Les Rivaux de la rue Paradis

Comme l'indique l'autrice dans son avant-propos, ce livre est bourré de clichés et ne "révolutionnera pas la romance", mais c'est ce qu'on aime dans le genre. Entre l'humour et la plume fluide, on ne s'ennuie pas une seconde et on ressort de cette lecture avec un sourire sur les lèvres.

Ce livre est un coup de cœur !

Une histoire originale et intéressante, un humour pétillant et des personnages bien construits et drôles !

Les romans de Marie H.J. sont toujours un régal que l'on savoure avec délice ! Tendre, amusant, un brin hot et proposant une intrigue captivante. J'en redemande !

Histoire, addictives , drôle et attachant. Les personnages sont génial

Bon, c'est un Marie HJ., donc on passe un bon moment.

Et même si ce roman n'est pas mon préféré de l'auteure, j'ai tourné les pages sans m'en rendre compte et lu très vite.

On aime les deux protagonistes et leurs joutes verbales, mais aussi leur vulnérabilité, les personnages secondaires ne sont pas en reste.

Avis : Un mignon Slow Burn.

Marie HJ n’a pas pour habitude de nous livrer des textes et des histoires en Slow Burn, alors qu’elle surprise avec ce roman qui prend tout son temps.

Côté personnages, nous avons Grégoire, pâtissier va vous régaler les papilles. Quant à Baptiste, libraire grincheux, va vous faire baver tant il est sexy.

Je m’attendais à beaucoup de chose venant de Marie mais pas à cette lecture. J’ai été agréablement surprise par ce slow burn aussi agaçant qu’excitant.

Nous avons des personnages qui se font la guerre dans une rue paisible. Une rivalité qui remonte à leur adolescence mais dont nos deux jeunes hommes n’arrivent pas à résoudre le problème. Un problème qui devient épineux lorsqu’ils sont obligés de partager la même cours dans cette Rue Paradis. Un Paradis pour les habitants et les clients mais pas forcément pour tous les commerçants… Pourtant ce problème pourrait être résolu depuis longtemps s’ils avaient réussi à comprendre ce que leur cœur leur dicte.

Une guerre sur celui qui a « la plus grosse » en somme.

Après tout, tout le monde sait qu’on tombe sous le charme de celui que l’on déteste. Entre haine et amour, le passage de l’un à l’autre est si infime qu’il est souvent difficile de le voir, le trouver et surtout surpasser l’un pour accueillir l’autre.

La rue paradis ou la rue de l’enfer pour deux d’entre eux. Mais si l’enfer pouvait aussi devenir paradis alors cette rue parterait bien son nom jusqu’au bout… 😉

Les joutes verbales sont très hilarantes. C’est dans ces moments-là que nous retrouvons notre Marie comme nous la connaissons. C’est très drôle et rafraichissant.

Une lecture plaisir et doudou, qui fait du bien au moral et surtout sans prise de tête. Une histoire belle, avec des émotions, des sentiments perdus, oubliés, retrouvés.

Marie HJ peut vous surprendre avec cette lecture. Laissez-vous tenter par la découverte de la Rue Paradis.

J'ai eu un peu de mal à accrocher au début de l'histoire mais je ne regrette pas d'avoir continué !

Les personnages de Baptiste et Grégoire sont vraiment bien développés, avec leurs forces et leurs faiblesses. J'ai aussi apprécié comment était dépeinte la mère de Baptiste, avec ses envies de bien faire mais aussi ses manquements.

L'histoire est intéressante même si j'ai moins accroché au petit mystère des cambriolages.

A 14 ans Baptiste et Grégoire étaient inséparables puis tout a basculé et depuis ils se détestent. Cela fait 15 ans que ça dure et pourtant ils se voient tous les jours puisqu’ils sont voisins et que leurs commerces respectifs, rue du Paradis, sont collés. Cela donne des joutes verbales électriques, des coups-bas, des regards noirs bref un véritable enfer pour toutes les personnes qui sont proches d’eux. Rien ne va plus entre Grégoire et Baptiste les rivaux de la rue du paradis… J’ai passé un très bon moment en compagnie de ces deux têtes de mule d’une mauvaise foi évidente. Une lecture doudou, tendre et qui donne le sourire.

J'adore les romances de Marie H.J. Je passe toujours un bon moment !

C'est une romance douce, tendre et j'aime beaucoup le fait qu'ils se connaissent déjà... Même si je trouve finalement la réaction de Grégoire un peu disproportionnée sur les faits qui l'ont amené à arrêter de parler à Baptiste, l'histoire est vraiment sympa ! Je ne comprends pas pourquoi il a décidé de couper les ponts et ignorer Baptiste du jour au lendemain, malgré ce qu'il a "vu".

J'ai apprécié le fait que finalement, même s'ils se connaissent déjà, ça ne se passe pas si rapidement dans le roman et ça soit plutôt progressif !

Les personnages sont attachants et je n'avais pas envie de les laisser !

Malgré les avertissements, il se trouve que c'est exactement le genre de livre que j'aime. Et pourtant, même s'il est agréable à lire, il ne m'a pas autant emballé que je l'aurai cru. C'est bien écrit, c'est drôle et plein de détails. Mais j'ai été quand même déçu du fait qu'ils se connaissaient depuis aussi longtemps...ca enlève tout le plaisir de la découverte, de la rencontre et de la séduction. Spoiler(cliquez pour révéler)Finalement, ils s'aiment déjà...il ne leur restait qu'à ouvrir les yeux !

Si toi aussi tu as eu envie d’étriper ton voisin qui met sa musique à fond à pas d’heure ou qui colle sa poubelle derrière ta bagnole le matin avant de partir au boulot. Oui, toi, tu comprends le sentiment qui peut animer Baptiste. Libraire de son métier, il partage sa terrasse avec son presque voisin pâtissier, Grégoire. Et cerise sur le cupcake, ce dernier n’est autre que son c*nnard de presque frère. Attends, je t’explique.

Alors que Grégoire était au collège, il a vu un jour débarqué un gars sympa, un peu introverti, intello, Baptiste et ça a été le coup de foudre amical pour eux et le coup de foudre tout court pour leurs parents célibataires. Mais du jour au lendemain, bim, l’un des garçons se met à ignorer royalement l’autre. Difficile de cohabiter dans ces conditions.

15 ans plus tard, les hasards de la vie les font devenir presque voisins dans la très animée rue Paradis. Inutile de dire que la rancœur est toujours bien accrochée et que les noms de tous les oiseaux répertoriés sur la planète y passent du matin au soir pour des broutilles.

Et ça Tata Clotilde, qui possède la salle de gym entre les deux boutiques, elle en a ras le chignon. Elle n’en peut plus de ces gamins attardés qui passent leur temps à se tirer dans les pattes, de quoi foutre en l’air la bonne ambiance du quartier. Un ultimatum semble être la seule solution pour rabibocher ces deux-là. Et je pose ça, là : derrière cette obstination à se haïr ne se cacherait-il pas quelque chose de plus ambigü ? Je questionne juste … Parce qu’ils s’aimaient bien, avant, même beaucoup.

Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu un « Stepbrothers » et on peut dire que celui-ci est détonnant ! En général, on sent une tension entre les deux gars dans ce trope, un petit malaise. Mais là, on s’envoie des fions dans la tronche dès le début, parfois en mode Audiard et vas-y que je te prends clairement pour une tête de nœud en t’affichant devant tous les commerçants de la rue Paradis.

Qu’est-ce que je me suis marré ! On se retrouve alternativement dans l’esprit de Grégoire et de Baptiste et on essaie de comprendre ce qui les a amenés à cette situation. L’auteure passe par des flash-backs qui éclairent au fur et à mesure notre lanterne. Ces deux personnages sont taillés sur mesure pour des joutes verbales jouissives. Ils se narguent, s’ignorent mais ne peuvent pas s’empêcher de lorgner dans la boutique d’à-côté. C’est à qui em*erdera l’autre en premier, le tout sous le regard excédé des personnages secondaires qui ajoutent à l’humour ambiant de cette histoire. Mais on attend surtout une autre sorte de craquage, car l’attirance est belle et bien là. Tout ce temps à se forcer à se détester, quand ça craque, ça craque !

Une lecture feel-good qui fait vraiment du bien. J’ai adoré voir Grégoire et Baptiste s’affronter pour mieux se retrouver. Leurs dialogues et leurs pensées m’ont collé le sourire pendant ma lecture