Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 800
Membres
1 013 883

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Il est venu de mon côté du pick-up pour m'aider à glisser au sol avec mes talons hauts et ma robe moulante. En atterrissant, je me suis retrouvée contre lui. Tout contre lui.

-Tu as tout, vraiment tout, tu sais, a-t-il soufflé.

Déjà serrés autour de moi, ses bras m'ont enlacée d'encore plus près.

-Tu ne veux pas changer d'avis, au sujet de cette nuit? J'aimerais tellement rester...

-Je suis très tentée, ai-je concédé. Mais cette fois-ci, on y va lentement. Je veux qu'on soit sûrs.

-Je suis tout à fait sûr de vouloir grimper dans ton lit, moi, a-t-il murmuré en posant son front contre le mien.

Afficher en entier

-Nous sommes venus te souhaiter un bel anniversaire, a déclaré Eric. Et je suppose que, comme d'habitude, Bill voudra t'exprimer son amour éternel, qui dépasse nettement le mien, ainsi qu'il te le précisera, et que Pam voudra te dire quelque chose de sarcastique et presque douloureux, tout en te rappelant qu'elle t'aime, elle aussi.

Bill et Pam ont échangé des regards, clairement vexés par l'amorce agressive d'Eric. Mais je n'avais pas l'intention de laisser quoi que ce soit gâter ma belle humeur. J'ai contre-attaqué au tac au tac.

-Et toi, Eric? Est-ce que tu vas me dire que tu m'aimes autant que Bill, mais d'une manière plus réaliste, tout en trouvant un moyen subtil de me menacer et de me rappeler que tu vas peut-être me quitter pour Freyda?

Afficher en entier

J'ai inspiré profondément, espérant ainsi me calmer.

- Tu te conduis comme un véritable connard, l'ai-je informé.

Tiens, l'exercice de respiration n'avait pas fonctionné.

Afficher en entier

De toute façon, je préfère largement être armée d'un fusil plutôt que de magie - je suis américaine. -

Afficher en entier

J’avais hâte que cette conversation se termine. Il y avait là du moins une émotion que je pouvais reconnaître : elle regrettait ce qu’elle avait fait à sa famille.

— Tu es sortie drôlement vite, dis donc, ai-je commenté, soudain frappée par ce fait.

— Je me suis trouvé un nouvel avocat. Il a fait appel et payé ma caution. En plus, je me suis bien comportée – forcément, j’étais motivée. Sookie, je ne les aurais pas laissés te faire du mal, tu sais.

— Arlene, pas la peine de me mentir, ça ne marche pas, lui ai-je rappelé.

La blessure causée par la trahison de mon ancienne amie n’avait pas encore cicatrisé.

— Tu ne me fais pas confiance, je le vois bien.

Non, tu crois ? Dans son esprit, je voyais déjà ce qu’elle allait me sortir – elle allait jouer la carte de la repentance et de la réformation.

— Je ne peux pas t’en vouloir, a-t-elle continué. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais ce qui est sûr, c’est que je n’avais pas la tête sur les épaules. J’étais désespérée et en colère, et je cherchais à mettre la responsabilité sur quelqu’un d’autre. Le plus simple pour moi, c’était de haïr les vampires et les loups-garous, a-t-elle conclu en hochant la tête avec grand sérieux – elle se sentait pleine de vertu.

Tiens donc, on avait fait un peu de thérapie, peut-être ?

Je ne vais pas me moquer des psys. Pour certaines personnes, la démarche est très positive. Mais Arlene ne faisait que singer ce que son thérapeute lui avait dit, tout comme elle avait bêtement adopté les idées anti-SurNat de la Confrérie du Soleil. Serait-elle capable un jour de penser pour elle-même ? J’avais peine à comprendre comment j’avais pu tant l’admirer pendant ces années. À l’époque, pourtant, elle était animée d’une grande joie de vivre, elle entretenait des relations faciles avec les hommes, elle avait deux enfants adorables et gagnait sa vie.

Et c’était pour tout cela que je l’avais enviée, moi qui me sentais si seule.

Je la voyais différemment, désormais : elle attirait les hommes, mais elle était incapable de les garder. Elle aimait ses enfants, mais elle n’avait pas pu éviter la prison. Elle s’était montrée capable de travailler pour les élever, mais un défilé d’hommes avaient occupé son lit.

Je l’avais aimée parce qu’elle avait bien voulu être mon amie alors que j’en avais si peu. Je comprenais à présent qu’elle m’avait utilisée comme baby-sitter pour Coby et Lisa, femme de ménage gratuite, et admiratrice. Lorsque j’avais commencé à prendre de l’indépendance et à vivre ma vie, elle avait tenté de me faire assassiner.

— Tu as toujours envie de me voir morte ? lui ai-je demandé.

Elle a fait la grimace.

— Non, Sookie. Tu as été une bonne amie pour moi, et je me suis retournée contre toi. Je croyais en tout ce que prêchait la Confrérie.

Ses pensées correspondaient à ses paroles. Arlene n’avait pourtant pas vraiment d’estime pour moi.

— Et c’est pour ça que tu es venue ici aujourd’hui ? Pour t’excuser ?

J’ai lu la vérité dans son cerveau. Malgré tout, il a fallu que j’attende qu’elle le dise pour pouvoir le croire :

— Je suis venue pour voir si Sam serait d’accord pour me reprendre au Merlotte.

J’en suis restée muette de surprise. Mal à l’aise, elle s’est mise à s’agiter tandis que je la fixais, bouche bée. J’ai fini par me reprendre.

— Arlene, j’ai du chagrin pour tes enfants. Et je sais que tu veux les récupérer et t’en occuper. Mais je ne peux pas travailler avec toi ici. Tu comprends bien que ce ne serait pas viable.

Elle s’est raidie en se redressant.

— J’en parlerai à Sam. On verra bien ce qu’il va dire.

La vieille Arlene était remontée à la surface. Elle était certaine qu’en s’adressant à un homme elle aurait ce qu’elle désirait.

— Maintenant, c’est moi qui embauche, ici. Je suis son associée, lui ai-je annoncé.

Afficher en entier

— J’ai un peu compris où il allait, avec son stratagème, quand j’ai repensé à ce qu’il avait enduré dans une prison faé. Mais franchement, il aurait mieux fait de voler un fusil et de me tirer dessus.

— Sookie !

Sam était choqué. Nous étions garés à côté de ma porte de derrière. En jetant un regard par ma vitre, j’ai cru apercevoir quelque chose de blanc à la lisière des bois. Karin. Ou Bill. Ils devaient passer beaucoup de temps ensemble, la nuit.

— Je sais, Sam, je n’aime pas y penser non plus. Mais c’est vrai. Quand on complique les choses, on réduit les chances de réussir. Alors retiens la leçon pour tes vengeances futures. On fait court, et direct.

Nous sommes restés assis en silence pendant un temps, puis j’ai repris.

— Tu sais, Sam, si on m’avait torturée de nouveau, je serais morte. J’étais prête à mourir.

— Mais tu t’es arrangée pour les mettre en colère et pour qu’ils se jettent les uns sur les autres. Tu as survécu. Tu ne renonces jamais, Sook.

Afficher en entier

— Tu n’as jamais cru que nous serions amants pour l’éternité. Tu étais certaine qu’un jour, je te quitterais, quand tu serais vieille.

J’ai considéré ses paroles un instant.

— Moi, j’essaie d’être honnête. Tu devrais en faire autant : tu n’as jamais envisagé ne serait-ce qu’une seule seconde de rester avec moi quand je serais vieille. Tu as toujours supposé, depuis le début, que tu me ferais passer de l’autre côté. Alors que je t’avais toujours dit que je ne voulais pas devenir un vampire.

Nous avions bouclé la boucle. La conversation était parvenue à son terme. J’ai pris un pas en arrière et j’ai fermé la porte de la véranda. Pour mettre fin à la douleur, j’ai prononcé quelques mots :

— Je te retire ton invitation.

Je suis retournée à l’intérieur, et je n’ai pas regardé par les fenêtres. L’amour que nous avions eu l’un pour l’autre s’était brisé pour toujours et s’est vidé de son sang, quelque part sur les marches, derrière ma maison.

Afficher en entier

— Sookie, tu es mienne !

— Certainement pas. Tu l’as même dit devant tout le monde.

— Mais je t’avais expliqué, je suis venu te voir dans la nuit et j’ai dit que je…

— Tu m’as dit que tu m’aimais « dans toute la mesure du possible ». Mais visiblement, les limites de ton possible sont atteintes.

Dans mon agitation, je dansais presque sur place.

— Sookie, jamais je ne t’aurais répudiée comme cela, en public, si je n’avais pas été certain que tu comprenais que cette cérémonie ne comptait que pour les apparences.

— Stop stop stop ! l’ai-je interrompu en levant la main. Tu es en train de me dire, là, qu’en ce qui te concerne, toi, tu as l’intention de trouver le moyen de m’entretenir, quelque part, en secret, pour que tu puisses t’échapper quand bon te semble et passer un peu de temps avec moi ? Et pour pouvoir être ta maîtresse, il faudrait que je déménage en Oklahoma, que je perde ma maison, mes amis et mon boulot ?

Afficher en entier

Avec sa longue chevelure noire, son visage au regard sombre et ses tablettes de chocolat, Claude était irrésistible - jusqu'à ce qu'il se mette à parler...

Afficher en entier

“Eric, you tricked me into a marriage. I worked around that in my head because I could see you did it to protect me, and maybe you also did it out of your own sense of . . . mischief. I loved you. And I felt flattered that you wanted us to be united in your world’s eyes. But you’re right when you say I never regarded our marriage as equal to a human church marriage—which, the only time I brought it up, you mocked.”

He flung his arm out as if he were struggling to make a point by gesture, a point that he couldn’t make verbally.

I held up my hand again. “I’m being completely honest with you. Let me finish, then you can say whatever you need to. I have loved you for months, with . . . with ardor and devotion. But I don’t think there’s any way we can resolve this. Because you must know that saying you ‘thought there would still be a way for us to be together’ is just plain bullshit. You know that I would never leave home to live some kind of half life as your girl on the side, sneaking sex from time to time until Freyda found out I was there and killed me. Going through the same humiliation that I did tonight. Over and over.”

“I should have known you would never leave Sam,” Eric said, with heavy bitterness.

“Leave Sam out of this. This is about you and me.”

“You never believed we would be lovers forever. You were sure someday I would leave you, when you grew old.”

I thought that over. “Since I’m trying to be honest here, you should try that, too. You would never have even considered staying with me when I grew old. You always assumed you would turn me, even though I told you I never wanted to be a vampire.” We’d come full circle in this awful conversation. I stepped back and closed the porch door. To put an end to the pain, I said, “I rescind your invitation.”

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode