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« On peut aimer d’un seul regard. D’ailleurs, on ne s’aime jamais si bien que quand on se connaît fort mal. »

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L'ETRANGERE LAISSE TRAINER SES BOUTS CHEZ LES AUTRES !

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-Imprévisible, anticonformiste et entreprenante. Prenez garde, un de ces jours je pourrais finir par tomber amoureux de vous.

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Ophélie se sentit intimidée. C’était la première fois qu’il se confiait à elle de cette façon. Il lui parlait enfin pour de vrai, yeux dans les yeux, d’égal à égal.

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L'ignorance est moins dangereuse que la connaissance.

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D’un mouvement hésitant, un peu timide, il invita

Ophélie à se rapprocher de sa chaise, de façon à trouver le meilleur compromis entre son bras cassé à elle et sa jambe brisée à lui. Quand elle fut suffisamment près, il appuya son front sur son épaule.

– La première fois que je vous ai vue, je me suis fait une piètre opinion de vous. Je vous croyais sans jugeote et sans caractère, incapable de tenir jusqu’au mariage. Ça restera à jamais la plus grosse erreur de ma vie.

Ophélie se sentit déchirée entre la détresse et la fureur. Il n’avait pas le droit ! Il n’avait pas le droit d’entrer dans son existence ainsi, de tout mettre sens dessus dessous, puis de s’en aller comme si de rien n’était.

Elle eut l’impression qu’elle se brisait de l’intérieur lorsque Thorn resserra son étreinte autour d’elle.

– Ne tombez plus dans les escaliers, évitez les objets tranchants et surtout, surtout, gardez-vous des personnes peu recommandables, entendu ?

Une larme roula sur la joue d’Ophélie. Les mots de Thorn lui creusaient un vide abyssal dans le corps. Elle savait avec une absolue certitude qu’à

l’instant où ils se sépareraient, elle ne connaîtrait plus jamais la chaleur.

Thorn déglutit contre son épaule.

– Ah, et au fait : je vous aime.

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Ignorant l’expression outrée de la Rapporteuse et les regards éberlués du reste de sa famille, Ophélie s’approcha de la glace du hall jusqu’à s’y refléter.

Elle regarda bien en face son visage déterminé sous les égratignures et les ecchymoses, enfin prête à affronter cette vérité qu’elle n’avait pas voulu voir.

Ce n’était pas Thorn qui avait besoin d’elle. C’était elle qui avait besoin de

Thorn.

Ophélie se plongea corps et âme dans le miroir.

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– Êtes-vous fâché contre moi parce que je vous ai repoussé ?

– Non, répondit Thorn sans la regarder. Je suis fâché contre moi parce que j’ai eu la prétention de croire, un instant, que vous ne le feriez pas.

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Ophélie frictionna ses bras l’un contre l’autre, rafraîchie par le vent, par la bruine et par une sensation froide qui lui venait de l’intérieur. En désertant son corps, la colère avait cédé la place à une étrange mélancolie.

– Cette cousine doit mal vous connaître pour voir en moi votre faille. La vérité, c’est que vous ne vous reposez jamais sur personne.

Thorn cessa aussitôt de s’intéresser à la parade costumée et abaissa vers

Ophélie son regard d’oiseau de proie.

– Vous voulez régler tous les problèmes par vous-même, poursuivit-elle d’une voix épaisse, quitte à utiliser les gens comme des pièces d’échiquier, quitte à vous faire détester du monde entier.

– Et vous, vous me détestez encore ?

– Je crois que non. Plus maintenant.

– Tant mieux, grommela Thorn entre ses dents. Parce que je ne me suis jamais donné autant de mal pour ne pas être détesté de quelqu’un.

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Mais plus que tout, aidez Thorn, l’implora Berenilde avec une soudaine fêlure dans la voix. Ce garçon me donne bien du souci, j’ai parfois l’impression que je ne le connais pas tout à

fait. J’ignore ce qu’il a dans la tête, mais pour le reste, faites-moi confiance, je le devine mieux que lui-même. C’est de votre cœur qu’il a réellement besoin, pas de vos mains.

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