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Liste des extraits

(Discussion entre Benedict et Eloïse)

- On ne t'a jamais dit que tu étais excessivement indiscrète?

- Si, tout le temps. Où étais-tu?

- Et terriblement obstinée.

- Tout le monde devrait l'être. Où étais-tu?

- T'ai-je dit que j'envisageais d'investir dans une manufacture de muselières pour jeunes filles trop curieuses?

Eloïse lui lança un coussin à la figure.

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 Au bal masqué, reprit-elle d’une voix tremblante, avant même de te voir, j’ai perçu ta présence. Il y avait de la magie dans l’air. Quand je me suis retournée et que je t’ai vu, j’ai eu l’impression que tu m’attendais et que si j’étais venue assister clandestinement à ce bal, ce n’était que pour toi.

Quelque chose de mouillé

tomba sur sa joue. Une larme qu’il avait versée.

— C’est pour toi que j’existe, dit-elle à mi-voix. Pour toi que je suis née.

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— On dit qu’une personne intelligente apprend de ses erreurs, coupa-t-elle en haussant la voix pour couvrir la sienne. Moi, je dis qu’une personne vraiment intelligente apprend aussi des erreurs des autres.

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« On entend souvent dire que les médecins font les pires malades, mais de l’avis de votre chroniqueuse, n’importe quel représentant de la gent masculine fait un très mauvais malade. On pourrait dire qu’il faut de la patience pour être Un patient acceptable, et Dieu sait que les mâles de notre espèce manquent dramatiquement de cette qualité.

 

La Chronique mondaine de lady Whistledown, le 2 mai 1817. »

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Hyacinthe :

- Il ne me viendrait pas à l'idée de repriser sans dé à coudre !

- En admettant qu'il te vienne à l'idée de repriser, ironisa Francesca.

Hyacinthe lui décocha un coup de pied, au risque de renverser le service à thé.

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Il s’adossa à ses oreillers, l’air satisfait.

— Je préfère vous voir raisonnable, ajouta-t-il.

Sophie se leva.

— Il faut que j’y aille.

— Où donc ?

— Eh bien... je ne sais pas, répondit Sophie, consciente d’être parfaitement ridicule.

Il lui sourit joyeusement.

— Très bien, allez-y.

Sophie serra ses doigts sur le manche de la cuillère de service.

— À votre place, j’éviterais, l’avertit Benedict.

— Quoi ?

— De me lancer ce couvert à la figure.

— Je n’y songe même pas, répliqua-t-elle dignement.

— Oh que si ! dit-il dans un éclat de rire. Vous y pensez même très fortement, même si vous n’allez pas le faire.

La main de Sophie était si serrée qu’elle en tremblait. Benedict tremblait lui aussi, mais c’était à force de rire.

Sophie se leva, le couvert toujours à la main.

Benedict la regarda, hilare.

— Vous envisagez de l’emporter avec vous ? demanda-t-il.

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Chaque soir, dans mon lit, je pense à vous en me demandant pourquoi vous n'êtes pas avec moi.

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Sophie tourna vivement la tête vers cette dernière et comprit aussitôt qu’elle avait menti.

— Je vais chercher un dé à coudre, répéta-t-elle, au comble de la confusion.

Elle poursuivit son chemin, de plus en plus mal à l’aise à mesure qu’elle se rapprochait de Benedict, toujours sur le seuil.

— Personne ici ne voudrait vous voir vous blesser, déclara celui-ci en s’écartant pour lui céder le passage.

Puis, lorsqu’elle fut proche de lui à le toucher, elle l’entendit murmurer :

— Lâche. 

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Celle-là, il ne la laisserait pas s’enfuir. Elle était partie  – l’unique, la mystérieuse elle, songea-t-il avec un sourire amer, la seule femme qui avait su toucher son cœur.

Celle-là même qui avait refusé de lui dire son nom.

Seulement, maintenant, il y avait Sophie, et elle non plus ne le laissait pas indifférent. Elle était la première, depuis elle. Il était las de se languir d’une femme qui n’avait pas plus d’existence qu’un rêve. Sophie, elle, était réelle. Et elle serait à lui.

Voilà pourquoi, songea-t-il avec une féroce détermination, elle ne pouvait pas le quitter.

— Je peux supporter votre haine, dit-il à la porte close, mais certainement pas votre absence.

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- Pensez-vous que votre existence soit sur le point de se transformer ?

Sophie secoua la tête et, s'efforçant de chasser toute tristesse de sa voix, répondit:

- Non.

La voix de son compagnon se fit si basse qu'elle n'était plus qu'un souffle.

- Le voudriez-vous ?

- Oui, répondit-elle dans un soupir. Oh, oui !

Il prit ses mains, les porta à ses lèvres et les embrassa l'une après l'autre avec délicatesse.

- Dans ce cas, commençons tout de suite, dit-il. Et demain, vous serez une autre femme.

- Ce soir, je suis une autre femme, rectifia-t-elle dans un murmure. Demain... je ne serais plus là.

Benedict l'attira contre lui et déposa un baiser infiniment léger sur son front.

- Alors, nous allons devoir mettre dans cette soirée une vie entière.

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