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Il n'y a pas pire solitude que de dormir à côté de quelqu'un aussi absent que s'il était mort. Ou d'avoir un tel individu pour père.

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Peu à peu, elle avait appris à le connaître et à voir en lui plus qu’un combattant féroce. Ses mains étaient également capables d’une grande douceur. Au fil du temps, un sourire avait fini par fendre ce visage défiguré à la lèvre supérieure difforme, et ses regards s’étaient emplis d’amour pour elle.

— Je suis descendu pour voir Kolher, dit Fhurie en se redressant.

Z. jeta un coup d’œil à la boîte de Kleenex que tenait son jumeau puis au tas de mouchoirs que Bella serrait entre ses doigts.

— Vraiment ?

Il entra dans la pièce et posa le plateau sur la commode dans laquelle étaient rangés les vêtements de Nalla, sans même un regard pour sa fille. Elle, toutefois, savait qu’il était dans la pièce. La petite tourna la tête dans sa direction, l’implorant de ses yeux qui n’y voyaient pas encore clair, tendant vers lui ses petits bras potelés.

Z. sortit de la pièce.

— Passe du bon temps avec Kolher. Je sors chasser.

— Je t’accompagne jusqu’à la porte, déclara Fhurie.

— Pas le temps. On se verra plus tard. (Il croisa un instant le regard de Bella.) Je t’aime.

Celle-ci serra Nalla contre son cœur.

— Moi aussi, je t’aime. Fais attention à toi.

Il les salua d’un hochement de tête avant de disparaître.

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toujours dans l'amant consacré

_ Tu veux que je t'ouvre la portière? Demanda Vhif, pince-sans-rire, en éteignant le moteur.

John le regarda.

_ Si je dis oui, tu le feras?

_ Non.

_ Alors, je t'en prie, ouvre-moi la portière.

_ Tu fais chier. (Vhif sortit du côté conducteur.) Tu gâches ma blague.

John referma sa portière et secoua la tête.

_ Je suis si heureux que tu sois aussi manipuler-able.

_ C'est pas un mot.

_ Depuis quand tu couches avec Henri Labrousse? Hein?

Vhif jeta un coup d'oeil à la maison. Il entendait presque la voix de Blay : "C'est Pierre Larousse".

_ On s'en fout.

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paragraphe dans le l'amant consacré, les merveilleuse répliques:

"_ T'es pas un connard, t'es un queutard. Mais je ne peux vraiment pas accepter...

_ T'as été élevé dans une écurie ou quoi? Sois pas mal élevé, mon garçon. C'est un cadeau.

Blay secoua la tête.

_ Prend-les, John. Tu n'auras pas le dernier mot et ça nous épargnera tout le mélo.

_ Le mélo? (Vhif se redressa et prit une pose d'orateur romain.) Saurais-tu reconnaître ton cul de ton épaule, jeune scribe?

Blay rougit.

_ Allez...

Vhif se jeta sur Blay, l'empoignant aux épaules et se laissant tomber de tout son poids sur lui.

_ Soutiens-moi. Ton insulte m'a coupé le souffle. Je suis bouche béante.

Blay grogna et se démena pour maintenir Vhif debout.

_ C'est "bouche bée".

_ " Bouche béante" ça sonne mieux.

Blay essayait de ne pas sourire, de ne pas être captivé, mais ses yeux étincelaient comme des saphirs et il avait les joues rouges.

Avec un rire silencieux, John s'assit sur l'un des bancs du vestiaires, sortit ses chaussettes blanches et les enfila sous son jean tout neuf mais faussement usé.

_ T'es sûre, Vhif? Parce que j'ai l'impression qu'elles vont m'aller et que tu voudras peut-être changé d'avis.

Vhif se releva d'un bond et défroissa ses vêtements d'un coup sec.

_ Et voilà que tu offenses mon honneur.

Se retournant vers John, il se mit en position d'escrimeur.

_ Touché.

Blay éclata de rire.

_ C'est en garde, espèce d'idiot.

Vhif lui jeta un coup d'oeil par-dessus son épaule.

_ Toi aussi, mon fils? Même toi, Brute, tu me trahis!

_ C'est pas "Brute" mais "Brutus", crétin!

_ Pourquoi tu me parles de tutu? Eh bien garde tes histoire de travestis pour toi, sale pervers. (Vhif esquissa un sourire éclatant, visiblement fier de sa connerie.) Maintenant, enfile ces saloperies,John, qu'on en finisse. Sinon on va être obligés de mettre Blay dans un Sanibroyeur.

_ Pitié, dis-moi que tu pensais à un sanatorium!

_ Non, merci, je n'ai pas faim.

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Si le sexe était de la nourriture, Rhage aurait souffert d'obésité morbide.

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Elle savait tout ce qui se passait dans sa tête et dans son coeur et rien de tout cela ne la rebutait. Elle savait qu'il avait peur de replonger, même après toutes ces années. Et qu'il était content que leur fils ressemble à sa mère, parce que, pour lui, cela signifiait que son fils n'hériterait peut-être pas de prédisposition génétique à la dépendance aux drogues. Et qu'il n'en avait pas fini avec ce sentiment de ne pas en faire assez pour son entourage.

Elle savait tout cela et elle l'aimait quand même.

Il l'embrassa sur l'intérieur du poignet et contempla la génération suivante. Il espérait que la vie ne réserverait que des bonnes choses aux petits, que, la nuit, la lune brillerait toujours pour eux, que le vent serait toujours doux, qu'ils trouveraient un compagnon ou une compagne digne d'eux et qui saurait les aimer autant qu'eux l'aimeraient.

Même s'il avait conscience que ce ne serait pas simple et qu'il ne pouvait même pas imaginer les défis qu'ils allaient devoir relever.

Mais il avait foi en ce qu'il lisait dans leurs yeux. Parce que tous les deux étaient issus de survivants. Et cela, plus que toute promesse de vie paisible, les aiderait a s'en sortir.

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- Tu peux aller prendre ta douche dans ma salle de bains, parce que le gars avec qui je partage la chambre est en congé ce soir et est en train de tailler son bouc au millimètre près.

- N'importe quoi, lança une grosse voix de mâle.

- Tu sais que c'est vrai. Tu souffres de TOB... (Butch lui jeta un coup d'oeil en coin). A savoir d'un "Trouble Obsessionnel de la Barbiche".

Hé, écoute Johnny, j'allais partir en ville, ça te dit qu'on y aille ensemble?

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Racontez-nous votre dernier rêve.

J'étais en train de courir, non de batifoler, dans un champ de fleurs sauvages avec une licorne qui avait la crinière et la queue roses. J'avais des ailes fines comme de la gaze et une baguette magique qui laissait des nuages de poussière féerique dans mon sillage.

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- Quelle est la dernière chose que vous avez mangée?

- Des pancakes au petit-lait avec du beurre et du sirop d'érable, et une tasse de café. Avec Rhage. A côté de lui, j'ai toujours l'impression d'être un poids plume question bouffe mais, bon, il serait capable de s'avaler une meute de loups en douce et d'aller chercher du rab.

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J'étais mort avant que tu me trouves, même si je respirais. Je voyais rien, même si j'étais pas aveugle. Et puis t'es venue... et tu m'as réveillé.

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