Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
716 427
Membres
1 021 576

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Béatrice d’Hirson assistait à l’entretien. Lorsque le comte de Poitiers raconta l’interrogatoire du Templier, la même pensée vint aux deux femmes ; elles échangèrent un bref regard. Le personnage employé par le cardinal Caëtani offrait de bien frappantes similitudes avec le faux fabricant de cierges qui les avait aidées, deux ans plus tôt, à empoisonner Guillaume de Nogaret.

« Il serait bien étonnant qu’il y eût deux anciens Templiers du même nom, et tous deux versés en sorcellerie. La mort de Nogaret lui était une bonne introduction auprès du neveu de Boniface. Il est allé se faire payer de ce côté-là ! Oh ! méchante affaire… » se disait Mahaut

Afficher en entier

« Comment il en allait à ses yeux des honneurs et des titres, il en allait des bijoux, des vêtements, des chevaux, des meubles, des vaisselles ; il lui fallait trop de tout pour lui donner le sentiment d’en avoir assez. »

Afficher en entier

Le roi qui ce jour-là franchissait le portail de la cathédrale de Reims était accompagné des trois successeurs que lui donnerait l'Histoire. En effet, derrière Louis X chevauchaient ses frères Philippe et Charles, ainsi que son cousin Philippe de Valois. Avant quatorze ans, la couronne se serait posée sur leurs trois têtes.

Afficher en entier

À peine une difficulté politique paraît-elle aplanie qu'une autre, qui se formait justement pendant qu'on réglait la première, exige une attention immédiate. Le général vainqueur profite longuement des honneurs de sa victoire ; mais le ministre doit affronter les nouvelles situations nées de cette victoire même. Aucun problème ne tolère de rester longtemps irrésolu, car tel qui semble aujourd'hui secondaire demain prendra une importance tragique."

Afficher en entier

« Il est généralement mauvais de détourner les gens de leur nature. Mieux vaut laisser un méchant à sa méchanceté que de le transformer en mouton ; la bonté n’étant pas son affaire, il en usera de façon déplorable. »

Afficher en entier

« - Amusez-vous, mon gentillet, amusez-vous avec les dames de haut lignage ; c’est de votre âge. Quand vous aurez pris quelques années, vous saurez qu’elles sont aussi catins que les autres, et que les plaisirs dont elles se font marchandes, on les a pour dix sols au bordeau.

Il sortit, et l’on entendit pendant plusieurs secondes son grand rire résonner dans l’escalier. »

Afficher en entier

« - Je veux, ma mie, lui avait-il dit, que vous soyez la dame la mieux pourvue du monde.

Mais avait-elle besoin de trois couronnes d’or, l’une incrustée de dix gros rubis balais, l’autre de quatre grandes émeraudes, de seize petites et de quatre-vingt perles, et la troisième avec encore des perles, encore des émeraudes, encore des rubis ? »

Afficher en entier

« En fait, elle n’avait pas d’amis. Elle sentait, parce qu’elle était fine et sans vanité, que toute marque d’affection qu’on lui témoignait était intéressée. Elle apprenait que les rois ne sont jamais aimés pour eux-mêmes, et que les gens, en s’agenouillant devant eux, cherchent toujours à ramasser sur le tapis quelque miette de puissance. »

Afficher en entier

« La levée de l’armée s’accomplit sans difficultés, et même dans un certain enthousiasme de la part des barons qui se plaisaient à l’idée de sortir leurs cuirasses et d’aller courir l’aventure.

Le peuple affichait moins d’allégresse.

- N’est-ce point assez, disaient les commères, qu’on soit à demi morts de famine, pour aller encore donner nos hommes et notre argent à la guerre du roi ?

Mais on faisait miroiter au soldats l’espoir du butin et des jours francs de pillage et de viol ; pour beaucoup d’hommes, l’ost offrait une échappée à la monotonie du labeur quotidien et au souci de se nourrir ; nul ne voulait se montrer lâche ; et les sergents royaux savaient rappeler les manants au devoir en décorant de quelques pendus les arbres des routes. »

Afficher en entier

« Les hommes d’Eglise, même lorsqu’ils parlent beaucoup, doivent être entendus à demi-mot. »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode