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A la fin du siècle dernier, dans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste pauvre et une ravissante écolière, jurent de se marier et de vivre un amour éternel. Durant trois ans ils ne vivent que l'un pour l'autre, mais Fer-mina épouse Juvenal Urbino, un jeune et brillant médecin.
Alors Florentino, l'amoureux trahi, se mue en séducteur impénitent et s'efforce de se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu'il ne cessera d'aimer, en secret, cinquante années durant, jusqu'au jour où l'amour triomphera.
L'auteur de Cent Ans de solitude et de Chronique d'une mort annoncée, prix Nobel 1982, donne libre cours dans ce roman à son génie de conteur, à la richesse de son imagination et à l'enchantement baroque de son écriture
Source : Le Livre de Poche
Afficher en entierÀ la fin du xixe siècle, dans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste pauvre et une ravissante écolière jurent de se marier et de vivre un amour éternel. Durant trois ans ils ne vivent que l’un pour l’autre, mais Fermina épouse Juvenal Urbino, un jeune et brillant médecin. Alors Florentino, l’amoureux trahi, se mue en séducteur impénitent et s’efforce de se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu’il ne cessera d’aimer, en secret, cinquante années durant.
L’auteur de Cent ans de solitude et de Chronique d’une mort annoncée, prix Nobel 1982, donne libre cours à son génie de conteur, à la richesse de son imagination et à l’enchantement baroque de son écriture.
Afficher en entierCette curieuse manière d’être, qu’un jour quelqu’un dans un discours célébra comme une démence lucide, lui permit de voir sur-le-champ ce que nul ne vit jamais ni avant ni après chez Florentino Ariza. Le jour même où, avec son air lugubre et ses vingt-sept ans inutiles, celui-ci se présenta à son bureau pour solliciter un emploi, il le mit à l’épreuve de la dureté d’un régime militaire capable de faire plier le plus téméraire. Mais il ne réussit pas à l’intimider. En fait, l’oncle Léon XII ne soupçonna jamais que la résistance de son neveu provenait non de la nécessité de survivre ni de la tête de pioche qu’il avait héritée de son père, mais d’une ambition amoureuse que nulle contrariété dans ce monde ni dans l’autre ne pourrait jamais ébranler
Afficher en entierDans une petite ville des Caraïbes, un jeune télégraphiste à la situation modeste s'éprend d'une écolière des plus ravissantes. Chacun d'eux se promettent mariage et amour éternel. Mais la trahison se profile et l'amoureux devient un séducteur incorrigible. S'efforçant de se faire un nom et une fortune, il n'aura de cesse d'aimer, en secret, sa promise d'antan cinquante années durant.
Afficher en entierQuand on est un télégraphiste dont l'opulence est loin d'être le pain quotidien et une jeune écolière d'une famille plutôt aisée, l'amour est sans doute le meilleur moyen pour se compliquer la vie. Mais l'amour, aux Caraïbes, a pour soeur aînée la déraison. Florentino, amoureux de Fermina, va connaître cet état second dont les symptômes - plaisirs subtils de l'attente et souffrances de l'éloignement - sont si proches d'une maladie mortelle.
Mais lorsqu'il commença à attendre la réponse à sa première lettre, son anxiété se compliqua de diarrhées et de vomissements verts, il perdit le sens de l'orientation, souffrant d'évanouissements subits, et sa mère fut terrorisée parce que son état ne ressemblait pas aux désordres de l'amour mais aux ravages du choléra.
Bientôt, plus terrible que les craintes de la mère de Florentino, se dresse la volonté du père de Fermina, bien décidé à briser par tous les moyens la promesse d'un amour éternel...
Cette histoire d'un amour impossible n'aurait rien d'original si elle n'était écrite de la main de Gabriel Garcia Marquez, qui se joue de nous en nous emportant dans le fleuve de cette histoire et les courants violents des sentiments. Le Prix Nobel de littérature prête aux Caraïbes toutes les raisons qu'il faut pour souffrir les mille tourments du coeur et au lecteur l'obligation d'une lecture boulimique, ne lui laissant aucune chance de reprendre son souffle. On s'en échappe avec l'envie de mourir d'amour ou du choléra, ce qui revient au même. --Hector Chavez --Ce texte fait référence à l'édition Poche .
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