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Extrait ajouté par Pamie 2013-01-05T00:21:59+01:00

Quand les langues de feu léchèrent nos corps, la souffrance fut telle que je ne pus réprimer mes hurlements, mais elle n'était rien comparé à celle que mon coeur éprouvait après ce que j'avais fait. Mourir pour elle était ce que je pouvais faire de mieux.

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Extrait ajouté par Pamie 2013-01-05T00:22:20+01:00

La violence de l'attaque de Lucrezia. La panique ressentie quand les canines avaient effleuré sa peau et déchiré sa gorge. La douleur épouvantable, le feu parcourant ses veines pendant qu'elle s'abreuvait de son sang. Les soubresauts de son corps refusant la perte de son fluide vital. Son envie de crier, alors qu'aucun son ne pouvait franchir ses lèvres. Des larmes coulant sur son visage, au moment où elle se délectait de son essence. Son rire dément, ses humiliations, ses tortures... Lucrezia... Dieu, qu'il l'avait maudite ! Tant de fois il lui souhaita la mort, sa délivrance...

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Extrait ajouté par CoeurdeGivre 2015-12-09T23:48:53+01:00

" Je me fis le serment de ne jamais la laisser, quoi qu'il puisse advenir... je ne supporterais pas de la savoir en danger, seule. Je n'ignorais pas ce qui allait se passer quand elle retrouverait ses esprits... Elle me verrait comme un ennemi. Mais j'étais sûr de pouvoir l'aider. Après tout ce que j'avais subi, je savais quoi faire, malheureusement. Je devrai prendre des décisions, même si cela allait certainement à l'encontre de son avis.

Le médecin vint me voir et me rassura, ses jours n'étaient pas en danger, mais elle avait de multiples contusions. Des côtes ainsi que son poignet droit étaient cassés. Elle n'avait pas perdu suffisamment de sang pour avoir besoin d'une transfusion. Ses plaies nécessitaient des soins.

J'avais le choix: soit ils lui faisaient des points de suture, soit on appliquait de l'ichor de vampire sur les lésions pour accélérer la cicatrisation.

Je n'hésitai pas une seconde. Je le suivis et m'incisai la paume, les dents serrées, pour donner de mon sang. On lui en passa sur les plus grosses blessures et ils lui mirent une sorte de pansement pour en rapprocher les bords. Dans quelques jours, elles auraient disparu. J'hésitai un instant...

La coupure à mon avant-bras ne s'était pas encore refermée. Je me demandais si je ne devrais pas lui faire boire mon sang. Cela aurait réglé bien des problèmes et en aurait créé de nouveaux, mais au moins, elle serait en sécurité. Je sentis la main du médecin sur mon épaule alors que je la regardais dormir après qu'il lui ait administré des sédatifs.

- Non, Dante... Tu ferais une erreur... Laisse-lui le choix...

De nouveau sur la civière, ils l'emmenèrent à l'étage où une chambre avait été préparée avec un équipement médical approprié. Après l'avoir installée sur le lit, ils lui mirent des perfusions et un vampire resta à ses côtés pour la veiller.

Après m'être changé et lavé tant j'étais couvert de sang, je redescendis en ville chercher ma voiture. Pendant qu'elle dormait, je ne pouvais rien faire de plus. A mon retour, je m'assis sur la terrasse, j'avais besoin d'être seul quelques instants. Je me laissai aller dans le grand fauteuil de toile, fermai les yeux et me détendis, submergé par mes émotions, celles que j'avais fait taire pendant des décennies, les croyant perdues à jamais.

Je ferai tout pour elle, et je mettrai tout en oeuvre pour qu'elle retrouve le goût de vivre. Je tuerais à nouveau pour elle s'il le fallait, sans l'ombre d'une hésitation.

Mais pourquoi donc le sort s'acharnait-il ainsi sur Camille ?

Je remontai dans la chambre, saisis une chaise et serrai sa main dans les miennes. Malgré les calmants, son sommeil était agité. D'heure en heure, son visage gonflait, bleuissait. Je l'effleurai du côté qui n'avait pas pris de coups. J'avais la vision de son corps meurtri devant les yeux.

J'aurai tellement préféré le découvrir dans d'autres circonstances. Les médicaments la firent dormir trois jours durant. Je passais tout ce temps à son chevet, sa main dans les miennes. Quand elle s'agitait, je resserrais ma prise doucement, l'embrassais sur le front, lui murmurais des mots apaisants. Alors, lentement, elle se calmait. Son visage était devenu presque complètement noir, son corps était parsemé d'ecchymoses. Les plaies commençaient à disparaître. J'avais déposé un peu de sang sur celles du dos et sur son arcade. Seule celle de sa bouche n'avait pas été touchée pour éviter tout risque de contamination par notre virus.

[...]

Elle sortit de son long sommeil alors que je m'étais retiré pour prendre un bain. J'étais angoissé à l'idée de la voir se réveiller. Je craignais ses réactions. Face à ce genre d'événements, chaque personne réagit très différemment. J'avais peur qu'elle me rejette, je m'y attendais même. Cela me faisait d'autant plus mal que j'avais fini par admettre mes sentiments. Mais je refusais qu'elle l'apprenne... "

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