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— Spencer, puisque nous en sommes à révéler nos secrets, je dois vous avouer que je suis à l’origine d’une des pires rumeurs qui soient vous concernant. J’ai déclaré à un groupe de jeunes femmes impressionnables que vous vous transformiez en hérisson les nuits de pleine lune.

Comme il luttait pour observer un silence réprobateur, elle enchaîna :

— Si cela peut vous consoler, je le regrette, aujourd’hui.

— Vraiment ?

— Oh, oui ! C'était une insulte aux hérissons.

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Ils se dévisagèrent un long moment, puis Amélia murmura :

Spoiler(cliquez pour révéler)

- C'est pour cette raison que vous voulez Osiris [un étalon]. Vous êtes prêt à dépenser des dizaines de milliers de livres, à changer votre vie, à risquer la fortune des autres - dont mon frère - simplement pour que votre jument ombrageuse retrouve son camarade d'enfance ?

- Oui

P. 232

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—Je veux vingt mille livres.

—Quinze mille. C’est à prendre ou à laisser.

—Tu as pourtant proposé vingt mille à Lily.

—Elle est en deuil et elle est jolie. Toi, tu es laid et déplaisant.

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—Spencer... commença-t-elle.

Il rougit légèrement, l’air embarrassé.

—Allez-y, ne m’épargnez pas. Vous m’avez déjà traité de romantique. Je ne vois pas ce que vous pourriez dire de pire pour me discréditer.

—Vous êtes adorable.

—Et voilà ! vociféra-t-il en s’écroulant comme s’il venait de recevoir une flèche en plein cœur. Si jamais vous le répétez à qui que ce soit, je vous poursuis pour diffamation.

—Je préfère que ce soit notre secret, répliqua-t-elle

—Suis-je autorisé à employer un terme affectueux ou m’accuserez-vous de vous traiter comme l’un de mes chevaux ? s’enquit-il en se redressant.

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—Ah. C’est donc cela la clé pour gagner votre affection ? Peut-être qu’en vous malmenant je serai mieux traitée.

Il se mit à rire à son tour.

—N'est-ce pas précisément ce que vous faites depuis le début ?

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-lady Amelia, attaqua-t-il d'un ton accusateur. Vous êtes....

il la parcourut de le tête au pieds, et elle ne put réprimer un frisson.

-Vous êtes en retard.

-En retard? répéta-t-elle, incrédule.

il pénétra dans la pièce à grande enjambées tout en sortant une montre de sa redingote.

- le mariage devait commencer à 10 h 30, reprit-il or, il est exactement 10 heures...

-..... 39. Vous avez neuf minutes

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Pourquoi diable éprouvait-il le besoin de s'interroger sur une femme autoritaire, impertinente, et pas vraiment jolie ? Pourtant, c'était le cas. Mais il n'avait pas l'intention de se lancer dans un interrogatoire gauche et périlleux. Il voulait juste des références. Un arbre généalogique de sa famille remontant aux invasions normandes. Le catalogue de tous les livres qu'elle avait lus dans sa vie. Une carte topographique de son corps indiquant avec précision la localisation de chacun de ses grains de beauté.

P. 49.

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Amelia apparaissait douce et lisse, et tandis que ses pensées s'accrochaient au tissu, son regard glissa sur elle. Il s'efforça de la décrire. Certes, elle n'était pas élégante, ni renversante ou belle.

Rafraichissante. Voilà, son apparence était rafraichissante. Telle de l'eau fraiche et limpide un jour de canicule. Et il en eut volontiers bu un verre.

P. 97.

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- Que lisez-vous ? s'enquit-elle sur sa lancée ?

En réponse il brandit le livre devant elle.

- Waverley° ? Je croyais que vous étiez un grand lecteur. Vous devez être la dernière personne en Angleterre à lire ce livre.

- Certainement pas. Je l'ai déjà lu, plusieurs fois, dit-il en feuilletant les pages. Je ne suis pas assez concentré pour m'attaquer à un manuel de philosophie ou d'allemand, ce soir.

Amélia demeura un instant silencieuse, les yeux rivés sur son ouvrage, puis :

- J'avoue que je suis surprise d'apprendre que c'est un de vos livres favoris.

- Pourquoi ? C'est un roman très populaire.

- Certes, répliqua-t-elle en lui jetant un regard hésitant. Mais c'est un roman sentimental.

- Non, rétorqua-t-il en éloignant le livre pour l'examiner, comme si elle venait de lui annoncer qu'il s'agissait d'un ananas. C'est un roman historique sur le soulèvement des Ecossais. On y décrit des batailles.

- Et un triangle amoureux.

Il prit la mouche.

- Puis-je lire mon roman en paix ?

°: Waverley ou Soixante ans avant, de Walter Scott, 1814.

P. 141

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— Vous ne croirez jamais ce que j'ai entendu dire, intervint Amelia. Il semblerait que, les nuits de pleine lune, le duc se change en hérisson.

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Les doigts entrelacés sur sa nuque, elle se pressa contre lui. Sa poitrine se heurta à la fermeté de son torse. Il la récompensa en glissant les mains au creux de ses reins, puis plus bas, sur son postérieur qu'il empoigna sans vergogne.

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