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― C’était une serveuse, expliqua-t-il très calmement. Et je ne me serais pas retrouvé avec cet encombrant fardeau sur les genoux si je n’avais été dans une taverne avec James à la recherche de ton cousin.
― Voilà ! C’est ma faute, en plus ! Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi arrogant. Mais je vais te dire quelle est ma faute : c’est de t’avoir cru hier soir ! Je ne referai plus jamais cette erreur !
― Roslynn…
Elle bondit en arrière quand il essaya d’approcher et, dans le même élan, lui claqua la porte au nez.
Poussant un juron, Anthony fit volte-face, vers la rue déserte. Bon sang de bonsoir ! Mis à la porte de chez lui ! C’était le bouquet après cette journée catastrophique.
Il pivota à nouveau. C’était sa maison. Pour qui se prenait-elle ?
Elle n’allait pas le flanquer à la porte de chez lui, quand même !
Afficher en entier― Mon gardien ?
― Oui. À qui appartenez-vous ?
― Oh, à personne.
Anthony sourit, ravi.
― Je devrais peut-être reformuler ma question ?
― Non, j’ai parfaitement compris. Et vous aussi. Mon grand-père est mort récemment. Je vivais avec lui. Maintenant, je n’ai plus personne.
― Alors, prenez-moi.
Afficher en entier« C’est un talent rare que vous possédez, Anthony, de semer la bonne humeur autour de vous. Personne ne peut vous accuser de manquer de charme. Mais il est évident que les demandes en mariage ne sont pas votre fort. Je crois qu’en général on exprime une requête et non une exigence. Vous devrez vous en souvenir la prochaine fois que vous aurez envie de pousser votre sens de l’humour jusqu’à l’absurde. »
Afficher en entier«
Chaque fois que nous avons des mots, vous et moi, el e me tombe dessus. Au fait, quand diable quittez-vous Londres ?
― Eh bien, voilà qui devient un sujet d’importance pour beaucoup de gens, s’amusa James. Si c’est à cause de cela que vous dormez sur un canapé, je crois que je ne partirai plus jamais.
― Vous êtes trop bon, Malory. »
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