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"Le cœur possède plus de chambres qu'un hôtel de putes."

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"Un jour, il lui avait dit une chose qu'elle ne pouvait concevoir : les amputés ressentent des crampes, des fourmillements à la jambe qu'ils n'ont plus et qui leur fait mal. Ainsi se sentait-elle sans lui et le sentait-elle là où il n'était plus."

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Les gens que l'on aime devraient mourir avec toutes leurs affaires.

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"Il était encore trop jeune pour savoir que la mémoire du cœur efface les mauvais souvenirs et embellit les bons, et que c'est grâce à cet artifice que l'on parvient à accepter le passé. Mais lorsqu'il vit de nouveau, depuis le bastingage, le promontoire blanc du quartier colonial, les charognards immobiles sur les toits, le linge des pauvres mis à sécher aux balcons, il comprit à quel point il avait été une victime facile des pièges charitables de la nostalgie."

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"L'oncle Léon XII s'occupa des détails de l'opération comme s'il devait la souffrir dans sa propre chair. Il portait aux dentiers un intérêt singulier, né lors d'une de ses première remontées du Magdalena à cause de son penchant pour un bel canto. Une nuit de pleine lune, à hauteur du port de Gamarra, il avait parié avec un arpenteur allemand qu'il était capable de réveiller les créatures de la forêt vierge en chantant une romance napolitaine depuis la cabine de commandement. Il s'en fallut de peu qu'il gagnât. Dans les ténèbres du fleuve, on entendait les bruissements d'ailes des flamands dans les marais, les coups de queues des caïmans, les poissons épouvantés qui tentaient de sauter sur la terre ferme, mais à la dernière note, alors qu'on craignait que les artères du chanteur n'éclatassent sous la puissance du chant, le dentier s'échappa de sa bouche dans le souffle final et tomba dans l'eau."

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" Ils avaient vécu ensemble assez de temps pour comprendre que l'amour est l'amour, en tout temps et en tout lieu, et qu'il est d'autant plus intense qu'il s'approche de la mort. "

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Le souvenir le plus agréable qu'il garda de cette époque fut celui d'une jeune fille très timide, presque une enfant, qui lui demanda en tremblant d'écrire une réponse à une lettre qu'elle venait de recevoir et que Florentino reconnut pour l'avoir écrite la veille. Il y répondit dans un style différent, selon l'émotion et l'âge de la jeune fille, et avec une écriture qui ressemblait à la sienne car il savait en utiliser une différente pour chaque cas. Il l'écrivit en imaginant ce que Fermina Daza eût répondu si elle l'avait aimé comme cette créature désemparée aimait son prétendant. Deux jours plus tard, il dut, bien sûr, écrire la réponse du fiancé avec la calligraphie, le style et la forme d'amour qu'il lui avait attribués dans la première lettre et il finit ainsi par engager une correspondance fébrile avec lui-même. Au bout d'un mois à peine, ils vinrent chacun de leur côté le remercier de ce que lui-même avait proposé dans la lettre du fiancé et accepté avec dévotion dans cette de la jeune fille : ils allaient se marier.

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"Mais il eut l'intime conviction que les êtres humains ne naissent pas une fois pour toutes à l'heure où leur mère leur donne le jour, mais que la vie les oblige de nouveau et bien souvent à accoucher d'eux-mêmes."

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"Elle se défendait en disant que l’amour était avant tout un talent naturel. Soit on naît en sachant, disait-elle, soit on ne sait jamais."

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Il disait : « Le problème du mariage, c’est qu’il meurt toutes les nuits après l’amour et qu’il faut le reconstruire tous les matins avant le petit déjeuner. »

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