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Je t'aimerai jusqu'au lendemain de toujours.
Afficher en entierJe l'ai attirée à moi, sur le lit.La main sur sa nuque, mes doigts se sont emmelés dans ses longs cheveux bruns, mon pouce a couru sur sa clavicule. J'adorais la sensation de sa peau. meme si elle me brulait. J'ai pressé mes lèvres sur les siennes et je l'ai entendue retenir sa respiration. La mienne me desertait, je m'en fichais. Elle a promené sa paume le long de mon dos, ses doigts s'attardant sur mon épiderme nu.
-Je t'aime, ai-je chuchoté à son oreille.
Retenant mon visageentre ses mains, elle s'est reculée afin de mieux me regarder.
-Je ne crois pas que je pourrai aimer quelqu'un autant que je t'aime.
-Moi non plus, j'en suis sur.
Afficher en entierSon visage a changé.
Ses yeux se sont écarquillés.
Il s'est rué sur moi.
Je n'ai pas lâcher prise.
Les yeux dans les yeux, nous nous sommes mutuellement pris à la gorge.
Alors que nous roulions par-dessus le rebord du château d'eau.
et que nous tombions,
durant
toute
notre
chute,
je
n'ai
songé
qu'à
une
chose
.
.
.
L
E
N
A
Afficher en entier_ Regarde-moi bien, Chaud Bouillant. Tu n'en auras plus jamais l'occasion.
Elle a reculé sans cesser de le fixe, puis elle a tourné les talons et s'est enfuie.
Sa sucette rouge cerise a roulé par terre. La voix de Link était si feutrée, quand il a refermé la main dessus, que je l'ai à peine perçue.
_ Bonne ou mauvaise, tu seras toujours ma nana.
Afficher en entierEnfin seuls ! Lena m'a observé de son oeil vert et de son oeil doré, ses boucles brunes répandues autour d'elle comme un halo noir.
- Je t'aime, Ethan Wate.
M'appuyant sur un coude, je l'ai dévisagée.
- On m'a souvent avoué que j'étais adorable.
- Qui donc ? s'est-elle esclaffée.
- Des tas de filles.
- Ah ouais ? a-t-elle demandé, alors que son regard s'assombrissait. Lesquelles ?
- Ma mère, ma tante Caroline. Amma.
Je l'ai chatouillée, et elle s'est tortillée en rigolant dans mon tee-shirt.
- Je t'aime, L.
- T'as plutôt intérêt. Parce que je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi.
Ses accents étaient rauques et empreints d'une sincérité réelle.
- Je n'existe pas sans toi, Lena.
Afficher en entierCeux qui exilent les livres ne valent pas mieux que ceux qui les brûlent.
Afficher en entierJ'ai écrit sur le plafond, là où le platre était fendillé, là où tant d'autres mots, meilleurs, plus optimistes, étaient apparus au-dessus de nos têtes.
Je n'avais rien d'un poète; j'avais la vérité, cependant, et ça suffisait amplement.
Je t'aimerais toujours.
Ethan
Afficher en entier"Amma m'a foudroyé du regard; je n'ai pas insisté.
-Il ne se passera rien, ai-je promis.
-Si on m'avait donné cinq centimes à chaque fois que tu m'avais servi cette phrase, j'habiterais un château, a-t-elle rétorqué [...]"
p305
Afficher en entier[...]
J'avais complètement oublié de prévenir Lena qu'elle avait finalement décidé de venir.
- Lena, l'a saluée Liv avec un sourire.
- Liv, a répliqué Lena avec un semblant de sourire. J'ignorais que tu serais là.
- Vraiment ? J'ai pourtant laissé un mot à Ethan.
Le sourire de Liv s'est accentué. A mon adresse.
- Vraiment.
Le regard que m'a jeté Lena m'annonçait que j'allais avoir droit à une petite discussion plus tard.
- Bah ! a repris l'Anglaise avec un haussement d'épaule. Tu le connais.
"N'est-ce pas ?" a entendu Lena.
- En effet, a-t-elle répliqué sans plus sourire du tout.
A deux doigts de céder à la panique, j'ai repéré le buffet, à cinq mètres de là. Une distance qui m'a paru sûre.
- Je vais me chercher à manger. Quelqu'un désire quelque chose ?
- Non, a décliné Liv, toujours aussi gracieuse.
- Rien, merci, a refusé Lena en m'adressant un rictus qui me promettait une mort imminente.
Je me suis enfui à toutes jambes.
Afficher en entier-Tu es déjà allée au lycée, Rid. Tu as déjà eu un casier.
-J'ai dû oublier. Stress post-traumatique.
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