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Extrait ajouté par Upsilonn 2019-03-05T23:23:45+01:00

« I stood on the bridge and stared over the side, at the water upstream, smooth as taffy, dark and silent, all menacing potential. On the other side were the cascades, the whirlpools, the white noise. It’s a fair distance now. I became conscious of my heart, and of its dizziness. Also of breathlessness, as if I were in over my head. But over my head in what ? Not water ; something thicker. Time : old time, old sorrow, settling down in layers like silt in a pond. »

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Extrait ajouté par Upsilonn 2019-03-05T23:23:29+01:00

« Her love for us was a given – solid and tangible, like a cake. The only question was which of us would have the bigger slice.

(What fabrications they are, mothers. Scarecrows, wax dolls for us to stick pins into, crude diagrams. We deny them an existence of their own, we make them up to suit ourselves – our own hungers, our own wishes, our own deficiencies.[...] »

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Extrait ajouté par Upsilonn 2019-03-05T23:22:55+01:00

« You never see yourself the way you are to someone else – to a man looking at you, fom behind, when you don’t know – because in a mirror your own head is always cranked around over your shoulder. A coy, inviting pose. You can hold up another mirror to see the back view, but then what you see is what so many painters have loved to paint – Woman Looking In Mirror, said to be an allegory of vanity. Though it is unlikely to be vanity, but the reverse : a search for flaws. What is it about me ? can so easily by construed as What is wrong about me ? »

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Extrait ajouté par SMichel 2018-10-26T15:48:47+02:00

Je n'ai rien écrit depuis une semaine. Je n'en avais plus le courage. Pourquoi consigner des événements aussi tristes? Mais je recommence, à ce que je remarque. J'ai repris mes gribouillis tout noirs; ils se déroulent sur la page en un long et sombre fil d'encre, enchevêtré mais lisible. Serait-ce que j'envisagerais de laisser une signature, finalement? Après tout ce que j'ai fait pour éviter ça, Iris, son empreinte, même tronquée: des initiales tracées à la craie sur le trottoir ou un X de pirate sur la carte pour signaler la plage où le trésor a été enterré.

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Extrait ajouté par Cleophe 2013-05-08T01:02:13+02:00

(I) "Elle n'a qu'une seule photographie de lui, un tirage en noir et blanc. Elle la garde soigneusement, parce que c'est pratiquement tout ce qu'il lui reste de lui.... C'est une photo d'eux ensemble, elle et cet homme, en train de pique-niquer. À moitié tournée vers lui, elle sourit comme elle ne se souvient pas d'avoir jamais souri à quiconque depuis. Il sourit aussi, mais il lève la main devant l'appareil, comme pour le repousser. Comme pour la repousser, afin qu'à l'avenir elle ne se retourne pas sur leur histoire. Comme pour la protéger. La photo a été coupée ; un tiers du cliché a été enlevé. Dans le coin inférieur gauche, il y a une main, sectionnée au poignet, en appui sur l'herbe. C'est la main de l'autre, celle qui est toujours sur la photo, qu'on la voie ou pas. La main qui va coucher les choses sur le papier. Comment ai-je pu être aussi ignorante ? se demande-t-elle. Aussi stupide, aussi aveugle, aussi portée à l'insouciance."

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Extrait ajouté par Cleophe 2013-05-08T01:00:49+02:00

(II) "… sans cette ignorance, sans cette insouciance, comment pourrions-nous vivre ? Si on savait ce qu'il va se passer, si on savait tout ce qu'il va se passer ensuite - si on connaissait d'avance les conséquences de ses actes -, on serait condamné. On ne mangerait ni ne boirait ni ne rirait ni ne sortirait jamais de son lit le matin. On n'aimerait jamais personne, on n'aimerait jamais une seconde fois. On n'oserait jamais."

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Extrait ajouté par Cleophe 2013-05-08T00:59:05+02:00

(III) "Tout ce qu'il lui reste, à présent, c'est la photo. Et l'histoire de la photo. La photo est une photo de bonheur, pas l'histoire. Le bonheur est un jardin enfermé derrière des murs en verre : il n'y a pas moyen d'y entrer ni d'en sortir. C'est la perte, le regret, le malheur et le désir qui font avancer l'histoire au gré de son cheminement tortueux. "

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Extrait ajouté par Cleophe 2013-05-08T00:56:09+02:00

"L'orchestre du collège s'est mis à jouer avec force grincements et fausses notes et nous avons entonné ô Canada! dont je ne retiens jamais les paroles parce qu'ils n'arrêtent pas de les changer. Aujourd'hui, on en donne un bout en français, ce qui aurait été impensable autrefois. Nous avons repris notre siège après avoir affirmé notre fierté collective en quelque chose que nous sommes infichus de prononcer."

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