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Cet ouvrage est un récit philosophique.

Paulo Coelho nous conte la quête initiatique de Santiago, un berger andalou qui part à la conquête de son rêve.

De multiples obstacles, bonheurs et malheurs, tenteront de l’éloigner de sa quête spirituelle ultime.

Durant ce voyage initiatique il apprendra le vrai sens de la vie.

Les courts chapitres nous permettent de nous immerger dans le conte fantastique de Santiago et qu’on croit à la destinée ou pas, ce roman ne laisse pas insensible.

Une quête philiosophique prenante, qui ouvre à la réflexion sur soi, sur notre place dans le monde et le sens de la vie.

Ce voyage initiatique est écrit dans un court roman si facile à lire que le message principal est la portée de tous, mais je le relis de temps en temps et découvre à chaque fois quelque chose de différent qui parle en fonction de mon parcours personnel.

J'ai adoré. Je pense qu'on devrait le mettre dans les lectures de 3ème puisqu'il me semble être simple à lire, avec des chapitres qui ne font pas une cinquantaine de page et surtout, c'est un livre très positif, qui apporte une vision de la vie différente et enrichissante.

un résumé qui m'as donnée envie de le lire. C'est un livre à lire sans prise de tête.Malgré la fin qui m'as laissé mi figue mi raisin.

Un livre plutôt court avec une histoire prenante qui se lit très vite.

La fin aurait pu être un peu plus approfondie.

La présence (selon moi) parfois envahissante de Dieu, m'a laissée quelques fois sur le côté, mais ça ne m'a pas empêché d'apprécier l'œuvre et l'intention.

Un très beau conte philosophique qui fait beaucoup réfléchir sur sa propre vie.

DNF 27%

Propos discriminatoires ou bien des préjugés envers la religion musulmane (musulmans) et vis à vis des gitans (citation ci dessous)

« Cette vieille bonne femme devait vraiment être une gitane. Les gitans sont bêtes. »

« La vieille ne lui avait rien fait payer, mais ce vieux (qui était peut-être son mari) allait réussir à lui soutirer bien davantage, en échange d’un renseignement qui ne correspondait à aucune réalité. Ce devait être un gitan lui aussi. »

« En l’espace de quelques heures, il avait vu des hommes qui se promenaient en se tenant par la main, des femmes au visage voilé, des prêtres qui montaient au sommet de hautes tours et se mettaient à chanter, tandis que tout le monde à l’entour s’agenouillait et se frappait la tête contre le sol.

« Pratiques d’infidèles », se dit-il. Lorsqu’il était enfant, il avait l’habitude de voir à l’église, dans son village, une statue de saint Jacques le Majeur sur son cheval blanc, l’épée dégainée, foulant aux pieds des personnages qui ressemblaient à ces gens. Il se sentait mal à l’aise et terriblement seul. Les infidèles avaient un regard sinistre. »

J'ai lu ce livre durant mon adolescence et je l'ai ensuite porté en moi comme un guide spirituel, une lanterne pour éclairer mon chemin parfois trop obscur.

Particulièrement sensible à l'approche philosophique de Paolo Coelho, j'ai ensuite lu beaucoup de ses livres. Mais l'Alchimiste reste une référence.

Chaque page est une leçon de vie. Il nous enseigne à mieux percevoir le monde qui nous entoure. Il s'agit d'être attentif aux signes, au langage et à la beauté de la nature qui nous porte sans cesse.

On comprend que l'univers est un tout dans lequel nous ne formons qu'un.

Une lecture qui s’éloigne de mon genre habituel mais ayant vu beaucoup de critiques élogieuses sur la toile, je me suis dit pourquoi pas.

Vendu comme un récit initiatique et philosophique, sur ce point je suis resté sur ma faim... Je ne sais pas si c'est moi qui ne suis pas réceptive à ce genre mais j'ai trouvé le discours très bateau et répétitif. Néanmoins, c'est plutôt court et se lit facilement.