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Tu penses qu’il frapperait un mec en fauteuil roulant ? demandé-je. Je plaisante. Mais bon… — Je pense qu’il te roulerait dessus avec sa voiture s’il pensait que c’était justifié, fauteuil ou pas. — J’aime les gens qui ne voient pas le fauteuil. Donc ça ne poserait pas de problème. — Je pense qu’il est bien de voir nos différences. Et même de les apprécier. Mais pas de juger les gens en se basant dessus

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(Discution entre Josh et Friday)

- est-ce que je peux être franche avec toi?

- je préférerais que tu sois Friday, mais c'est quasiment pareil.

Elle rit

- je pense que tu as raison.

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- Je veux plus. J'ai envie que tu sois ma copine.

- Copine ? soufflé-je. On a pas douze ans. Pas besoin de se coller une étiquette.

Il redevient sérieux.

- J'ai besoin d'être étiqueté.

Il le dit de manière si concise que j'en ai le souffle coupé.

- Vraiment ?

- Oui, vraiment. J'ai besoin d'une étiquette. Qu'est-ce que je suis pour toi ? Seulement le mec que tu baises ? Ce mec dont tu couches dans le lit quand tu as besoin d'échapper à ta vie réelle ? Ou est-ce que je suis ce mec avec qui tu veux passer du temps ? Est-ce que je peux être ce mec que tu appelles quand tu as besoin d'aide ? Quand tu as besoin de parler ? Quand tu as besoin de pleurer ? Quand tu as besoin de te mettre en colère ? Quand tu es seule ? Quand tu souffres ?

Il émet un grognement rauque.

- Si tu veux retourner à la maison et prétendre qu'il ne s'est rien passé, ça va être difficile pour moi, parce que tu as changé mon monde ce week-end. Je ne veux pas me retrouver seul. J'ai envie d'être avec toi.

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« — Est-ce que Star t’as raconté ce qui lui est arrivé ?

— Vous voulez dire avec son père d’accueil ?

— Son père !

Il aboie un faux rire.

— Tu parles d’un père !

Il reste silencieux un instant.

— Je suis surpris qu’elle t’en ait parlé. Elle n’en parle jamais à personne.

— Je l’aime, Emilio.

Je le pense. Je lui ai dit que je l’aimais. Ça ne me gêne pas de le lui dire à lui aussi.

Il ne dit rien. Il se contente de déambuler dans la pièce. Mais lorsqu’il ouvre enfin la bouche, j’ai envie de la lui faire fermer, parce que je vois les émotions contradictoires sur son visage avant même qu’il ne parle.

— Je me souviens de la première fois où elle est venue vivre avec nous.

Sa mâchoire tressaute pendant qu’il grince des dents.

— C’était une pauvre petite chose. Maigre et dégingandée. Mais, quand elle a souri, elle a conquis mon cœur.

Il s’arrête et regarde par la fenêtre.

— Elle était avec nous depuis une semaine, et une nuit je suis passé devant sa chambre. J’ai vu que sa lampe de chevet était allumée et qu’elle lisait, alors je me suis arrêté sur le pas de la porte.

Je n« e l’interromps pas. J’ai peur de le faire. Mon cœur bat comme s’il allait sortir de ma poitrine.

— J’ai frappé doucement à la porte et elle a presque sauté du lit. Elle a commencé à gigoter et a posé son livre sur le côté. Puis elle m’a souri, mais c’était si étrange, tu sais ?

Il se retourne pour me regarder. »

« — Non, tu ne peux pas savoir. Même moi je ne le comprends pas. C’était presque robotique. Comme si elle jouait la comédie. Elle m’a fait signe d’avancer vers elle, puis elle a retiré sa chemise de nuit.

Mes entrailles se nouent.

— J’ai reculé de deux pas dans le couloir, étourdi, vraiment, et je suis resté là, ne sachant pas quoi faire ni dire. Tu as un problème avec ta chemise de nuit ? ai-je fini par lui demander. S’il fait trop chaud, je peux aller te chercher un ventilateur. Elle a eu l’air un peu confuse, un peu perdue un moment, puis elle a remis sa chemise de nuit. C’était un bébé. Juste une enfant. Je parie qu’elle n’était même pas assez grande pour avoir ses règles. Marta a géré ça avec les filles.

Je lève une main.

— Vous ne devriez pas me raconter ça…

— Je te raconte mon histoire, dit-il. Pas la sienne.

Je me force à écouter.

— Elle partageait une chambre avec Wren. Et quand je me suis éloigné, j’ai entendu Wren murmurer : tu n’as pas besoin de faire ça pour celui-là. Celui-là, il est gentil. La lumière s’est éteinte, et elles sont allés « se coucher.

« Je suis allé vomir mon dîner. Marta est entrée et a été surprise de me trouver par terre dans un coin de la salle de bain, avec l’impression que quelqu’un venait de m’arracher le cœur de la poitrine.

Il serre son poing sur son cœur.

— C’était une enfant. Et elle pensait que c’était ce qu’elle devait faire pour me faire plaisir.

Sa voix se casse.

— Qu’est-ce que vous avez fait ?

Je n’ai pas vraiment envie de le savoir, mais je pense ».

— Je ne suis jamais retourné dans sa chambre la nuit. Pas sans Marta. Même maintenant, je ne mets pas les pieds dans sa chambre. Jamais.

Il secoue la tête.

— C’en était simplement trop, tu comprends ? C’était un bébé, bordel.

— Vous saviez qui c’était, à l’époque ?

— Sa première famille d’accueil. Avant qu’elle n’aille en foyer.

Il secoue la tête.

— J’ai essayé de découvrir qui c’était pour pouvoir le tuer à petit feu. Je voulais lui arracher tous les ongles. Puis je voulais entourer la base de ses couilles avec du scotch et les laisser pourrir. Juste après avoir découpé sa bite en tout petits morceaux. Je ne voulais pas la couper. Ça aurait été trop gentil.

— Est-ce que vous lui avez fait quoi que ce soit ?

Il secoue la tête et soupire.

— Personne n’a voulu me dire qui c’était.

— C’est probablement mieux ainsi.

— Ils lui ont retiré l’agrément pour accueillir des enfants, et ils ont dit qu’ils l’avaient poursuivi en justice, mais je n’ai réussi à obtenir aucun détail. Il avait déjà fait le coup, apparemment.

— Eh bien, c’est bien… je veux dire… qu’il ne puisse plus être avec des enfants.

— Il méritait pire[…] »

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Il fut un temps où personne ne m'aurait confié un bébé, mais c'était avant de rencontrer les Reed. Je déglutis, car j'ai soudain la gorge nouée par l'émotion.

-Mec, si tu pleures, je vais prendre une photo et l'envoyer à tout le monde.

Je ris.

-Va te faire foutre.

Puis je me souviens que je porte un bébé.

-Oh merde, lâché-je, enfin, je veux dire zut.

Je viens de jurer deux fois devant leur bébé.

Sam rit et retourne s'asseoir près de Peck au bord du lit, puis il croise les pieds sur ses chevilles. Apparemment, il est plus amusé qu'énervé par mon dérapage.

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-Il est très gentil. Et drôle. Et doux.

-Il ressemble à un voyou, déclare Emilio en me regardant méchamment.

-C'est l'hôpital qui se fout de la charité, répond-je.

Il me fait un doigt d'honneur, ce qui me fait rire.

-Sérieusement, Mélio, dis-je, j'ai vingt-six ans.

Il se penche vers moi et dit lentement :

-Et je suis ton p-è-r-e. C'est mon devoir de m'assurer que tu vas bien.

-Mais tu n'as pas accès illimité à ma vie amoureuse !

-Alors c'est que c'est plus qu'une partie de jambes en l'air, répond-il.

Il sursaute lorsqu'un torchon mouillé travers la cuisine et atterrit à l'arrière de son crâne.

-C'est quoi ce bordel ?

-Ferme-là, lâche Marta.

Je sais que la partie est finie. Marta l'arbitre, a sifflé la fin du match. Dieu merci.

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-J'imagine que tu me le diras si tu as besoin de mon aide pour quoi que ce soit, n'est-ce pas ? demande-t-elle doucement.

J'attrape mon sac et le pose sur mes genoux.

-Exactement.

Je lui souris. Elle me fait me sentir un homme plus que quiconque ne l'a fait depuis longtemps. Puis elle enlève son sac de son épaule et le pose aussi sur mes genoux.

-Bien, dit-elle. Porte le mien aussi.

Elle sourit et se dirige vers la porte.

Je lâche un rire et elle me regarde par-dessus son épaule.

-Quoi ? demande-t-elle.

-Rien.

Mais mon coeur bat rapidement dans ma poitrine. C'est la joie.

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-Est-ce que mon fauteuil te dérange ? demande-t-il soudain.

Je jette un oeil à l'endroit où il l'a laissé.

-Il n'est pas en travers du chemin.

Il secoue la tête.

-Ce n'est pas ce que je voulais dire.

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