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A une vingtaine de miles de là dans les quartiers Est de Baltimore, Woody était le pensionnaire d'un foyer pour enfants difficiles dont le directeur, Artie Crawford, était un ami de longue date d'Oncle Saul, et Tante Anita. Ils y étaient des bénévoles actifs : Tante Anita organisait des consultations médicales gratuites, tandis qu'Oncle Saul avait mis sur pied une permanence juridique pour aider les pensionnaires et leurs familles dans leurs démarches administratives et procédures diverses.

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Le lendemai de ma rencontre fortuite avec Alexandre, je passai la journée enfermé dans mon bureau. Ma seul sortie avait eu lieu dans la fraîcheur de l'aube pour un jogging au bord du lac.

Sans savoir encore ce que j'allais en faire, je m'étais mis en tête de retracer sous forme de notes les éléments marquants de l'histoire des Goldman-de-Baltimore. J'avais commencé par dessiner un arre généalogique de notre famille, avant notamment au sujet des origines de Woody. L'arbre avait répidement pris l'allure d'une forêt de commentaires marginaux et je m'étais dit que, par souci de clarté, il valait mieux tout retranscrire sur des fiches. Posée devant moi, il y avait cette photo retrouvée deux années auparavant par mon oncle Saul. C'était une image de moi, dix-sept ans plus tôt, entouré des trois êtres que j'ai le plus aimés : mes cousins adorés, Hillel et Woody, et Alexandra. elle avait envoyé une copie du cliché à chacun de nous et elle avait écrit au dos :

Je vous aimes, les Goldman.

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Ils avaient cessé de rêver : ils s'étaient laissé dévorer par une forme de renoncement à la vie. Ils étaient rentrés dans le rang.

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Que le costaud – Rick de son prénom – soit un pratiquant assidu d'arts martiaux n'impressionna pas Woody, ni ne fut d'une quelconque utilité au pauvre garçon. Comme convenu, le lendemain matin à la pause, Woody alla trouver Rick et le terrassa d'un coup de poing dans le nez, sans sommation. Rick étendu par terre, Hillel en profita pour lui verser son jus d'orange sur la tête et Scott dansa autour de son corps, les bras levés, criant victoire. Rick fut emmené à l'infirmerie et les trois autres dans le bureau de Monsieur Burdon, le principal du lycée, où furent convoqués d'urgence Oncle Saul et Tante Anita, Patrick et Gillian Neville et le coach Bendham.

— Bravo à vous trois, les félicita le principal Burdon. Deuxième jour d'école de votre première année ici, et vous tabassez déjà un de vos camarades.

— Vous êtes devenus fous? les réprimanda le coach Bendham.

— Vous êtes devenus fous? répétèrent les parents Neville

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Par un chaud mardi matin à Boca Raton, Alexandra débarqua chez moi, utilisant le prétexte de son chien qui s'était enfui, comme tous les jours.

— Qu'est-ce que ton chien ferait chez moi?

— Je ne sais pas.

— Si je l'avais vu, je te l'aurais ramené.

— C'est vrai. Excuse-moi de t'avoir dérangé. Elle faisait mine de partir et moi je la retenais.

— Attends... Tu veux boire un café? Elle souriait.

— Oui, je veux bien...

Je la priai de patienter un instant.

— Donne-moi deux minutes, s'il te plaît. C'est très mal rangé à l'intérieur.

— C'est pas grave, Markie...

Je frémissais quand elle m'appelait comme ça. Je ne me laissai pas pour autant distraire

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On a qu'une vie, Alexandra ! Une seule petite vie de rien du tout ! N'as-tu pas envie de l'employer à réaliser tes rêves au lieu de moisir dans cette université stupide ? Rêve, et rêve en grand ! Seuls survivent les rêves les plus grands. Les autres sont effacés par la pluie et balayés par le vent.

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Beaucoup d'entre nous cherchons à donner un sens à nos vies, mais nos vies n'ont de sens que si nous sommes capables d'accomplir ces trois destinées : aimer, être aimé et savoir pardonner. Le reste n'est que du temps perdu.

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- Tu sais, je me suis souvent demandé si nous aussi, nous aurions pu devenir des Baltimore...

- Nous sommes des Montclair. Et il en sera ainsi pour toujours. Pourquoi vouloir changer ? Chacun est différent, Markie, et peut-être est-ce là le bonheur : comme en paix avec ce que l'on est.

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p 132

- le cinéma Goldman, le voilà l'avenir ! Désormais les gens veulent de l'image ! Les gens ne veulent plus réfléchi, ils veulent être guidés ! Ils sont asservis du matin au soir, et quand ils rentres chez eux, ils sont perdus : leur maître et patron, cette main bienfaitrice qui les nourrit, m'est plus là pour les battre et conduire. Heureusement il y a la télévision. L'homme, l'allume, se prosterne et lui remet son destin. Que dois-je manger, Maître ? demande-t-il à la télévision. Des lasagnes surgelés ! lui ordonne la publicité. Et le voilà qui se précipite pour mettre au micro-onde son petit plat dégoûtant. Puis, le voilà qui se remet à genoux et demande encore : Et Maître, que dois-je boire ? du Coca ultra-sucré ! Hurle la télévision, agacée. Et elle ordonne encore : Bouffe, cochon, bouffe ! Que tes chairs deviennent grasses et moles. Et l'homme obéit. Et l'homme se goinfre. Puis après le repas, la télé se fâche et change ses publicités : Tu es trop gros, tu est trop laid ! Va vite faire de la gymnastique ! Sois beau ! E(t il vos faut acheter des électrodes qui vous sculptent, des crèmes qui font gonfler les muscles pendants que vous dormez, des pilules magiques qui font à votre place toutes cette gymnastique que vous n'avez plus du tout envie de faire parce que vous digérer votre pizza !

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p 49

- C'est bien le problème, tu ne veux pas être chanteur, tu veux être célèbre.

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