Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 956
Membres
1 014 489

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Mheurtre prit conscience qu’on avait débarrassé les plateaux, que le garçon s’était endormi, et que Sarah et lui se dévisageaient.

Il savait exactement à quoi elle pensait, car il pensait à la même chose.

Mais ce n’était ni le moment, ni le lieu pour du sexe.

— Est-ce que tu vas m’expliquer ce qui se passe ici ? l’interrogea-t-elle à voix basse. Vous tous. Cette installation. Ce personnel. Ce n’était pas une simple opération improvisée, et je veux comprendre ce qui se passe ici.

Bon… peut-être qu’ils ne pensaient finalement pas à la même chose.

Afficher en entier

Il présentait une configuration physique si puissante à la verticale qu’elle se demanda ce qu’il pouvait bien faire à une femme à l’horizontale…

— Ohé ! dit-il, Ohé !

Comme s’il essayait d’attirer son attention.

Sarah se secoua.

— Désolée, je…

… me demandais si vous étiez bon au lit, acheva-t-elle intérieurement.

Le soldat écarquilla les yeux et eut un mouvement de recul.

— Oh mon Dieu ! murmura-t-elle en grimaçant, dites-moi que je ne viens pas de parler à haute voix… En fait, ne répondez pas à ma question… Oubliez que vous me connaissez… Après tout, vous ne me connaissez vraiment pas. Vous ignorez comment je m’appelle. Moi-même je ne le sais plus pour le moment… Hé, c’est la fête !

Afficher en entier

— Ça ira. Je peux expliquer à Jane tout ce à quoi j’ai songé pour soigner John et elle pourra prendre le relais. C’est un bon médecin, elle sera capable de mettre toutes mes suggestions en pratique pour concevoir un traitement. (Puis elle décocha un regard noir au militaire.) Et pardon, mais vous pourriez peut-être prendre en compte le fait qu’il a sauvé un garçon d’une usine à torture humaine, m’a sortie de là saine et sauve, et qu’il est la seule raison pour laquelle votre fils a ne serait-ce qu’une ombre de solution clinique à sa blessure mortelle. Alors rompez, sergent Je-sais-tout.

Afficher en entier

— C’est vrai, je suis complètement excité. Dans mon esprit, j’ai déjà les mains sur ta peau, ma bouche sur la tienne et je suis sur le point de te pénétrer. (Mheurtre esquissa un petit sourire, puis redevint sérieux.) Mais non, je ne te force pas à ressentir ces choses-là. Ta réaction est celle de ton propre corps, elle est à cent pour cent celle de ta libre volonté et rien d’autre… et, crois-moi, le fait que tu me désires spontanément est le truc le plus sexy chez toi à cet instant précis.

Afficher en entier

Une silhouette masculine s’était matérialisée à l’entrée de la caverne. Le nouveau venu brillait de l’intérieur, en plus de l’aura qui enveloppait son corps nu. Couvert de chaînes d’or, du cou jusqu’aux hanches, il avait de longs cheveux blond et noir, et une beauté surnaturelle qui défiait toute description.

Mais rien de tout cela ne constituait la véritable source d’émerveillement.

Dans son dos, une magnifique paire d’ailes scintillait de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.

Il ne marcha pas jusqu’à la Confrérie. Il flotta au-dessus de la nef de marbre menant à l’estrade. 

À côté de Mheurtre, Viszs se plaqua une main sur le visage et poussa un juron.

Rhage gloussa.

— Donc voilà qui ta mère a choisi comme successeur, hein ?

— Ouais, j’ai toujours su qu’elle nous détestait, marmonna V. 

Afficher en entier

- Je suis à toi. Et c'est éternel, même si tes souvenirs de moi ne le sont pas.

Afficher en entier

Et alors ? voulut-il lui dire. Je voulais faire une petite démonstration de ma force à cette femme. Intente-moi un procès.

— Nous devions franchir cette satanée porte, pesta-t-il contre Xhex.

— Bien sûr, répondit-elle avec un clin d’œil. Et, regarde, c’est fait.

Quand il se retourna pour s’engager dans l’escalier, il aurait pu jurer qu’elle lui avait cloué une pancarte « Vrai mâle » sur le dos, mais il n’allait pas poursuivre ce petit jeu de « je suis hyper viril », parce qu’il était déjà rouge comme une tomate, bon sang !

Afficher en entier

- Oh ! (Sarah se raidit en regardant dans le vestibule.) Oh… seigneur.

Tout d’abord, Mheurtre ne sut pas trop ce qui avait interpellé la jeune femme. Il y avait plein de couples qui s’enlaçaient, d’amis qui riaient, et Kolher avait pris dans ses bras son chien, qui était si excité d’avoir retrouvé son maître qu’il agitait la queue à cent à l’heure…

Mais alors il vit quel était le problème.

Lassiter, l’ange déchu, venait d’entrer dans la salle de billard après s’être changé et il portait du lamé doré sur son corps également doré. Ce qui n’aurait pas été un problème, si…

- Est-ce que son pantalon n’a pas de fond ? demanda Sarah. Ou est-ce que j’ai la berlue ?

Mheurtre interposa son grand corps pour épargner à Nate et Sarah la vue des deux hémisphères dorés qui faisaient une apparition bien trop remarquée.

- Oui, marmonna-t-il. Je ne pense pas que tu aies besoin d’aller chez l’ophtalmo. Malheureusement.

- Qui est-ce ? demanda Sarah pendant que Nate se mettait à rire.

- C’est notre divinité. Tu sais, celui qui dirige les choses de là-haut ? C’est un ange déchu.

La jeune femme marqua un temps d’arrêt.

- Tu n’es pas sérieux.

- Non, il possède vraiment des dons surnaturels. Je sais que c’est difficile pour les humains de comprendre la magie de notre monde, mais il existe un autre plan d’existence, où vit Lassiter. D’après Tohr, il a pris la relève de la Vierge scribe qui…

- Oh ! je comprends tout ça. Je n’ai pas de problème avec le paranormal. (Elle s’esclaffa et l’embrassa.) Enfin, voyons, je vais épouser un vampire. Mais comment se fait-il que vous soyez dirigés par un type qui porte des pantalons sans fond ?

Mheurtre jeta un coup d’œil par-dessus son épaule. Oui. L’ange avait toujours les fesses à l’air.

- Eh bien, tu sais, mieux vaut avoir un dieu doté du sens de l’humour, tu ne crois pas ? Je veux dire, tous ces dieux majestueux finissent par être ennuyeux et, parfois, on est obligé de prier pour un truc dingue. En outre, il a un beau cul. Franchement, si on le regarde objectivement, il n’a aucune raison de s’excuser.

Comme Sarah et Nate riaient à l’unisson, Mheurtre les enlaça tous les deux et décida que tout allait bien.

Afficher en entier

Sarah y regarda à deux fois quand elle aperçut quatre ou cinq hommes, en tenue de combat, devant la sortie.

Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? se dit-elle. Avaient-ils une ferme hydroponique quelque part, où ils faisaient pousser ces grands mecs dans des éprouvettes ?

Afficher en entier

À ses pieds, comme un professeur de CP accompagnant un tueur en série, un golden retriever suivait les pas lourds de son maître. La fine laisse en cuir qui les reliait l’un à l’autre transmettait toutes sortes d’infos non verbales parmi lesquelles, avant toute chose, une loyauté et un amour absolus et réciproques. George était la vue de Kolher, mais aussi – même si personne n’abordait jamais le sujet parce que, hé ! qui avait besoin de se prendre un coup de poignard, hein ? – le chien de réconfort du roi.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode