Commentaires

Un livre ou vous ne pouvez pas en ressortir indemne impossible.

Que de violence!

Mais comment traiter du viol et de la folie meurtrière sans nous bouleverser!!

Âme sensible s'abstenir!!!

Marquise66

Certainement le livre le plus assommant que j'ai pu lire. Dès que je lisais 2 pages je m'endormais. Je n'ai même pas dépassé la page 50. Et j'ai lu ces malheureuses pages en 1 mois !!!

Certainement le livre le plus violent que j'ai lu jusqu'à maintenant. Et pourtant, comme on l'a dit précédemment, on ne peut pas sortir de cette lecture indemne, de part les sujets abordés avec autant de force et l'histoire. Alors, oui, ce livre n'est pas pour âmes sensibles mais mérite tout de même d'être lu par les passionnés de l'horreur.

Un livre violent.

Les actes sont d'autant plus choquants lorsqu'ils sont perpétrés par des adolescents. Qu'ils sont tordus ces jeunes !

On a l'impression d'entrer dans l'esprit d'un psychopathe en lisant ce livre.

Livre qui se lit assez vite car on a envie de savoir ce qu'il va se passer. Personnellement, je n'ai pas trouvé ça tellement violent, mais cela est peut-être dû à mon style de lecture...

J’avais déjà noté le nom de Joe R. Lansdale sur mon pense-bête, puisque lors d’une fouille minutieuse sur le web, mes yeux s’étaient portés sur « Le drive-in ». Et puis, un beau jour, une opportunité se présente à moi sous l’effigie « Les enfants du rasoir ». À défaut de lire le roman que j’avais scrupuleusement rêvé, l’opportunité de lire un récit de Lansdale était trop tentante.

Pour commencer, j’aime bien la couverture. Je tire souvent sur la maison d’édition “J’ai lu” – faut dire qu’ils nous ont souvent offert des trucs hideux –, mais là, c’est réussi. Félicitation à l’illustrateur Mathieu Blanchin.

L’épilogue savoureux, je me méfie, c’est déjà arrivé avec Ramsey Campbell, j’entame l’aventure Lansdale. Ben voilà ! Après une ouverture aguicheuse, je tombe de très haut.

Je vais faire très court. Je n’ai pas fini le livre, mais j’ai lu un bon tiers et c’est déjà trop. Voilà en gros pourquoi j’ai lâché de truc. Déjà l’écriture. Je trouve beaucoup de similitudes avec Stephen King. Ici, pas de belles envolées lyriques, mais des phrases écrites comme au parler, avec un style direct quelque peu vulgaire. J’en suis pas fan. Mais là où ça m’a gonflé, ce sont ses longueurs rétroactives, ce qui veut dire que l’auteur revient sur le passé des personnages et les développe à outrance. C’est pourquoi, je n’ai rien compris à l’histoire, le fil entre les jeunes de la couverture et le couple quadragénaire.

Je pourrais affirmer que c’est très mauvais. Je referme avec la très nette sensation d’avoir perdu de mon temps. Bref, c’est la première et dernière tentative avec lui.

J'avais déjà lu ce livre il y a de nombreuses années quand j'étais ado (j'étais bien trop jeune pour lire ce genre de lecture d'ailleurs) et il m'avait énormément marqué à l'époque, il m'était toujours rester dans un coin de la tête et ça faisait longtemps que je voulais le relire seulement impossible de me souvenir du titre jusqu'à il y a peu.

Ça a été un vrai plaisir de re découvrir ce livre, certains détails étaient différents de ce dont je me souvenais mais globalement j'avais gardé un bon souvenir de cette histoire.

J'aime beaucoup comment le traumatisme du viol est traité à la fois chez Becky la victime directe mais surtout aussi chez Monty son compagnon qui a des pensées contradictoires à ce sujet, il en veut à sa femme d'avoir changé mais culpabilise également d'avoir de tels pensées et également de ne pas avoir pu la protéger.

J'ai trouvé la relation entre Bryan et Clyde vraiment intéressante et le dieu du rasoir vraiment intrigant et original.