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— La gloire n’est pas pour tout le monde, observai-je.

— En es-tu sûr, Fitz ? En es-tu sûr ? A quoi bon une petite vie qui ne change rien à la grande vie du monde ? Je ne conçois rien de plus triste. Pourquoi une mère ne se dirait-elle pas : Si j’élève bien cet enfant, si je l’aime, si je l’entoure d’affection, il mènera une existence où il dispensera le bonheur autour de lui, et ainsi j’aurai changé le monde ? Pourquoi le fermier qui plante une graine ne déclarerait-il pas à son voisin : Cette graine que je plante nourrira quelqu’un, et c’est ainsi que je change le monde aujourd’hui ?

— C’est de la philosophie, fou. Je n’ai jamais eu le temps d’étudier ces choses-là.

— Non, Fitz : c’est la vie. Et nul ne peut se permettre de ne pas y penser. La moindre créature doit en avoir conscience, songer au moindre battement de son cœur. Sinon, à quoi sert de se lever chaque matin ?

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Quand une idée te vient brusquement et que tu estimes que c'est la vérité sans te fonder sur aucune preuve, tu te rends aveugle aux autres possibilités.

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Cesse de te définir par ce que tu ne peux pas faire. Vois plutôt ce que tu n'as pas perdu.

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Si la botte ne va pas, impossible de la porter, quel que soit le cordonnier qui l'a faite.

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« Croyez-vous que l’inconfort que vous vous infligerez donnera ne serait-ce qu’un souffle de plus à un enfant, mon suzerain ? Ce qui s’est passé à Vasebaie est terminé. Pourquoi souffrir ?

— Pourquoi souffrir ? » Je réussis à sourire. « Chaque habitant de Vasebaie a dû poser la même question au brouillard, cette nuit. Je souffre, mon fou, parce qu’ils ont souffert. Parce que je suis roi. Mais davantage encore, parce que je suis un homme et que j’ai vu ce qui leur est arrivé. Réfléchis, fou : imagine que chaque habitant des Six-Duchés se dise : « Ma foi, ce qui pouvait leur arriver de pire s’est déjà produit. Pourquoi renoncer à mon repas et à mon lit douillet pour m’en occuper ? » Fou, par le sang qui est en moi, ce sont mes sujets. Ma souffrance est-elle plus grande ce soir que la leur ? Que sont les élancements et les tremblements d’un seul homme à côté de ce qu’a subi Vasebaie ? Pourquoi m’abriterais-je alors que mon peuple se fait massacrer comme du bétail ?

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Il a dit que les gens des Six-Duchés étaient mon peuple, que c’était dans mon sang de les protéger, de ressentir leurs blessures comme les miennes.

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«J'ai remarqué quelque chose chez les gens maigres : certains, tel Umbre, semblent si attirés par l'existence qu'ils en oublient de manger ou, au contraire, qu'ils brûlent jusqu'à la moindre miette de nourriture au feu de la fascination passionnée que leur offre la vie. Mais il existe un autre type d'individus, ceux qui traversent les jours avec des allures de cadavres, les joues hâves, les os saillants ; on sent bien que ce bas monde les dégoûte tellement qu'ils n'en absorbent le moindre élément qu'avec la plus grande réticence.»

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Qu'il suffise de dire que nous réparâmes les pots cassés du mieux possible dans le bref laps de temps qui nous restait; mais un pot réparé n'est jamais aussi solide qu'un pot intact et je regagnai le bateau en me sentant aussi seul que si je n'avais pas passé le moindre instant en sa compagnie.

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Mais parfois, les seuls choix possibles sont tous mauvais.

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Il s'agit de t'enseigner le meurtre, plus ou moins. A tuer les gens. L'art raffiné de l'assassinat diplomatique ou bien comment rendre aveugle ou sourd, ou encore comment affaiblir les membres, provoquer une paralysie, une impuissance ou une toux débilitantes, ou déclencher une sénilité précoce ou la folie ou... mais peu importe. Tout cela c'est mon métier et ce sera le tien si tu l'acceptes. Sache a priori que je vais t'apprendre à tuer des gens. Pour ton roi. Pas à la façon spectaculaire que t'enseigne Hod, pas sur le champ de bataille, sous les yeux et les acclamations de tes camarades. Non : je vais t'apprendre la manière furtive, sournoise, polie de tuer les gens.

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