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Non Marc ne m'a jamais dit qu'il m'aimait, qu'il ne pouvait vivre sans moi.
Faut-il toujours des mots pour nommer les sentiments?
Faut-il énoncer les choses pour qu'elles existent?
Afficher en entierQu'on me laisse avec mes rêves si je ne sais pas vivre autrement.
Afficher en entierJe suis toujours passée à côté des hommes, je les ai aimés trop tôt, trop vite ou trop tard.
Afficher en entierJe ne suis pas triste. Mais il y a un vide à l'intérieur de moi, qui bat et couple le souffle. Je suis absente à moi-même.
Afficher en entierCe sont les hommes qui m'ont quittée. Les hommes m'ont quittée parce que j'en demandais trop, ou pas assez.
[...]
Les hommes m'ont quittée parce que j'avais peur de les perdre ou parce que je m'en foutais. Les hommes ne m'ont jamais laissé le temps.
Afficher en entierJ'ignore s'il est difficile de quitter quelqu'un qu'on aime mais je sais combien il est difficile de perdre quelqu'un.
Afficher en entierEthan avait inscrit dans mon corps le goût des hommes, de leurs mains, Ethan m'avait donné l'envie, l'appétit, l'exigence. Il m'avait laissé avec cette joie et ce silence.
Afficher en entier- Excusez-moi mais il me semble difficile d'être invisible quand on porte des talons de vingt centimètres et qu'on s'habille comme un épouvantail. Je dois dire que je serais assez curieux de savoir où vous allez.
- Je suis la fille de ma-sorcière-bien-aimée et je me rends à une vente exceptionnelle de balais. Vous connaissez les réunions Tupperware ? Et bien, c'est le même principe, sauf que ça se passe la nuit et qu'on boit du Picon bière.
Afficher en entier« N’avez-vous jamais traqué les gestes, les regards, pour justifier votre trouble ? N’avez-vous jamais cru entendre, en deçà des mots, la musique souterraine des sens cachés ? »
« Vous savez ce qu’est l’amour et comme il nous habite, nous grandit, comme il nous brise et parfois nous laisse sans vie. »
« Dans la rue les hommes me regardaient, c’est étrange comme on attire le regard quand on a beaucoup baisé. »
« Je ne suis pas triste, je suis en manque. C’est une béance à l’intérieur du corps ; qui bat ; et coupe le souffle. […]. Je suis absente à moi-même, je suis ailleurs, […], allongée sur un lit. Offerte. »
« Je rejoue à l’infini ses gestes, ses paroles, je cherche dans le souvenir ce moment […], où le reste s’efface, disparaît, je cherche ce moment précis, qui me hante, […] entre ses mains.
Car rien, aucune caresse, aucun mot, ne sera recommencé. »
« Moi j’ignore s’il est difficile de quitter quelqu’un qu’on aime, je sais combien il est difficile de perdre quelqu’un. »
« Je suis d’une nature conciliante et peu encline au conflit, mais l’insistance me met mal à l’aise. »
Afficher en entierFaut il toujours des mots pour nommer les sentiments ?
Faut il énoncer les choses pour qu'elles éxiste ?
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