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Liste des extraits

- Et des femmes, précisa Lazlo. Une espèce entièrement constituée de mâles serait affligeante.

- Plutôt inexistante, fit remarquer Calixte.

Les hommes n'ont ni utérus ni bon sens.

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Ainsi va la vie. On recourt au rire dans les moments sombres. Plus ces moments sont nombreux, plus le rire est nécessaire. Peu importe que l'on s'esclaffe avec défi, abandon ou hystérie.

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« - Mais tu devrais faire attention... Les livres sont immortels, mais pas toi. »

─ Page 36

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Les lèvres. Ces merveilles qui pouvaient effleurer ou appuyer, s'ouvrir et se fermer, et ce faisant, attraper celles de l'autre dans une douce morsure. Pas une vraie. Sans les dents. Ah, les dents étaient encore un secret ! Mais le bout de la langue... Le désespoir avait peu de chance contre la découverte du bout de la langue. Et voilà qu'un autre détail quasi aveuglant et inconcevable se révélait à Lazlo : tout ça avait beau être enivrant – au point d'en avoir la tête qui tourne –, le jeune homme pressentait malgré tout que c'était seulement le seuil d'un autre domaine inconnu. Une porte entrebâillée, avec un infime raibde lumière laissant deviner l'éclat derrière le battant.

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Du point de vue de Sarai, le rôle de la haine était d'éliminer la compassion - fermer une porte en soi et oublier jusqu'à son existence. Si vous éprouviez de la haine, alors vous pouviez voir la souffrance - et la causer - sans rien ressentir, sauf peut-être une sordide satisfaction.

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Leur histoire d'amour n'était pas la seule à avoir été détruite par les dieux, mais c'était la seule à les avoir détruits.

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L'amour qui éclaire l'âme tel le printemps, et la réchauffe tel l'été. L'amour comme il existe rarement en réalité, comme si un grand alchimiste en avait extrait toutes les impuretés, les petites désillusions et pensées indignes, pour produire le parfait élixir, doux, profond, dévorant.

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- Comment sais-tu que tu ne me brûleras pas? avait demandé Fauve à Rubis quelques jours plus tôt.

- Oh, ça supposerait que je perde le sens de la réalité, avait-elle répondu. Il faudrait que tu sois vraiment doué. Je ne suis pas inquiète.

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Autrefois, la survie lui semblait une fin en soi. Mais à présent, elle commençait à ressembler à un moyen sans aucune fin. Survivre pour quoi?

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Personne n'est à l'abri. Les tyrans ont toujours disposé, et disposeront toujours, du peuple à leur guise. Ainsi, le roi de Syriza possédait encore un harem.

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