Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 957
Membres
1 014 552

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Je suis la faim.Je suis la soif. Quand je mords, je ne lâche jamais prise, et, si je suis mort, on doit prendre une épée pour me séparer du corps de mon ennemi, et m'enterrer avec ma bouche pleine de sa chair. Je peut jeûner cent ans, et ne pas mourir. Je peut rester cent nuits étendu sur la glace, et ne pas geler. Je peut boire une riviére de sang, et ne pas éclater. Montrez moi vos ennemis !!!

Afficher en entier

« Il était une fois quatre enfants qui se prénommaient Peter, Susan, Edmund et Lucy.»

Afficher en entier

L’air de Narnia avait eu de l’effet sur lui, et il se rappelai toutes ses anciennes batailles, et ses bras et ses doigts retrouvaient leur habileté passée. Il était de nouveau le Roi Edmund.

Afficher en entier

- Susan, une idée affreuse m'a traversé la tête !

- Quelle est-elle ?

- Ce serait terrible si un jour, dans notre propre monde, chez nous, les hommes commençaient à devenir sauvages, comme les animaux ici, mais conservaient néanmoins une apparence d'homme, de telle sorte qu'on ne saurait jamais qui serait qui...

Afficher en entier

Et, bien entendu, Caspian offrit de rendre la trompe à Susan qui lui dit de la garder. Et ensuite, merveilleux et terrible ce fut l'adieu à Aslan lui-même, et puis Peter prit sa place, avec les mains de Susan sur ses épaules, et elle avait celles d'Edmund sur les siennes, et sur les épaules d'Edmund, il y avait les mains de Lucy, et les mains du premier Tel marin étaient posées sur les épaules de Lucy, et ainsi de suite, en une longue file, qui s'ébranla en direction de la porte.

Afficher en entier

La minute qui suivit fut extrêmement confuse. Il y eut un rugissement et un cliquetis de métal ; les garçons et Trompillon se ruèrent à l’intérieur ; Peter entrevit une horrible créature grise, à l’aspect redoutable, mi-homme, mi-loup, qui était en train de sauter sur un garçon qui devait avoir son âge ; et Edmund aperçut un blaireau et un nain qui roulaient sur le sol, dans une sorte de combat de chats.

Afficher en entier

- Bienvenue, prince, dit Aslan. Vous sentez-vous capable d’assumer la royauté de Narnia ?

- Je… je ne crois pas, Sire, répondit-il. Je ne suis qu’un enfant.

- Bien, dit Aslan. Si vous vous en étiez senti capable, cela aurait été la preuve que vous ne l’étiez pas.

Afficher en entier

- Oh ! Aslan, je savais que c’était vrai ! J’ai attendu cet instant toute ma vie ! Êtes-vous venu pour m’emmener avec vous ? (dit la vieille femme)

- Oui, très chère, dit Aslan. Mais ce n’est pas encore le grand voyage.

Afficher en entier

"

-Nous nous trouvons dans les ruines de Cair Paravel ! annonça Peter.

-Mais..., répliqua Edmund. Je veux dire, comment arrives-tu à cette conclusion ? Cet endroit est en ruine depuis des siècles. Regarde tous ces gros arbres qui poussent jusqu'aux portes ! Regarde les pierres elles-mêmes. N'importe qui peut voir que personne n'a vécu ici depuis des centaines d'années !

-Je sais, admit Peter. C'est là que réside la difficulté. Mais laissons-là de côté pour le moment. Je veux examiner les points un par un. Premier point : cette salle a la même forme et la même dimension que celle de Cair Paravel. Il suffit d'imaginer un toit sur nos têtes, et un dallage coloré à la place de l'herbe, et des tapisseries sur les murs, et vous aurez notre grande salle royale des banquets.

Personne ne souffla mot.

-Deuxième point, continue Peter : le puits du château se trouve exactement là où se trouvait le nôtre légèrement au sud de la grande salle ; et il a exactement la même taille et la même forme.

Encore une fois, il n'y eu aucune réplique.

-Troisième point, Susan vient de trouver l'une de nos pièces d'échecs en or, ou quelque chose qui lui ressemble comme deux gouttes d'au.

Toujours aucune réponse.

-Quatrième point, ne vous rappelez-vous pas (c'était précisément la veille de la venue des ambassadeurs du roi de Calormen), ne vous rappelez-vous pas que nous avons planté un verger à l'extérieur de la porte nord de Cair Paravel ? [...] et qui disait "Croyez-moi, Majesté, vous serez bien aise de trouver ces arbres fruitiers un jour !" Et, bigre, elle avait bien raison ! [les frères et soeurs se nourrirent des pommes en arrivant sur l'île]

"

Afficher en entier

Cela leur prit plus longtemps que prévu ; avant qu'ils n'aient terminé, la nuit était tombée sur la grande salle et les premières étoiles étaient apparues dans le ciel, au-dessus de leurs têtes. Susan ne fut pas la seule à ressentir un léger frisson au moment où les garçons, debout sur la pile des morceaux de bois fracassés, secouèrent la poussière de leurs mains et plongèrent leurs regards dans le gouffre froid et sombre qu'ils venaient d'ouvrir.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode