Christelle Dabos
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Note moyenne : 8.54/10Nombre d'évaluations : 15 755
2 Citations 5 156 Commentaires sur ses livres
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Les derniers commentaires sur ses livres

Une lecture comme je les aime : un worldbuilding époustouflant d'ingéniosité, des personnages complexes et attachants, une plume délicate et soutenue qui fait du bien ! C'est une merveilleuse découverte pour moi et je ne regrette pas d'avoir fini par craquer après l'avoir vu et revu et entendu m'appeler en librairie. Je vais lire la suite avec bonheur et j'ai hâte de suivre l'évolution de notre chère Ophélie et de Thorn !
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Quel bonheur que de s'immerger dans cette saga décidément hors norme et addictive ! Ce tome est encore meilleur que le précédent et pourtant j'avais déjà adoré le premier ! Suivre la maladroite/attachante/amoureuse Ophélie est un plaisir tant son personnage est bien travaillé, et que dire de Thorn ? Il est décidément le genre de personnage masculin que j'aime voir évoluer au fil des pages. Et quelle évolution ! Même si, soyons honnête, c'est une évolution qui reste presque imperceptible pour cet homme implacable et impassible, qui n'en est pas moins hyper attachant. Vite, la suite !
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Ce n'est pas mon tome préféré car il arrive clairement derrière le second, qui était un grand, grand coup de coeur. Toutefois, j'ai terminé ce livre avec toujours autant d'étoiles dans les yeux et d'amour pour l'univers créé par Christelle Dabos. Quelle imagination !
J'ai pris plaisir à suivre Ophélie à Babel, ce nouveau lieu riches de secrets et de livres ! Thorn est égal à lui même : ambigu, et c'est ce qui me plaît chez lui. Leurs aventures sont tantôt haletantes, tantôt émouvantes ou prenantes. Il me tarde de lire la suite !
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J'ai adoré tous ces rebondissements. Ophélie et Thorn a jamais dans mon cœur.
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Ce tome est mon préféré de la série la passe miroir. Beaucoup de gens trouve mieux le tome 2 mais je ne suis pas d'accord. C'est sûrement dans ce tome qu'il y a le plus de romance donc ça a du m'influencer...
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Un 3e tome fantastique qui poursuit la trame de l'histoire parfaitement.
La cité de Babel est très instructive par ses lois et ses rebelles qui la composent. Il y a également une véritable hiérarchie à apprendre.
L'enquête d'Ophélie et de Thorn sur Dieu commence à se couronner de succès et de réponses tant attendues, même si pour 1 question répondue, 2 s'en posent désormais.
Il y a également un nouveau point de vue. Le personnage de Spoiler(cliquez pour révéler)Victoire est très déroutant. Entre ce qu'elle peut voir et ceux qui peuvent la voir, c'est encore une fois beaucoup de questions sans réponses.
En tout cas, j'ai adoré lire ce livre, retrouver Ophélie et ses amis ainsi que découvrir de nouveaux personnages.
À lire, vraiment ! 😁
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J'ai adoré !
Premièrement, je ne pensais pas être "prise" ainsi dans l'histoire. Rares sont les romans de fantasy qui arrivent à me captiver autant dans ma lecture. Pourtant, j'ai dévoré ce premier tome.
L'intrigue, quoique longue à se mettre en place, est assez intéressante. J'aime beaucoup Ophélie, ainsi que Gaëlle.
Le contexte, quand à lui, est un peu déroutant, mais tellement riche : le système "d'arches" est celui qui suit une sorte de "dislocation" de notre monde à nous, le tout dans une époque plutôt ancienne.
Et la fin, mais quelle fin ! C'est juste dommage Spoiler(cliquez pour révéler)que soit un peu prévisible le fait que le Chevalier soit impliqué dans l'extermination du Clan des Dragons lors de la chasse. Mais sinon, la fin donne vraiment envie de lire la suite !
En résumé, une très bonne lecture que je recomande !
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J’ai du mal à mettre des mots précis sur ce que m’a fait ressentir cette lecture. J’ai mis énormément de temps à lire ce livre (j’ai eu le temps d’en finir plusieurs autres entre deux reprises, y compris du Proust.), mais cela ne signifie pas que je n’ai pas aimé, ni que je me suis forcée à aller jusqu’au bout.
Au départ, j’étais un peu déroutée, mais je me suis assez vite laissée porter par le récit. Pourtant, dès que je faisais une pause, elle s’éternisait. C’était étrange : je ne ressentais jamais une envie urgente de reprendre, et en même temps, à chaque fois que je me replongeais dedans, j’étais aussitôt happée par l’intrigue.
J’ai été déroutée à plusieurs reprises, mais ce n’était jamais désagréable. Par exemple, lorsque la première partie s’est achevée sur ce qui ressemblait à une fin de tome, je me suis demandé ce que la suite allait bien pouvoir raconter, sans être certaine d’apprécier, pour finalement préférer cette seconde partie.
La plume de Christelle Dabos me charme toujours autant, et j’ai apprécié les personnages, notamment le duo principal (leurs physiques m’ont vraiment fait plaisir.). Cela dit, je n’ai pas eu de coup de cœur pour eux. Je ne redoutais pas particulièrement la fin, même en imaginant le pire, ce qui montre que je n’étais pas profondément attachée à eux. Malgré tout, j’ai aimé les suivre du début à la fin.
Ce qui me laisse plus perplexe, c’est l’univers. Est-ce que je l’ai aimé ? Je ne peux pas dire que je ne l’ai pas aimé, mais je ne suis pas non plus conquise. J’ai eu la sensation qu’on ne m’en donnait pas assez pour m’immerger pleinement dans ce monde, pour en saisir toute la société, les rouages, les ambiances. Peut-être est-ce simplement une question de sensibilité. L’univers m’a intriguée, j’avais envie d’y plonger, mais j’ai souvent eu le sentiment de rester à la surface.
J’ai beaucoup aimé l’idée du Nous, ce questionnement sur la place de l’individu dans une société collective. J’ai trouvé intéressant le système des marques à la naissance, le principe de « sauver » des vies pour monter en grade, et même le petit côté Sense8 qui se dégage à un moment. Mais malgré tout, j’ai eu l’impression de lire un résumé de concept, plutôt que de vivre pleinement dans un monde.
Quant à la fin… elle m’a laissée sur une impression de soufflé qui retombe. Alors que j’étais pleinement embarquée, que je prenais enfin un réel plaisir, tout s’est brusquement calmé, comme un "oh", tiède et un peu déçu. Il y avait quelque chose de trop facile, voire tiré par les cheveux.
L’imaginaire et l’écriture de Christelle Dabos continuent de me séduire, mais je n’arrive pas à ignorer ce manque de connexion avec l’œuvre. J’ai l’impression d’avoir un peu pataugé, puis flotté jusqu’à la fin. Ce n’était pas désagréable, loin de là, mais pas marquant non plus.
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Ce roman nous plonge dans monde où le libre arbitre est un mythe, où chaque geste, chaque mot, chaque pensée est dictée par le Nous. Où l'individu s'efface, s'oublie, se fond dans la grande mécanique collective.
C'est une histoire se tissant à plusieurs voix et qui s'élève progressivement en un choeur fascinant. Elle nous entraîne toujours plus loin dans une intrigue qui oscille entre enquête, quête existentielle et vertige dystopique.
Au milieu de cette orchestration implacable, des dissonances apparaissent. Des murmures, d'abord imperceptibles, puis insistants. Des éclats de conscience, de petites résistances mais tenaces. Et c'est là que le roman prend toute sa puissance : dans ces instants où le Nous vacille, où l'individu, malgré tout, cherche à exister.
Un coup de coeur qui explose les cadres, bouscule les structures narratives et fait vibrer chaque voix dans un chaos magistral !
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Sans en comprendre la raison, j'ai lu assez rapidement ce roman et je n'ai su m'en détacher. Pourtant j'ai eu grand mal à m'intéresser un tant soit peu à l'histoire durant toute la première partie du livre soit environ 50 % de celui-ci tant l'histoire me paraissait fade. De plus les personnages sont peu attachants, l'"héroïne" manque cruellement d'intelligence et de logique effarant ma lecture, l'univers dans lequel elle circule est néfaste, nauséabond, tout ce qu'il y a de plus morbide.
De fait, rien en apparence ne peut plaire dans ce livre et je me questionne encore sur la raison qui m'a poussé à le finir et qui va par ailleurs me pousser à lire la suite. Je pense que ce livre me pousse à une curiosité tout à fait malsaine à comprendre l'univers et à vouloir connaître la suite. Cependant je n'en vois pas là une qualité qui justifie le succès du roman, ni même justifierai que je puisse le recommander à qui que ce soit.
Enfin, et à bien des égards, je ne vois pas comment cet ouvrage peut être qualifié de littérature jeunesse.
Afficher en entierOn parle de Christelle Dabos ici :
2019-02-27T16:35:10+01:00
2018-12-31T16:07:28+01:00
2018-08-20T19:44:27+02:00
2018-05-13T21:58:34+02:00
2018-05-13T21:50:05+02:00
2018-03-12T08:45:52+01:00
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Biographie
Christelle Dabos est une romancière française.
Elle grandit à Cannes dans une famille de musiciens. Elle compose ses premiers textes sur les bancs de la faculté et se destine à être bibliothécaire quand la maladie survient.
On lui diagnostique un cancer à la mâchoire pour lequel elle subit une lourde opération chirurgicale. L'écriture devient alors une seconde nature et elle rejoint la plate-forme d'écriture Plume d'Argent, une communauté d'auteurs sur Internet.
Elle décide de relever son premier défi littéraire grâce à leurs encouragements et de participer à la première édition du Concours premier roman jeunesse Gallimard, lancée en partenariat avec RTL et Télérama, en 2012.
En 2013, elle est lauréate du prix de ce concours pour "Les fiancés de l'hiver", le premier tome de la série "La passe-miroir" (qu'elle a commencé à écrire les premières trames en 2007). Le titre de la série lui est inspiré de "Le passe-muraille", œuvre littéraire de l'écrivain français Marcel Aymé.
Les deux premiers ouvrages de la série, "Les fiancés de l'hiver" (2013) et "Les disparus du Clairdelune" (2015), ont été récompensés du Grand prix de l'Imaginaire dans la catégorie roman jeunesse francophone en 2016.
Les trois premiers tomes se sont vendus à cinq cent mille exemplaires en France. Avec son succès et son influence, elle est considérée en 2019 au moment de la parution de "La tempête des échos", le quatrième tome de "La passe-miroir", comme une auteure de premier plan en matière de littérature pour adolescents.
Christelle Dabos vit en Wallonie, en Belgique, depuis 2005.
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