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— Si vous et la… vampire pouviez cesser de flirter un instant…, lâcha le Consul d’un ton ulcéré.

— Flirter ? Non, ce n’est qu’une petite discussion coquine, répondit Magnus, offensé. Quand je me mettrai à flirter, croyez-moi, toute l’assemblée le saura.

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''Excusez moi, Bane?'' Dit Roderick Morgenstern.

''Allez-vous participer?''

''Je suis vraiment désolé,'' Dit Magnus poliment. ''Quelqu'un d'incroyablement attrayant vient juste d'entrée dans la pièce, et j'ai cesser de porter attention aux mots que vous dites.''

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“Excuse me, Bane?” said Roderick Morgenstern.

“Are you attending?”

“I’m so sorry,” Magnus said politely. “Somebody incredibly attractive just came into the room, and I ceased to pay attention to a word you were saying.”

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"Je ne mangerais surement plus jamais de canard. Je ne peux pas croire que j'ai déjà aimer le canard. Le canard m'a trahi ". Edmund Herondale.

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“I shall never eat duck again. I cannot believe I used to like duck. The duck betrayed me.” Edmund Herondale.

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Vous êtes toujours avec nous, monsieur Bane ? demanda Roderick.

- Non, répondit Magnus, j'ai perdu tout intérêt pour votre discours au moment où un jeune homme incroyablement séduisant à débarqué dans la pièce.

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— Bien sûr, j’aime varier les plaisirs, et je ne rate jamais une opportunité de me changer. Pour une femme, les occasions de se dévêtir ne manquent pas au cours d’une nuit agitée…

Elle se pencha en avant, un coude lisse et pâle posé sur la table en acajou des Chasseurs d’Ombres.

— Et j’ai dans l’idée que vous en connaissez un rayon sur les nuits agitées.

— Ma chère, avec moi, chaque nuit est agitée, répondit Magnus.

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Quant à Magnus, qui avait toujours préféré les cheveux noirs, il se demanda si le destin s’acharnait à le faire changer d’avis. Ça, ou alors tous les blonds de la terre s’étaient ligués pour soudain devenir irrésistibles.

— Vous êtes toujours avec nous, monsieur Bane ? demanda Roderick.

— Non, répondit Magnus, j’ai perdu tout intérêt pour votre discours au moment où un jeune homme incroyablement séduisant a débarqué dans la pièce.

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Je ne voudrais pas vous offenser, fit

Linette, mais seriez-vous un fou furieux par hasard ?

Edmund cligna des yeux, interdit.

— Je constate simplement que vous sortez armé jusqu’aux dents ! se défendit la jeune femme. Vous attendiez-vous à croiser la route d’une créature monstrueuse ?

— Euh, non, pas exactement, répondit

Edmund.

— Alors vous êtes un tueur à gages ? insista

Linette. Ou un soldat zélé ?

— Non, je suis un Chasseur d’Ombres.

— Qu’est-ce que ça signifie ? Que vous

êtes un magicien ? demanda Linette avant de poser la main sur le bras de Magnus. Parce que ce monsieur, lui, sait pratiquer la magie !Elle décocha un sourire approbateur à

Magnus.

— Tout le plaisir fut pour moi, miss

Owens, murmura-t-il, flatté.

Edmund tirait une tête de trois pieds de long.

— Non ! Je ne suis pas un magicien !

réussit à bafouiller le jeune homme, qui, comme tout Chasseur d’Ombres qui se respectait,

était dégoûté à l’idée qu’on le prenne pour un sorcier.

— Tant pis, fit Linette sans cacher sa déception.

On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a ! Je vous dois quand même une fière chandelle, monsieur. Vous nous avez sauvées, mon amie et moi, d’une fin abominable.

Edmund, flatté, répondit sans réfléchir

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— Enchanté, je suis Magnus Bane, dit le sorcier. Appelez-moi dès qu’un danger mortel vous guette ou si vous voulez qu’on vous accompagne à une exposition florale.

— Linette Owens, répondit la femme en découvrant d’adorables fossettes. Je savais

54/120 que Londres regorgeait de dangers en tout genre, mais ça, c’est un brin extrême !

— Oui, cela doit vous paraître très

étrange et effrayant.

— Notre agresseur était-il un être maléfique ? demanda miss Owens en soutenant le regard interloqué de Magnus. Je viens du pays de Galles, et là-bas, on croit encore aux vieilles légendes et aux êtres surnaturels.

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— Non, je ne crois pas trop au mariage, répondit Edmund. Pourquoi se contenter d’un bonbon quand on peut déguster la boîte entière ?

Magnus haussa les sourcils et sirota une gorgée de son excellent brandy. Le jeune homme avait un rapport aux mots et un

émerveillement naïf propres à ceux qui n’ont jamais connu le chagrin.

— Personne ne vous a jamais fait de mal, n’est-ce pas ? demanda Magnus tout de go.

Edmund se tendit

— Pourquoi ? Vous êtes sur le point de m’en infliger ?

— Avec tous les fouets que vous portez sur vous ? Aucune chance ! Je veux simplement dire que vous ressemblez à quelqu’un qui n’a jamais eu le coeur brisé.

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Car lady Camille Belcourt était non seulement terriblement séduisante, mais aussi à la pointe de la mode. Elle arborait une robe à crinoline dotée de sept volants de taffetas bleu qui dégringolaient le long de son fauteuil, donnant l’impression qu’elle émergeait d’une cascade d’eau étincelante. Peu de tissu ornait son décolleté, qu’elle avait pâle et rond comme une perle. Les seuls détails qui contrastaient avec la blancheur parfaite de sa gorge étaient son ruban en velours noir et les épaisses boucles dorées qui encadraient son visage. Une unique boucle blonde qui pendait dans son cou fit dévier le regard de Magnus sur…

Oui, décidément, tous les chemins menaient à la poitrine de lady Camille.

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