Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
716 409
Membres
1 021 525

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

" Je vomis, et vomis encore, jusqu'à ce qu'il ne remonte plus dans ma bouche qu'une bile âcre. Puis je me relevai, la gorge brûlante et l'estomac retourné. Il fallut encore un bon moment pour que mon souffle se ralentisse et que mon corps cesse de trembler.Je n'avais qu'une envie, retourner à la maison de l'épouvanter.. “

Afficher en entier

"Nous ne sommes pas des magiciens mon garçon. Nos outils de travail se nomment bon sens, courage et mémoire, car nous devons tirer des leçons du passé."

Afficher en entier

On m'emportait vers la porte de la cave! je ne voyais pas celui qui me tenait, j'entendais juste sa respiration sifflante. Je me débattis frénétiquement, car, au fond de moi, je savais ce qui allait arriver. Je savais pourquoi on avait creusé une fosse.On allait me descendre dans cette cave, par cet escalier obscur. Et c’était une tombe qui m'attendait. J'allais être enterré vivant.

Afficher en entier

Sa voix me parut froide, plus pointue qu'à l’ordinaire. Qu'elle s'adresse à moi sur ce ton me troubla si douloureusement que j'en eus le souffle coupé. Je n'avais plus qu'une envie : aller me mettre au lit. Mais maman avait encore beaucoup à dire. Je l'avais rarement entendue aligner tant de mots à la suite.

- Tu as un travail à faire, et tu le feras, reprit-elle avec fermeté. De plus, tu le feras bien. J'ai épousé ton père parce qu'il était un septième fils. Et je lui ai donné six fils avant de t'avoir, toi. Tu es le septième d'un septième, et tu as le don. Ton maître est encore en pleine possession de ses forces, mais il a vécu sa meilleure part, et son temps va vers sa fin. Voilà presque soixante ans qu'il arpente le pays, accomplissant sa tâche. Bientôt, ce sera ton tour. Et, si tu ne tiens pas ton rôle, qui le tiendra? Qui prendra soin des gens ordinaires? Qui les protégera des êtres malfaisants? Qui assurera la sécurité dans les fermes, les villages et les villes? Qui permettra aux femmes et aux enfants de se promener sans peur le long des rues et des chemins?

Je ne savais que répondre et n'osais la regarder dans les yeux. Je réussis du moins à ravaler mes larmes.

- J'aime chacun de ceux qui habitent cette maison, poursuivit-elle d'une voix plus douce. Toi tu n'es encore qu'un garçon en pleine croissance. Mais, dans ce comté, tu es le seul qui soit réellement semblable à moi. Et tu es le septième fils d'un septième fils. Tu as le don, et la force d'accomplir ce qui doit être accompli. Je serai fière de toi, j'en suis sûre.

Afficher en entier

Je n'ai pas tout compris, à propos des sorcières, dis-je.

- C'est simple, expliqua-t-il. Les pernicieuses sont mauvaises, les bénévolentes sont bonnes. Quant aux inconscientes, elles ignorent qu'elles sont sorcières. Et, comme elles sont également femmes, elles causent deux fois plus de problèmes. Ne fais jamais confiance à une femme!

- Ma mère est une femme, répliquai-je avec un brin d'irritation. Et je lui fais confiance.

- Les mères sont généralement des femmes, ironisa l'Epouvanteur, et généralement dignes de confiance au moins pour leurs fils.

Afficher en entier

Mes mains se mirent à trembler si fort que je pouvais à peine continuer à lire. J’appris ensuite que certaines sorcières utilisaient la magie des ossements, et que d’autres tiraient leur pouvoir de l’invocation des morts. Mais Mère Malkin était la plus redoutable : elle se servait de la magie du sang. Elle puisait ses forces dans le sang humain, et se montrait particulièrement avide du sang des enfants.

Afficher en entier

Le point le plus élevé du Comté

est marqué par un mystère.

On dit qu'un homme a trouvé la mort à cet endroit,

au cours d'une violente tempête,

alors qu'il tentait d'entraver une créature maléfique

menaçant la Terre entière.

Vint alors un nouvel âge de glace.

Quand il s'acheva, tout avait changé,

même le forme des collines

et le nom des villes dans les vallées.

A présent, sur ce plus haut sommet des collines,

il ne reste aucune trace de ce qui y fut accompli,

il y a si longtemps.

Mais on en garde la mémoire.

On l'appelle "la pierre des Ward".

Afficher en entier

Même en hiver, le soleil brille parfois sur le comté. S'il ne nous réchauffe guère, il est cependant préférable à la pluie. Mais il est une période de l'année où l'on ressent tout à coup sa chaleur, et c'est comme le retour d'un ami.

Afficher en entier

A ma grande surprise, Alice sourit, une curieuse étincelle dans le regard. Cela me rappela ce que disait papa, que les femmes savaient des choses que les hommes ignoraient, et qu'à de tels moments il ne fallait pas leur demander à quoi elles pensaient.

Afficher en entier

Pas d’apprentissage sans risque d’erreur

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode