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"𝘑'é𝘵𝘢𝘪𝘴 𝘫𝘶𝘴𝘵𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘯 𝘵𝘳𝘢𝘪𝘯 𝘥𝘦 𝘭𝘶𝘪 𝘦𝘹𝘱𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦𝘳 𝘲𝘶𝘦 𝘮𝘰𝘯 𝘱é𝘯𝘪𝘴 𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘨𝘳𝘰𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘦 𝘴𝘪𝘦𝘯. 𝘛𝘰𝘪 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘢𝘴 𝘷𝘶𝘴 à 𝘱𝘰𝘪𝘭 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦𝘶𝘹 𝘭'é𝘱𝘰𝘲𝘶𝘦, 𝘵𝘶 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘳𝘢𝘪𝘴 𝘮𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘫𝘶𝘨𝘦𝘳 𝘲𝘶𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘴. 𝘜𝘯 𝘢𝘳𝘣𝘪𝘵𝘳𝘦 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘢𝘭, 𝘷𝘰𝘪𝘭à 𝘤𝘦 𝘲𝘶'𝘪𝘭 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘧𝘢𝘶𝘵."

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Extrait ajouté par Fl3g 2023-11-14T13:28:10+01:00

Baptiste

Elle dépose négligemment la pile de romans sur une console derrière son siège de travail, juste à côté d’une boite en carton bleu pâle siglée du logo « Délices du Paradis », qui m’indique clairement que Grégoire a tenté de la corrompre avant moi.

Quelle mesquinerie de sa part.

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Extrait ajouté par Fl3g 2023-11-14T09:07:02+01:00

Baptiste

— ...Merci d’avoir accepté ce rendez-vous à la dernière minute.

Un sourire fleurit sur ses jolies lèvres et ses yeux se plissent en lui conférant un air encore plus mignon.

— De rien, toujours à ton service, beau gosse.

Cette drague… Je me souviens tout à coup que lors de notre dernier tête-à-tête j’avais décidé que ce mec serait parfait si toutefois il ne prononçait aucun mot de la soirée.

J’avais oublié ce point important.

Génial.

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Extrait ajouté par Fl3g 2023-11-13T21:02:22+01:00

Grégoire

— Dans tous les cas, cette poubelle me paraît à sa place. Je clos le dossier.

Voilà. Je savais que ma petite contribution à la cause de la police de Fleurville n’aura pas été vaine.

Flic qui a joui = flic réjoui.

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Extrait ajouté par Idole 2024-02-24T17:25:41+01:00

Tout ça parce que…

Putain, parce que Baptiste Lemarquand.

Il m’aura tout fait.

Me séduire en un clin d’œil à l’école.

Devenir un désir interdit l’année d’après.

Se transformer en le plus parfait connard du siècle du jour au lendemain.

Décider de s’installer à deux portes de la mienne et me pourrir la vie.

Et maintenant ?

La boucle est bouclée, ou presque, car voilà que je me masturbe en son honneur.

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Extrait ajouté par Idole 2024-02-24T17:24:59+01:00

— Grégoire ? demande ma mère, étonnée. Tu… vous… on dérange ?

— Pas du tout, réagit ce dernier en haussant les épaules avec nonchalance. J’étais venu vider mon sac à compost sur le paillasson de Baptiste, mais il a ouvert la porte au même moment, il m’a lancé en pleine tête que ce compost portait mon odeur naturelle, j’ai répliqué que c’était mieux que de schlinguer des dents, il m’a répondu…

Perplexe, il se tourne vers moi, tellement naturellement qu’il me donne envie d’éclater de rire.

— T’as répondu quoi, déjà ?

— Si tu ne t’en souviens plus c’est qu’en plus de l’odeur, tu as aussi le cerveau en compost. C’était un jeu de mots, mais je doute que tu l’aies capté. Compost, compote, tu vois…

Ma mère pouffe et son père grogne d’agacement.

Tout va bien.

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Extrait ajouté par Candice-21 2023-12-12T08:48:44+01:00

Il parait que chacun porte sa croix dans la vie. Pour ma part, je dirais que l'expression ne s'est sans doute jamais révélée aussi vraie. Moi, depuis mes quatorze ans, je porte La Croix. Et on ne peut pas dire que cela soit une partie de plaisir. Loin de là.

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“𝘛𝘰𝘶𝘵 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘢𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦𝘳, 𝘳𝘶𝘦 𝘗𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴, 𝘭𝘦 𝘱𝘪𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘭𝘦 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳… 𝘗𝘢𝘳𝘧𝘰𝘪𝘴, 𝘮ê𝘮𝘦, 𝘭𝘦 𝘮𝘦𝘪𝘭𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦 𝘢𝘶 𝘱𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘱𝘪𝘳𝘦 𝘣𝘳𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦 𝘣𝘰𝘯𝘯𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘭𝘭𝘦. 𝘗𝘢𝘳𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘰𝘯 𝘥é𝘵𝘦𝘴𝘵𝘦, 𝘰𝘯 𝘢𝘪𝘮𝘦. 𝘖𝘯 𝘴𝘦 𝘥é𝘤𝘩𝘪𝘳𝘦, 𝘰𝘯 𝘴𝘦 𝘳𝘦𝘫𝘰𝘪𝘯𝘵. 𝘖𝘯 𝘴𝘦 𝘤𝘢𝘤𝘩𝘦, 𝘰𝘯 𝘴𝘦 𝘱𝘦𝘳𝘥…𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘲𝘶𝘰𝘪 𝘲𝘶’𝘪𝘭 𝘢𝘳𝘳𝘪𝘷𝘦, 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘵𝘦𝘳𝘢 é𝘵𝘦𝘳𝘯𝘦𝘭𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘢𝘥𝘪𝘴.”

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Extrait ajouté par Karine89 2023-11-22T11:24:25+01:00

Ce type a sans doute décrété le jour de sa naissance que le but ultime de son existence serait de squatter la mienne, peu importe les conditions. Même s'il ne me connaissait pas à l'époque, je le crois capable d'avoir échafaudé un plan dans le genre alors qu'il n'était âgé que de quelques heures. Peut-être étions-nous voisins de couveuses et que je gueulais plus fort que lui. Peut-être que ça l'a agacé de ne pas être le centre de l'attention des nurses. J'en sais rien mais je vais enquêter.

Il va me pousser jusqu'aux portes d'un hôpital psy, s'il continue.

Bref...

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Extrait ajouté par Pegh 2023-11-16T16:37:51+01:00

— Ton voisin est casse-couille souffle Loïc en traversant ma terrasse.

— Je ne te le fais pas dire.

Machinalement, je laisse mon attention dériver sur le cul de monsieur l’agent car, soyons clairs, la nature l’a super bien gaulé. Autant dire que cette petite relation informelle que j’ai initiée avec lui pour une tout autre raison que l’amour passionnel ne présente pas que des mauvais côtés.

— Je vois ! maugrée une voix que j’ai appris à ne plus supporter. C’est pratique !

Sans surprise, Baptiste nous accueille comme s’il était branché sur du 220 V, surgissant de son quartier général, la librairie du 10 de la rue, bras croisés sur son torse, avant-bras à l’air libre, légèrement hâlés et atrocement sexy.

Ses satanés avant-bras. Ses mains. Je suis certain qu’il sait, peut-être qu’il l’a entendu à l’époque où nous partagions le même toit, qu’après le cul, cette partie du corps chez un mec me rend dingue. Ce n’est pas possible autrement, il s’arrange toujours pour me les agiter sous le nez au moindre face-à-face. Tout comme ses lunettes qui lui confèrent un air d’intello salace. Il ne les porte habituellement que lorsqu’il lit ou qu’il bosse.

Mais là…

— Qu’insinuez-vous, monsieur Lemarquand ?

Loïc Prébost, le flic du coin, et accessoirement mon coup de cette nuit, redresse les épaules et bombe le torse pour l’affronter, manifestement prêt à le remettre à sa place. Et moi ? J’observe le tout en me retenant difficilement de me marrer.

En fait, non, je ne me retiens pas. Resté à l’écart, j’adresse un sourire de victoire à monsieur Lemarquand qui tente de m’assassiner de son regard vert profond.

— Je n’insinue rien du tout. Mais c’est une évidence que, vu le laps de temps ridiculement court que vous avez mis à arriver jusqu’ici, votre parti est déjà pris.

Mon amant de la nuit fronce les sourcils en attrapant un carnet coincé dans sa ceinture, puis un crayon.

— Vous laissez donc entendre que je me laisse… acheter ? Que je n’effectue pas correctement mon travail parce que… j’aurais passé la nuit avec monsieur La Croix ?

— La nuit ? ricane mon presque voisin en détournant son regard du mien pour le pourfendre, lui. Je me demande bien ce que vous avez pu faire durant toute une nuit avec monsieur le badigeonneur de cupcakes congelés. Si vous cherchez à combler votre temps libre, alors, je vous propose une nuit en ma compagnie, vous verrez la différence.

L’agent de police fronce une nouvelle fois ses yeux bruns pour dévisager Baptiste.

— Donc, maintenant vous cherchez à me corrompre ? Vous aggravez votre cas, je préfère vous prévenir.

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