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J'ai honte de reconnaître que je n'ai pas réussi à terminer ce livre qui me semblait pourtant plein de promesses.
Le principal défaut de ce roman réside dans les bonds opérés entre les narrateurs. Combien sont-ils, déjà ? Vingt-trois ?
Les symboles fantaisistes permettant d'identifier les personnages qui prennent la parole ne m'ont été d'aucune aide - au contraire, j'étais encore plus confus car en sus de me débattre avec les noms, je devais également me souvenir des correspondances signes/protagonistes ! Un exercice certes faisable mais trop ennuyeux à mon goût.
Cette multiplication des points de vue m'a complètement éloigné de l'intrigue. J'ai été incapable de m'attacher à qui que ce soit, ce qui est, pour moi, l'un des points noirs les plus cruels qui peuvent entacher mes lectures.
Également, cette quantité de points de vue dessert le rythme du roman et fait traîner l'action en longueur, ce qui n'est pas toujours pour me déplaire lorsque le tout est bien fait et justifié. Mais ici... j'ai trouvé ça incroyablement lassant. J'ai commencé par sauter quelques lignes, puis des paragraphes entiers. J'ai même esquivé un chapitre tant il m'ennuyait. Et j'ai finalement refermé le livre avec un certain sentiment de culpabilité.
J'admets avoir été dépassé par l'intrigue. Je me suis dit que c'était normal, qu'une fois les premiers chapitres derrière moi, je pourrais me plonger plus avant dans l'histoire. Eh bien non, et c'est fort dommage.
700 pages qui auraient pu être compressées en 200 à condition de sacrifier cet exercice de style auquel l'auteur a tenté de se livrer.
Je ne doute pas du talent d'Alain Damasio qui a, semble-t-il, séduit la majorité de ses lecteurs. J'essaierai sans doute de retenter l'expérience de la Horde d'ici quelques temps. J'ai l'impression d'être passé à côté de quelque chose et cela me déplaît.
Ce livre me tentait mais en le feuilletant je me suis dit que j'allais être comme toi donc j'ai entamé à la place la version BD qui me plait plutôt bien et qui plus facile à assimiler.
J'ai honte de reconnaître que je n'ai pas réussi à terminer ce livre qui me semblait pourtant plein de promesses.
Le principal défaut de ce roman réside dans les bonds opérés entre les narrateurs. Combien sont-ils, déjà ? Vingt-trois ?
Les symboles fantaisistes permettant d'identifier les personnages qui prennent la parole ne m'ont été d'aucune aide - au contraire, j'étais encore plus confus car en sus de me débattre avec les noms, je devais également me souvenir des correspondances signes/protagonistes ! Un exercice certes faisable mais trop ennuyeux à mon goût.
Cette multiplication des points de vue m'a complètement éloigné de l'intrigue. J'ai été incapable de m'attacher à qui que ce soit, ce qui est, pour moi, l'un des points noirs les plus cruels qui peuvent entacher mes lectures.
Également, cette quantité de points de vue dessert le rythme du roman et fait traîner l'action en longueur, ce qui n'est pas toujours pour me déplaire lorsque le tout est bien fait et justifié. Mais ici... j'ai trouvé ça incroyablement lassant. J'ai commencé par sauter quelques lignes, puis des paragraphes entiers. J'ai même esquivé un chapitre tant il m'ennuyait. Et j'ai finalement refermé le livre avec un certain sentiment de culpabilité.
J'admets avoir été dépassé par l'intrigue. Je me suis dit que c'était normal, qu'une fois les premiers chapitres derrière moi, je pourrais me plonger plus avant dans l'histoire. Eh bien non, et c'est fort dommage.
700 pages qui auraient pu être compressées en 200 à condition de sacrifier cet exercice de style auquel l'auteur a tenté de se livrer.
Je ne doute pas du talent d'Alain Damasio qui a, semble-t-il, séduit la majorité de ses lecteurs. J'essaierai sans doute de retenter l'expérience de la Horde d'ici quelques temps. J'ai l'impression d'être passé à côté de quelque chose et cela me déplaît.
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