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Extrait ajouté par bscmm 2016-02-24T22:05:34+01:00

-Non. Enfin oui, mais... Cette fois c'est différent.On a décidé que ce serait juste du sexe.

Suis-je vraiment en train de parler à ma grand-mère de 83 ans ?

- Juste du sexe... , répète t-elle, incrédule. Parce-que, avant, vous faisiez aussi scrabble et tricot ?

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Extrait ajouté par tvnsAddict14 2016-02-20T14:22:11+01:00

Nouvel extrait

Ma tête tourne encore, le sommeil ne vient pas. Ma porte grince doucement et Tristan se glisse dans mon lit. Je sens mon matelas ployer légèrement, puis son corps se presser contre le mien, dans mon dos. Peu importe notre dispute, peu importe ce que sa présence dans ma chambre signifie : cette sensation vaut de l’or. Dans mon cou, Tristan murmure :

– Joyeux anniversaire, Sawyer. Je suis désolé d’avoir été aussi con…

– Merci…

– Tu me pardonnes ?

– Oui.

– Je peux dormir ici ?

– …

– Juste dormir.

– Hmm…, acquiescé-je.

– Je ne la laisserai jamais te faire du mal, tu sais ?

– Qui ça ?

– Ma mère.

– Quoi ?

– Je suis au courant… Tu aurais dû m’en parler.

– Qui t’a… ?

– Peu importe. Ça n’arrivera plus. Et je te jure que je serai toujours là, Liv…

Émue, soulagée, je me colle un peu plus contre lui, cherchant le contact.

– Bonne nuit, la vieille, susurre-t-il à mon oreille.

Je glousse légèrement, sachant qu’il a tout juste six mois de plus que moi. Lorsque ses bras s’enroulent autour de ma taille et qu’il dépose sa tête sur mon oreiller, je m’approche un peu plus du nirvana. Et je réalise que je suis dans une drôle de merde. Parce que tout ça, c’est exactement ce que je veux.

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Extrait ajouté par cdv25 2016-01-09T01:35:27+01:00

– Sale gosse…

– Quoi ?

– Sale gosse ! répété-je, plus fort.

– Tu es bien placée pour savoir que je suis tout sauf un gosse, Sawyer…

Ses yeux ont viré au noir, Tristan me fixe un dernier instant, s’attarde un peu trop sur mes lèvres, puis disparaît.

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Extrait ajouté par tvnsAddict14 2016-02-20T14:20:42+01:00

ATTENTION SPOILER !!!!!

Spoiler(cliquez pour révéler)PPS : Tristan, je sais à quel point ma fille est bornée, déterminée… Mais tu es pire. Alors, arrêtez simplement de lutter.

PPPS : J’ignore où est Harry… Mais j’ai l’intime conviction qu’il est vivant. »

Cette fois, mon cœur s’arrête. J’étire le papier entre mes mains tremblantes, pour mieux lire. C’est bien ce qui est écrit. Mon père, mort, vient de m’écrire, comme la plus pure et la plus simple des vérités, qu’un enfant disparu il y a six ans était toujours vivant.

– Betty-Sue, il faut qu’on rentre… Il faut que je parle à Tristan !

– Je sais.

Elle m’attend déjà dans la voiture.

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Extrait ajouté par SherCam 2018-04-17T17:48:27+02:00

Je ne veux rien oublier de ce qui s'est passé dans cette maison, ajoute Tristan en me fixant. Aucun souvenir avec Harry. Aucune engueulade avec Toi. Aucune nuit. Rien.

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Extrait ajouté par SherCam 2018-04-17T17:45:45+02:00

Et moi qui rêvais d'une amitié simple. D'un nouveau départ et d'une nouvelle vie...

Mais pourquoi le passé cherche toujours à vous rattraper?

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Extrait ajouté par woodibou91 2017-06-07T10:08:57+02:00

– Cette sorcière ! grommelle encore ma grand-mère en faisant voler de la farine un peu partout, sauf dans son saladier... Non mais, elle s’est crue où ? Ma petite-fille ! Menacer ma chair ! Le sang de mon… Filet-Mignon, sors d’ici ! !

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-07T04:02:01+01:00

« Joyeux anniversaire, Olive verte.

Si je ne suis plus là pour fêter ton quart de siècle, alors tu recevras cette lettre. Je ne doute pas que ta grand-mère aura préparé tout un cérémonial avant ça. Et j’espère que tu auras survécu jusque-là. »

Comment arrive-t-il encore à me faire sourire ?

« J’espère aussi que tu n’en veux pas à ton vieux père pour son testament-surprise. Je voulais faire quelque chose de bien, avant de partir. Toute ma vie, j’ai essayé de te rendre heureuse. Je crois que c’est ce qui m’a tenu vivant aussi longtemps. Alors, j’ai décidé de continuer à te rendre heureuse après ma mort. Et ton bonheur, il est auprès de Tristan. Je le sais. Toi aussi, sûrement. »

Comment fait-il pour viser aussi juste, aussi droit dans mon cœur ?

« Il y a des années, j’ai assisté à votre coup de foudre, alors que vous n’étiez que des adolescents. J’ai essayé de fermer les yeux. J’ai essayé de faire comme si ça n’existait pas. Mais ça ne vous a pas empêchés de vous aimer. Il y a des évidences contre lesquelles on ne peut pas lutter. Je n’ai jamais compris ce que l’on vous reprochait. Et j’aurais peut-être dû vous défendre, vous soutenir, vous protéger contre tous ceux qui voulaient vous détruire. À la place, je vous ai éloignés, parce que vous n’étiez que des enfants, parce que je devais jouer l’adulte et que vous aviez besoin de temps.

Mais ce genre d’amour là résiste à tout. Aux coups. Aux drames. Aux séparations. Aux milliers de kilomètres et aux années d’absence. C’était à moi de réparer tout ça. À moi de vous remettre, Tristan et toi, sur le même chemin. C’est mon devoir de père et je viens de l’accomplir, je l’espère. Ton devoir de fille, mon Olive, c’est maintenant d’être heureuse. Pour que toute ma vie n’ait pas été vaine.

Je t’aime,

Papa »

Mes larmes me brûlent la peau, certaines tombent lourdement sur le papier blanc qui tremble entre mes mains. Betty-Sue caresse lentement mes cheveux, sèche comme elle peut mes joues trempées tout en murmurant :

– Pleure, ma toute petite. Tu es grande, mais tu as encore le droit de pleurer.

– Il me manque tellement…, bredouillé-je en enfouissant mon visage dans le cou de ma grand-mère.

Quand mes sanglots se calment enfin, mon cœur se serre en pensant à Tristan. Il y a tellement de choses que je voudrais lui dire, là, maintenant. Tellement de sentiments que je suis incapable de lui avouer. Peut-être que je devrais lui faire lire cette lettre. Quand je serai prête. Peut-être que ce jour n’arrivera jamais.

– Retourne-la, me lance Betty-Sue au loin.

« PS : Liv, ne bois pas les tisanes de ta grand-mère, elle est encore plus folle que tu ne le penses.

PPS : Tristan, je sais à quel point ma fille est bornée, déterminée… Mais tu es pire. Alors, arrêtez simplement de lutter.

PPPS : J’ignore où est Harry… Mais j’ai l’intime conviction qu’il est vivant. »

Cette fois, mon cœur s’arrête. J’étire le papier entre mes mains tremblantes, pour mieux lire. C’est bien ce qui est écrit. Mon père, mort, vient de m’écrire, comme la plus pure et la plus simple des vérités, qu’un enfant disparu il y a six ans était toujours vivant.

– Betty-Sue, il faut qu’on rentre… Il faut que je parle à Tristan !

– Je sais.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-07T03:34:52+01:00

– Joyeux anniversaire, Sawyer. Je suis désolé d’avoir été aussi con…

– Merci…

– Tu me pardonnes ?

– Oui.

– Je peux dormir ici ?

– …

– Juste dormir.

– Hmm…, acquiescé-je.

– Je ne la laisserai jamais te faire du mal, tu sais ?

– Qui ça ?

– Ma mère.

– Quoi ?

– Je suis au courant… Tu aurais dû m’en parler.

– Qui t’a… ?

– Peu importe. Ça n’arrivera plus. Et je te jure que je serai toujours là, Liv…

Émue, soulagée, je me colle un peu plus contre lui, cherchant le contact.

– Bonne nuit, la vieille, susurre-t-il à mon oreille.

Je glousse légèrement, sachant qu’il a tout juste six mois de plus que moi. Lorsque ses bras s’enroulent autour de ma taille et qu’il dépose sa tête sur mon oreiller, je m’approche un peu plus du nirvana. Et je réalise que je suis dans une drôle de merde. Parce que tout ça, c’est exactement ce que je veux.

– Tristan ? chuchoté-je soudain. Il fallait que je te dise…

– Hmm ?

– Fergus… Il est revenu en Floride. Je l’ai vu l’autre jour.

– Je sais. Et je m’en fous. Tu as besoin que je lui casse la gueule ? souffle sa voix rauque.

– Non…

– Alors, dors.

– Tristan ?

– Hmm ?

– Il ne faut pas qu’on retombe amoureux.

– Dors, Sawyer.

Il dépose un infime baiser dans ma nuque et de petits frissons me parcourent la peau, jusqu’à ce que Morphée m’emporte.

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Extrait ajouté par MimiSouris14092013 2021-03-07T03:33:51+01:00

– Je sais que tu n’aimes pas conduire… À cause de ton père…

– Laisse mon père là où il est, Liv, soupire-t-il. Il est mort au volant, mais ça ne m’empêche pas de conduire quand c’est nécessaire.

– Merci d’être venu… Par contre, tu as le droit de me traiter comme une adulte, ronchonné-je en grimpant sur le siège passager.

– Comporte-toi en tant que telle, alors.

– Pardon ?

– Liv, je te retrouve bourrée, seule sur une plage, grelottant de froid et de fatigue à 2 heures du mat’, sans aucun moyen de rentrer chez toi. Une vraie ado ! Le cauchemar de n’importe quel parent !

– Ça tombe bien, je n’en ai plus !

– Tu sais très bien ce que je veux dire…, s’adoucit-il.

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