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Nous dormons tranquillement dans nos lits parce que des hommes rudes se tiennent prêts, la nuit, à employer la violence contre ceux qui chercheraient à nous nuire.

George Orwell.

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Je suis venu sur ces terres parce que, si je détourne les yeux quand un homme me menace, il me prend quelque chose d'important. Si je me bats et si je meurs, il ne peut me prendre que ma vie. Il me reste mon courage, ma dignité.

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Prie pour avoir raison.

Je ne prie personne. Si je le faisais, le père ciel me répondrait : « Süböteï, tu as reçu les meilleurs guerriers au monde, des généraux qui écoutent tes plans, un ennemi idiot, lent à se mouvoir, et tu demandes encore un avantage ? ».

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Certains vous diront qu'ils cherchent le bonheur, que la vie se résume à ce simple objectif. Je leur réponds que les moutons sont heureux dans la steppe et que les faucons sont heureux dans les airs. Pour nous, le bonheur est une chose qui compte peu. Nous luttons et nous souffrons parce que c'est ainsi que nous savons que nous sommes en vie.

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La cité d’Otrar, l’un des nombreux joyaux du Khwarezm, avait prospéré au carrefour d’empires anciens. Pendant un millénaire elle avait été la forteresse de l’Occident et avait prélevé une part des richesses qui circulaient sur les routes commerciales. Ses murailles protégeaient des milliers de maisons en brique, certaines hautes de deux étages, peintes en blanc à cause de la dureté du soleil. Ses rues étaient toujours animées et un homme pouvait tout acheter dans le monde d’Otrar s’il avait assez d’or. Son gouverneur, Inaltchiq, faisait chaque jour des offrandes à la mosquée et montrait avec ostentation son attachement aux enseignements du Prophète. En privé, il buvait le vin interdit et entretenait dans une maison des femmes choisies parmi des esclaves de races différentes, toutes destinées à son plaisir.

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Yao Shu leva vers le général mongol des yeux sans expression. Depuis l’enfance, il avait appris à maîtriser son corps. L’idée de laisser un fanfaron comme Djaghataï le frapper lui semblait totalement absurde. S’il s’était agi d’un guerrier plus modeste, qui ne s’en serait pas vanté pendant des mois, il aurait peut-être accepté. Pour le deuxième fils gâté du khan, il secoua la tête.

Kachium allait insister mais, dans la seconde qui suivit, Djaghataï, cherchant désespérément à profiter du moindre avantage, attaqua par-derrière. Contrarié, Kachium plissa les lèvres tandis Yao Shu esquivait en deux pas souples comme s’il glissait sur le sol. Le moine était toujours en parfait équilibre et Kachium sut que son neveu ne parviendrait pas à le toucher ce jour-là. Yao Shu bloqua deux autres coups puis contre-attaqua plus durement que les fois précédentes, donnant ainsi une réponse définitive à Kachium.

Tous les guerriers entendirent le souffle de Djaghataï quand le bâton chassa l’air de ses poumons. Avant qu’il puisse récupérer, Yao Shu le frappa à la main droite et, sous la douleur, le jeune Mongol lâcha son bâton. Sans marquer de pause, le moine passa le sien entre les jambes de Djaghataï et le fit tomber sur le sol gelé. La foule demeura silencieuse tandis que le moine s’inclinait devant un fils de khan à plat ventre. Djaghataï se releva mais au lieu de saluer lui aussi son adversaire, comme les spectateurs l’attendaient, il s’éloigna d’un pas rageur, sans un regard en arrière.

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Les forgerons étaient plus précieux que n’importe quel artisan qu’ils pourraient capturer et le général avait été intrigué par ces chariots de fer crachant de la fumée signalés par ses éclaireurs. Süböteï sourit en sentant son excitation croître. Comme Gengis, il ne prenait aucun plaisir à piller les villes. Il fallait le faire, bien sûr, comme on verse de l’eau bouillante sur une fourmilière.

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Dans les collines dominant la vallée, Süböteï se tenait près de son cheval qui reniflait les aiguilles de pin. Près de cinq mille hommes se reposaient autour de lui et attendaient sa décision. Lui, il attendait le retour des éclaireurs qu’il avait envoyés, deux cents cavaliers partis dans toutes les directions et dont le rapport permettrait au général de se faire une idée de la situation à plusieurs lieues à la ronde

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Il entendit un bruit de sabots derrière lui au moment où il tendait le bras vers son arme. Il porta son autre main à sa poitrine et pressa la relique de sainte Sophie en murmurant une prière quand la lame mongole s’enfonça dans son cou, le décapitant presque. Il ne survécut pas pour voir le massacre du reste de ses hommes, trop lourds et trop lents pour affronter les guerriers de Süböteï, général de Gengis Khan

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Un cheval hennit et le heurta lourdement, lui écrasant la jambe gauche. Ilya faillit vider les étriers. Il jura, vit le cavalier voisin mollement affaissé sur sa monture. Des dizaines de flèches jaillissaient des arbres sombres, traversaient les cottes de mailles comme si elles étaient de lin. Les hommes tombaient autour d’Ilya, qui beuglait tel un dément et éperonnait son cheval épuisé. Devant, les Mongols firent demi-tour dans un ordre parfait et leur chef le regarda. Sans s’arrêter pour bander leurs arcs, ils repartirent dans l’autre sens et décochèrent leurs flèches au galop

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