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— Mon Dieu, ma chérie ! dit sa mère, des sanglots dans la voix. Tu ignores donc que jamais, quoi que tu fasses, nous n’aurons honte de toi ? Nous t’aimons. Tu es la lumière de nos vies – celle de ton père, en particulier. Le soleil se lève et se couche avec toi. Quand tu es née, j’ai eu peur qu’il ne soit en colère parce que je ne lui avais pas donné de fils. Mais il était si fou de toi qu’il était clair qu’il s’en moquait. Et par la suite, quand il est devenu évident que je ne pourrais plus avoir d’enfants, je me suis de nouveau inquiétée. Et sais-tu ce qu’il m’a dit ?

Genevieve secoua lentement la tête. Sa mère sourit à travers ses larmes.

— Il m’a dit que je lui avais donné la plus forte, la plus intelligente et la plus belle fille de toute l’Écosse. Alors pourquoi aurait-il besoin d’un fils ?

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— La dernière chose dont Eveline a besoin, c’est d’apprendre à tirer à l’arc, commenta Graeme. Tu crois que j’ai envie de recevoir des flèches dans les fesses quand je la mets en colère ? Je te tiens pour responsable, Bowen. C’est ta femme qui corrompt la mienne. Quant à Rorie, c’est une cause perdue et nous le savons depuis longtemps.

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- C'est bien, ce que tu as fait, Bowen, murmura Graeme.

Bowen prit une inspiration tremblante avant de répliquer :

- Alors pourquoi ai-je l'impression qu'on m'arrache le cœur ?

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"Il la ramena sur son torse nu. Ce fut comme de toucher du feu. Sa chaleur l’enveloppa, la gardant prisonnière.

La main de Bowen lui frôla la joue, s’enfonça dans sa chevelure avant de se refermer sur sa nuque ; puis, comme s’il n’y avait rien de plus naturel, il posa ses lèvres sur les siennes. Délicatement.

Elle émit un petit cri étouffé contre sa bouche alors même que son corps se détendait contre le sien.

Cela, c’était un baiser.

Bowen explorait sa bouche avec une tendresse infinie, ses lèvres se mouvant doucement sur les siennes. De la pointe de la langue, il caressa la coupure à la commissure.

C’était enivrant, comme lorsqu’on boit trop de bière. Sentir son corps contre le sien la grisait littéralement. Elle ressentait une impatience, une envie formidable et inconnue.

Sa main libre se posa sur sa joue balafrée, et quand elle tenta de s’écarter, il caressa la chair torturée et prit son visage entre ses paumes pour approfondir son baiser.

Elle laissa échapper un soupir haletant ; aussitôt, la langue de Bowen s’introduisit dans sa bouche, douce et sensuelle, sollicitant une réponse. Timidement, elle se risqua à la goûter, et soudain, leurs deux langues se mirent à danser ensemble.

Ce fut lui qui rompit leur baiser. Il avait le souffle court, les yeux mi-clos, et les joues en feu comme s’il avait la fièvre. Mais son regard… Il la contemplait comme si elle était la plus belle femme du monde. L’espace d’un instant, elle oublia son visage ravagé et la cicatrice hideuse qui la marquerait à jamais. Dans les yeux de Bowen, elle se voyait que comme une créature belle et désirable.

— Vous êtes aussi délicieuse que je l’imaginais, dit-il d’une voix rauque de passion.

— C’est mon premier vrai baiser, avoua-t-elle."

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— C’est de cela que mon père souhaite te parler, dit-elle gravement.

— Je m’en doute. Il veut s’assurer que sa fille sera bien traitée, et je ne peux le lui reprocher. Je ferai la même chose avec les filles que tu me donneras.

Elle retrouva son sourire.

— Tu es donc si sûr que je vais te donner des filles ?

Il l’embrassa, savourant le bonheur de la tenir de nouveau dans ses bras.

— J’insiste.

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"Teague acquiesça. Il allait partir quand, soudain, il hésita.

— Graeme ne va sans doute plus tarder, dit-il.

Bowen comprit parfaitement l’avertissement.

— Je sais.

— Songe à tes priorités avant qu’il n’arrive, insista Teague. Tu n’as pas choisi un chemin facile en devenant le défenseur de cette fille.

— Le bien n’est jamais facile. Il faut en être digne."

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"Elle aurait dû avoir peur, mais cela faisait trop longtemps qu’elle avait accepté son sort. Sa mort éventuelle. Elle ne la craignait plus autant qu’autrefois. Il y avait pire que la mort, avait-elle découvert. Parfois, survivre demandait beaucoup plus de courage. Affronter un nouveau jour. Subir. Voilà qui exigeait de la force. Bien plus que mourir."

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Elizabeth posa la main sur son bras.

— C’est merveilleux de dire une chose pareille. Je suis la plus heureuse des femmes de t’avoir pour époux. Je ne pourrais rêver meilleur protecteur pour notre enfant. Et tu ne m’as jamais reproché de ne pas t’avoir donné de fils.

Lachlan l’attira à lui et la couva d’un regard empreint d’une immense tendresse.

— Comment pourrais-je me plaindre alors que tu m’as donné une fille qui n’a pas de rivale dans toute l’Écosse ? Qui d’autre aurait survécu comme elle l’a fait, et finalement réussi à se venger de ceux qui l’avaient conduite en enfer ? Dieu que j’aurais aimé être présent quand elle a abattu Patrick McHugh. Ça devait être quelque chose.

Elizabeth appuya la joue contre son torse.

— Et puis, reprit-il, c’est moi qui ai de la chance que tu m’aies choisi pour mari. Ils étaient nombreux ceux qui voulaient ta main, et pourtant, c’est moi que tu as préféré. Un sauvage dépourvu de manière à qui tu as permis de bâtir l’un des plus puissants clans d’Écosse. Même après toutes ces années, les hommes restent saisis devant ta beauté et beaucoup donneraient leur vie pour pouvoir partager ton lit.

Elle releva la tête, une lueur espiègle dans le regard.

— Voilà qui serait difficile ! Il y a déjà assez peu de place dans ce lit avec toi dedans.

— Satanée femme ! Je t’aime et tu le sais. Et je tuerai quiconque osera toucher l’ourlet de ta robe.

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— Alors, quelle est ton histoire, Genevieve ? Je suis dévorée de curiosité. Je ne sais rien de toi. Ils ne m’ont même pas envoyé une lettre, et Bowen n’a jamais ramené de femme ici. Il n’en avait pas besoin, cela dit. Elles le suivent partout où il va.

Genevieve ouvrit de grands yeux.

— Il a tant de succès que cela ?

Rorie éclata de rire.

— Tu l’as regardé ? Il n’y a pas de plus beau visage dans tous les Highlands. Même parmi les femmes. Soit elles le veulent, soit elles sont jalouses de lui. Il ne peut pas faire un pas sans tomber sur une drôlesse qui lui fait de l’œil.

Machinalement, Genevieve couvrit sa cicatrice de sa main, se demandant une fois de plus pourquoi il s’embêtait avec elle.

Rorie parut chagrinée.

— Pardonne-moi, Genevieve. Tout le monde sait que je parle à tort et à travers, surtout de choses qui ne me regardent pas. Je fais le désespoir de mes frères, mais ils m’aiment trop pour me punir. Enfin, la plupart du temps, ajouta-t-elle très vite.

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— Genevieve, je suis prêt à aller vivre en enfer six mois par an si c’est pour être avec toi.

Une joie immense l’envahit.

— Eh bien, j’espère que six mois chez nous ne te paraîtront pas un enfer, le taquina-t-elle.

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