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— Est-ce que l’un d’entre vous sait ce que je suis ?

Je ne m’étais adressée à aucun d’entre eux en particulier, et aucun ne me répondit dans un premier temps.

— Tu es parfaite, me dit Aros.

— À nous, renchérit Coen d’une voix basse, épuisée. Tu es à nous.

Combien de temps avaient-ils passé à essayer de tuer Cyrus ? J’espérais que ce n’était pas la totalité du temps que j’avais passé inconsciente.

— Têtue, ajouta Yael. Tu es aussi sacrément têtue.

— Nous ne n’autoriserons plus jamais à quitter notre champ de vision, me répondit Rome d’une voix ensommeillée. J’avais déjà entendu ça.

— Tu es Willa Knight la Terrible, ajouta Siret, de sa voix familière qui m’enveloppa et me fit sourire tout contre le torse d’Aros. Et bien plus encore.

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-Tu devrais...

-Arrêter de parler aux garçons, l'interromis-je. Ouais. On a déjà eu cette conversation avant. C'est irrationnel. Je ne peux pas éviter tous les garçons.

-Juste les sol, me repondit-il en fronçant les sourcils. Et les ruraux. Et les dieux.

-Donc juste.. tous les garçons alors ? Lui demandai-je en arquant un sourcil.

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— Sans aucun doute, rétorqua Rome en levant les yeux au ciel. Il était impossible de la tuer comme une personne normale.

Je jetai immédiatement un regard autour de moi à la recherche d’un objet à lui envoyer. [...] Je ne remarquai aucun objet susceptible d’être lancé, à l’exception du banc en pierre qui se trouvait à quelques mètres. Mais c’était une mauvaise idée, parce que je doutais pouvoir le prendre et le lancer à Rome. 

À moins que… ? [...] Je fis rapidement un pas de côté et saisis le bord d’une main pour essayer de le soulever.

— Qu’est-ce qu’elle fiche ? demanda Rome en fronçant les sourcils sous l’effet de la surprise.

— Merde, sifflai-je en réussissant à déplacer le banc d’un demi-centimètre environ.

— Je pense qu’elle fait du sport, répondit Siret, parfaitement sérieux, du moins d’après son expression. J’ai entendu dire que les ruraux en ont besoin, sinon, ils deviennent moches.

— Impossible, s’esclaffa Aros. Willa ne peut pas être moche.

Je lâchai malencontreusement le banc et dus me couvrir la bouche de la main, ne sachant pas trop si je devais rire ou non.

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— Vous devriez tous y aller, leur dis-je en sentant la chaleur de la pierre se répandre jusqu’à mon poignet. Ça va aller. J’ai une pierre super spéciale avec moi et cet imbéci…

— Fais attention, murmura distraitement Cyrus. Tu n’as pas envie de m’insulter au moment où je lance un sort sur toi.

— Il a raison, intervint Siret en secouant la tête dans ma direction, même si je le vis à nouveau retenir un sourire.

— Et ce fantastique gentleman de Topia est en train de s’assurer que mon âme cannibale ne se nourrira pas d’elle-même dès votre départ, donc vous devriez partir. Ça va aller. Je peux prendre soin de moi.

— Tu n’es même pas capable de traverser un couloir sans trébucher, se moqua Aros, mais Coen les poussait déjà tous vers la porte.

— C’est bon.

Je le regardai en plissant le nez, passai maladroitement d’un pied sur l’autre ; la chaleur atteignit mon épaule et commença à me brûler.

— Mais je souhaite vraiment que personne n’aille en prison. Ça craint d’aller en prison, même si je suis persuadée qu’il y a pire que les prisons de Topia. Les cellules y sont très probablement en or, et on vous servira sûrement dix-sept repas par cycle solaire.

— En marbre, rectifia Siret d’une voix amusée. Tu as plutôt intérêt à être ici à notre retour, Pierraille. Ne perds pas la pierre.

— Et c’est cinq repas par cycle solaire, marmonna Rome d’un air offusqué. Nous ne sommes pas des aurochoïdes. Nous sommes un peu civilisés. Ne perds pas la pierre, ne la contrarie pas et ne la jette nulle part, et surtout, n’essaie pas de manger cette chose.

— D’accord, ça devient lourd, leur rétorquai-je. Vous me faites passer pour une moins-que-rien.

— Il veut que tu te sentes comme une moins-que-rien, me répondit Coen en poussant Rome vers la porte à la suite de Siret. Il veut que tu te sentes tellement comme une moins-que-rien sans nous que tu te jetteras dans ses bras en sanglotant à son retour. Il est vieux-jeu comme ça.

— C’est bizarre ! leur criai-je, suffisamment fort pour que Rome m’entende.

— Je ne veux pas qu’elle pleure, espèce de con, rétorqua Rome, dont la voix résonna dans la pièce.

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Il s’immobilisa alors et braqua ses yeux surnaturels sur moi, et j’en eus le souffle coupé. Ses iris ressemblaient encore plus à des pierres précieuses que d’ordinaire. Ils étaient presque scintillants, et cela me mit un instant mal à l’aise. Je n’avais jamais pu me payer d’objets rares auparavant. Ni de choses scintillantes. Même si je ne pensais pas une seconde acheter les yeux de Rome... parce que cela nécessiterait un groupe de collectionneurs d’yeux qui s’occuperaient de prélever les organes de façon illicite, et je n’étais pas certaine de pouvoir gérer davantage de groupes secrets ou de réunions secrètes après la rébellion des ruraux.

- C’est la seule raison pour laquelle tu refuserais qu’on me prenne mes yeux ? grommela Rome, légèrement incrédule.

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Siret attrapa son bras sans un mot, et une armure intégrale se matérialisa sur les vêtements de Coen.

— Comment vont-ils vous empêcher d’utiliser vos pouvoirs ? lui demandais-je dans un souffle.

Son regard solennel croisa le mien.

— En menaçant la seule chose au monde qui a de l’importance pour nous.

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— Bonjour, Être Sacrée, me dit Spoiler(cliquez pour révéler)ma mère avant de poser les yeux sur Aros. Bonjour, Être Sacré.

Son regard se déplaça.

— Bonjour, Être Sacré.

Il se déplaça encore.

— Bonjour, Être Sacré…

[...]

— Si je l’entends dire « bonjour » une nouvelle fois, c’est moi qui la renverrai en Silence, dit Yael.

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- Tu as vu cette robe ? lui demandai-je d'un ton faussement léger. Elle était ridicule.

ll esquissa un sourire. Infime.

- Siret aime abuser de son pouvoir.

- Vous aimez tous cela. Vous êtes tous, de base, des amuseurs de pouvoir.

Il s'assombrit de nouveau.

- Il n'y a rien de basique en nous.

- D'accord, c'est vrai, vous êtes très spéciaux. Est-ce que je peux avoir ta chemise maintenant s'il te plaît ? Ta chemise spéciale.

Il posa sa main sur son épaule, attrapa une poignée de tissu et tira dessus avant de me la tendre. Je tentai de ne pas fixer toute cette peau nue et dorée qu'il étalait devant moi.

- Je n'apprécie pas ton ton, m'avertit-il en pointant un doigt vers mon visage quand je pris sa chemise. Mais c'est effectivement une chemise spéciale, alors essaie de ne pas la brûler.

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Tu es à Topia ? me demanda Coen, entre la surprise et la colère. Tu t'es glissée à Topia ? Tu as envie de mourir, satanée Willa Knight ?

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- Ça t’arrive d’avoir des vêtements, poupée ?

Je haussai les épaules.

- Siret les fabrique de façon tellement ajustée que je suis bien plus à l’aise comme ça [en sous-vêtements].

- Quel malin, ce Siret, l’entendis-je murmurer.

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