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Tu n'as peut-être rien fait, gamine, mais ça viendra. Celle-ci, elle a fait ce qu'elle voulait avec qui elle voulait au moment où elle en avait envie, et c'est ses oignons, comme elle me l'a dit une fois sèchement ; tu l'as sans doute entendue aussi. Mais, là, on arrive à la croisée des chemins, et c'est sur qui que le boulot retombe ? Vous en voyez un en train de faire les cents pas dehors et de prier Sâ de donner une chance à cette petite vie ? Moi pas. C'est ça le message, les gamines : si vous n'avez pas un compagnon qui soit prêt à monter sur la brèche pour vous et à donner jusqu'à la dernière goutte de son sang, vous êtes folles si vous écartez les cuisses. Je ne peux pas parler plus clairement.

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Quel homme intelligent aurait envie de s'attacher une femme plus bête que lui ?

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Il ferma les yeux en se demandant quel courage il lui faudrait pour mettre un terme à sa souffrance. Naguère, il croyait que, s'il décidait de se jeter à l'eau pour se noyer, cette décision serait irrévocable, mais il savait désormais qu'une fois dans l'eau il se débattrait; qu'il le voulût ou non, il appellerait à l'aide.

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Enhardi, il laissa descendre une de ses mains le long de son ventre et se décolla légèrement d’Alise pour la toucher du bout des doigts. Elle eut un hoquet puis fut prise du tremblement qui signe de façon indubitable l’orgasme d’une femme. Leftrin resta stupéfait et saisi d’un ravissement presque douloureux de sa réactivité. Il ne l’avait même pas pénétrée !

Mais, s’il croyait que cet effleurement l’avait satisfaite, il se trompait. Elle ouvrit les yeux, et le regard qu’elle posa sur lui était éperdu et affamé. « N’arrête pas ! dit-elle.

— Alise, tu es sûre… »

Il ne put achever sa phrase. Elle plaqua ses lèvres sur les siennes, et sa main tâtonnante le trouva et manifesta son désir sans ambiguïté.

Alise ouvrit l’autre main. Le médaillon qui renfermait le portrait de Hest tomba sur le lit, puis au sol. Il eût aussi bien pu s’engloutir dans le fleuve ; elle n’en avait cure.

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La mèche de cheveux de Hest atterrit sur les braises et se mit à roussir ; de la fumée s'en éleva, et Alise referma en hâte le panneau.

<< Ah, quelle puanteur ! >> s'exclama-t-elle.

Sédric renifla. << Ca, on peut dire qu'il pue. >>

Elle se couvrit la bouche et le nez, puis éclata de rire. A sa grande surprise, son ami se joignit à elle, et tous deux furent pris d'un fou rire comme ils n'en avaient plus connu depuis Sâ sait combien de temps. Puis, sans qu'elle sût comment, Sédric se mit à pleurer, et elle le prit dans ses bras, et elle se rendit compte qu'elle pleurait elle aussi. << Tout ira bien, parvint-elle à dire. Tout ira bien. Tu es avec moi, mon ami : nous nous en tirerons. >>

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Aussi doucement que possible, il la repoussa de son esprit. Il n'y avait pas de temps à perde ; il sentait Relpda qui tambourinait à ses murailles et s'inquiétait de plus en plus : il fallait en finir avant qu'elle eut le temps de comprendre ce qu'il préparait. Il examina le fleuve depuis la poupe de la gabare et choisit une zone où il voyait le courant s'écouler, grimpa sur le bastingage et jaugea que l'eau noire et brillante qui passait à ses pieds. Serait-elle assez prodonde et assez rapide ? Il n'en faudrait guère : il n'avait jamais été bon nageur. Il lui suffisait de sauter et de ne pas se débattre, c'était tout. Il expulsa l'air de ses poumons, s'accroupit et se laissa tomber.

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Leftrin secoura la tête. << J'ai beaucoup de défauts, Carson, et même de gros, mais je ne trahirais jamais le désert des Pluies de cette façon.

- Ni Alise ? >> Le chasseur l'observa attentivement.

<< Ni Alise. >>

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Tout était nouveau pour elle. S'était-elle montrée impudique ou seulement féminine ? S'étaient-ils conduits comme des animaux, ou bien était-ce ainsi que ceux qui s'aimaient se touchaient, se goûtaient et se dévoraient ? Elle avait l'impression d'avoir vécu cette expérience pour la première fois.

Peut-être était-ce vrai.

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Je crois qu'il tient pas mal de ces idées de Jess, lequel aime se présenter à la fois comme quelqu'un qui connaît le monde et qui a de l'instruction - c'est-à-dire, je pense, qu'il lui est arrivé un jour de lire un livre.

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À petits coups de pagaie, Davvie conduisit le canoë aussi près qu’il le put des racines d’un arbre qui dépassaient de la surface, et ses deux passagers débarquèrent. De là, Thymara bondit sur le tronc ; elle enfonça ses griffes dans l’écorce et put grimper. Tatou dit au revoir à Davvie et suivit sa camarade plus laborieusement. Une fois parvenus au niveau des branches, ils purent se déplacer plus aisément. Ils n’échangèrent guère de paroles pendant quelque temps, hormis : « Attention, ça glisse », ou : « Des fourmis piqueuses ; plus vite. »

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