et encercle ses mâchoires pour que nos yeux se trouvent. Elle balbutie :

— Mais c’est pas pour ça qu’on doit…

— Je sais.

— Aller jusqu’au bout, finit-elle.

— Je sais…

Notre baiser reprend, plus langoureux, plus exigeant. Elle a une manière de me laper qui me rend dingue, j’en ai les poils qui se dressent et la queue qui frétille. Maintenant j’en suis certain : je n’ai jamais désiré personne comme elle. C’est très bestial, instinctif, je ne réfléchis plus et ne pense qu’à agir. Je me fous d’hier et encore plus de demain. Seul le moment présent compte, pour nous deux.

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