Robin Hobb
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Note moyenne : 8.25/10Nombre d'évaluations : 11 500
4 Citations 3 938 Commentaires sur ses livres
Alias et noms de plume
- Megan Lindholm
Les derniers commentaires sur ses livres

Pourquoi je n'ai pas commencé cette série avant
Énorme coup de cœur pour le 1er tome 😍
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Il m'a fallu 8 mois pour lire l'œuvre complète (préludes, assassin royal, aventuriers de la mer et cité des anciens).
Une œuvre plus que magistrale. Les personnages sont variés, complexes et travaillés. Et ce ne sont pas les seuls.
Que dires des différents pays avec chacuns leurs passés et leurs coutumes tous si riches et différents.
Mais aussi les magies : vif, art, divination par l'eau, magie des haies...
Tous ces ingrédients ont permit de construire un univers et une (des) histoire(s) incroyable(s).
Pour ce qui est du final, il est époustouflant :
Spoiler(cliquez pour révéler)Un véritable bonheur de découvrir qu'Oeil-de-Nuit a transgressé les règles du lignages pour lier éternellement son âme à celle de Fritz. Et cette union du trio enfin réunis m'a vraiment surprise.
J'ai pourtant quelques regrets :
- J'ai toujours trouvé tragique que Fritz n'ait jamais retrouvé sa mère. Qu'il n'ait jamais su qui elle était exactement.
- Le fou gardera à jamais ses secrets. Nous ne saurons jamais pourquoi ses parents étaient 3, ce qu'était devenu sa sœur ou même quel était véritablement son sexe (même si j'ai tendance à penser qu'il s'agissait bien d'un homme). Je sais que Robin Hobb a fait ça pour garder son personnage pour toujours baigné dans son aura de mystère. Mais c'est plus fort que moi, j'aime bien avoir toutes les révélations.
- Quant aux vivenefs, j'aurais voulu savoir si d'autres allaient combattre l'interdiction comme Vivacia et Kendri
Il y en a d'autres. Mais cela prendrait plusieurs pages de tous les citer.
Pourtant, cette saga restera parmi mes préférés grâce à toutes ses richesses et ses complexité.
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Meilleure saga fantastique lue récemment
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J’ai tellement souffert en lisant ce tome 2 ! Mais cette histoire est vraiment incroyable. C’est vraiment très bien écrit, fluide, intense, rempli d’émotions… Je vais faire une petite pause avant de lire le dernier tome car j’ai vraiment souffert mais je lirai la suite !
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Certains me regarderont avec des yeux ronds comme des soucoupes en apprenant que, jusqu’à il y a quelques jours, je n’avais jamais entendu parler de L’Assassin Royal. Une saga culte, qu’on me dit. Un monument de la fantasy moderne. Pourtant, c’est par le plus grand des hasards – et une promotion Audible alléchante (trois livres pour le prix de deux, je suis faible) – que je me suis retrouvé à plonger tête la première dans ce premier tome, L’Apprenti Assassin.
Je ne suis pas ce qu’on pourrait appeler un vétéran du genre. Mon seul véritable bagage en high fantasy se résume à L’Épée de Vérité de Terry Goodkind, et encore, je n’ai jamais ressenti ce frisson indescriptible qu’on attribue aux grandes sagas. Pourtant, dès les premières heures d’écoute, quelque chose s’est produit. Ce monde que Robin Hobb tisse avec une minutie d’orfèvre s’est mis à se dessiner dans mon esprit, comme si chaque phrase était un coup de pinceau sur une fresque en perpétuelle expansion.
Difficile de ne pas s’attacher à Fitz, ce gamin perdu au destin tout tracé. Un bâtard royal jeté à la cour comme un pion de second rang, privé d’une enfance normale, façonné pour devenir une arme sous les ordres d’un roi dont il ne connaît que le nom. Pourtant, s’il y a bien une chose qui m’a frustré, c’est cette impression tenace que Fitz manque parfois de consistance propre. Il subit, il encaisse, il avance, mais on attend le moment où il prendra véritablement les rênes de son propre destin. Peut-être est-ce voulu – après tout, Hobb excelle dans l’art de la construction psychologique progressive.
Oubliez les grandes batailles spectaculaires et les quêtes épiques classiques : ici, l’intrigue se tisse lentement, avec une précision presque chirurgicale. Robin Hobb prend le temps de poser ses personnages, de les imbiber d’une profondeur rarement égalée. Chaque regard échangé, chaque dialogue murmuré, chaque silence est porteur de tension. La Cour des Six-Duchés est une toile d’araignée où chacun manipule les fils de son propre destin, et Fitz se retrouve piégé au centre, trop jeune pour comprendre toutes les règles du jeu, mais assez lucide pour en sentir l’injustice.
L’autre force du roman, c’est son atmosphère. On est loin des récits de fantasy flamboyants où les héros brandissent leurs épées en proclamant des discours enflammés. Ici, tout est feutré, froid, presque oppressant. Il y a quelque chose d’étrangement intime dans l’écriture de Hobb, une proximité qui donne au récit une saveur particulière. On ressent la solitude de Fitz comme une douleur sourde, on entend les échos des intrigues de cour, on devine les ombres qui se glissent dans les couloirs du château.
Et puis, bien sûr, il y a la magie. Le Vif, cet étrange don qui permet à Fitz de se lier aux animaux, est à la fois une bénédiction et une malédiction. Hobb en fait un élément central de son intrigue, non pas comme un simple pouvoir, mais comme une facette profondément intime de son héros. C’est une magie qui lie autant qu’elle isole, qui fascine autant qu’elle inquiète. À travers elle, l’autrice explore des thématiques bien plus profondes qu’il n’y paraît : la différence, l’ostracisation, la peur de l’autre.
Alors oui, ce premier tome est une introduction, et il prend son temps. Peut-être trop, pour certains. Mais c’est aussi ce qui fait sa force : il ne cherche pas à en mettre plein la vue dès le départ. Il nous immerge, il nous hypnotise, il nous prépare. Et une fois qu’on a franchi la dernière page – ou écouté la dernière phrase dans mon cas –, une seule question demeure : comment ne pas immédiatement enchaîner avec la suite ?
Benjamin L. Urbanski – Le Parfum des Mots
31 janvier 2025
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13 volumes en tout... je me lance prochainement dans le 2 !
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C'est un très bon roman, bien meilleur que le premier. Je l'ai beaucoup apprécié, il est beaucoup plus captivant, les descriptions sont moins barbantes.
En plus, ce deuxième volume débute par un chapitre sombre, horrible, qui donne le ton. On est bien dans une dark fantasy.
J'ai également apprécié l'évolution de Fitz, bien qu'il reste assez passif, et j'ai hâte de voir s'il prendra son destin plus en main, s'il cessera de n'être qu'un simple pion.
J'adore le personnage du Fou, je sens qu'il va gagner en importance !
En tout cas, c'est un bon livre dans le sens où je ressens beaucoup d'émotions en le lisant: je m'énerve contre des décisions prises, contre des personnages, j'enrage parce que je hais Royal, etc.
J'ai hâte de lire la suite!
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Bon livre d' heroic fantasy
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Après l’immense coup de cœur que j’ai eu pour la première époque de L’Assassin Royal en 2024, il était évident que j’allais poursuivre ma découverte de l’univers étendu créé par Robin Hobb avec la saga des Aventuriers de la Mer, dont le premier des neuf tomes s’intitule Le Vaisseau Magique. Et ce toujours en lecture commune avec Manon @b.luefern et Evalie @vivi_laptitesorciere !
J’avais d’abord tenté de l’écouter dans sa version audio en septembre dernier, mais la voix du narrateur et son interprétation étant tellement soporifiques et tellement loin de rivaliser avec celles de Sylvain Agaësse, que je l’ai abandonné pour le reprendre en version numérique début janvier.
L’effet a été instantané : Robin Hobb m’a immédiatement prise par la main pour m’entraîner à la rencontre de ses nouveaux personnages. Son écriture a toujours ce pouvoir immersif sur moi (et ce malgré son amour pour les descriptions et sa propension à écrire des chapitres de 50 pages avec des paragraphes de trois kilomètres de long), si bien que j’ai dévoré Le Vaisseau Magique à une vitesse folle et presque sans m’en rendre compte.
Globalement, ce premier tome est très introductif et il est clair que l’action n’est pas au rendez-vous. Mais ça ne m’a pas dérangée, trop occupée que j’étais à ouvrir de grands yeux écarquillés face à la nouvelle carte que nous dévoile Robin Hobb. J’ai aimé prendre connaissance des nouveaux enjeux géo-politiques de Terrilville, des îles Pirates et de Jamaillia. Mais aussi découvrir le nouveau système de magie imaginé par l’autrice, que je trouve très intelligent et subtil. Et surtout -surtout- j’ai adoré rencontrer tous ces personnages si différents mais si bien incarnés, comprendre leurs dynamiques, leurs constructions, leurs rêves, leurs désirs, leurs qualités, leurs failles et m’attacher à eux de plein de manières différentes.
Parce que le plus grand talent de Robin Hobb se trouve là : nous dépeindre des personnages si vivants et complexes qu’il lui suffit de quelques lignes pour que l’on n’ait plus envie de les lâcher. Sachant que la particularité de cette nouvelle série semble être la multiplicité des points de vue : là où L’Assassin Royal ne nous offrait que la vision de Fitz, Les Aventuriers de la Mer donne à chaque personnage son temps de parole. Ce qui décuple encore plus l’étendue des possibles – surtout en sachant que certains arcs narratifs (comme celui de Kennit) restent pour l’instant totalement indépendants des autres – mais il est certain que tout s’emboîtera bientôt parfaitement, je fais confiance à Robin Hobb pour ça.
Le Vaisseau Magique reste donc malgré tout un tome très riche qui laisse entrevoir toutes les possibilités de la suite. L’autrice a disposé tous les ingrédients sur la table et elle a commencé à en assembler quelques-uns, de façon à nous faire comprendre que le résultat final de sa recette sera digne d’un cinq étoiles. Une chose est sûre : j’ai hâte d’y être !
https://desrevesdanslamarge.com/les-aventuriers-de-la-mer-1-le-vaisseau-magique-robin-hobb/
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Sans spoiler, je dirais que l’autrice poursuit brillamment la narration de son conte et qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde !
Dans ce tome, on retrouve le personnage principal adolescent, quelques semaines après les événements de la fin du premier tome. Et parce que l’autrice sait dynamiter son histoire, elle débute avec une scène au présent sous forme de vision, qui pousse le héros à reprendre du poil de la bête !
Il se retrouve au carrefour de ses considérations personnelles, tout en demeurant l’outil du roi et de son roi-servant… Ses talents sont capitalisés. Il répond à leurs attentes, tente d’imposer des requêtes, mais se heurte à une solitude si pesante qu’il finira par tisser un lien dont les conséquences l’effraient de plus en plus ! Et pourtant, il n’a jamais été aussi proche de Patience, Molly, Vérité…
Dans ce tome, les événements confrontent les personnages davantage aux Forgisés qu’aux Pirates Rouges, ce qui rend la lecture particulièrement addictive !
Afficher en entierOn parle de Robin Hobb ici :
2018-07-15T06:00:13+02:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2014-07-25T12:56:00+02:00
2011-05-04T14:41:13+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Robin Hobb
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
J'ai lu : 119 livres
Pygmalion : 70 livres
France Loisirs : 47 livres
Mnémos : 10 livres
Harper Voyager : 9 livres
Soleil : 8 livres
ActuSF : 6 livres
Pocket : 5 livres
Biographie
Megan Lindholm alias Robin Hobb est née en 1952.
Dans la tradition des grands romanciers de l’aventure tel J.R.R. Tolkien, elle est considérée comme l’un des maîtres du genre dans les pays anglo-saxons. Au milieu des années 90, elle publie les premiers tomes d’un nouveau cycle sous le nom de plume de Robin Hobb. Les trois volumes de cette saga, La Citadelle des Ombres (L’Assassin royal), la propulse au sommet des ventes. Elle a également publié chez Pygmalion L’Arche des Ombres (Les Aventuriers de la mer) et le Soldat Chamane. Elle figure désormais régulièrement sur les listes des best-sellers en France, aux États-Unis, en Angleterre et en Allemagne.
Dragons et serpents est le premier tome de sa nouvelle série, Les Cités des Anciens.
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