Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 072
Membres
1 015 053

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par KAGOME 2011-11-19T14:22:37+01:00

il est plus facile de mourir que d'aimer c'est pourquoi je me donne le mal de vivre mon amour ..

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T19:12:19+01:00

Les raisons d'aimer et de vivre Varient comme font les saisons.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T19:12:19+01:00

Il y a toujours un rêve qui veille.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Didie6 2014-11-21T19:26:35+01:00

Je crierai je crierai dans la ville qui brûle

A faire chavirer des toits les somnambules

Je crierai mon amour comme le matin tôt

Le rémouleur passant chantant Couteaux couteaux

Je crierai je crierai plus fort que les obus

Que ceux qui sont blessés et que ceux qui ont bu

Je crierai je crierai Ta lèvre est le verre où

J'ai bu le long amour ainsi que du vin rouge

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T19:12:19+01:00

La Loire emporte mes pensées

Avec les voitures versées

Et les armes désamorcées

Et les larmes mal effacées.

Afficher en entier
Extrait ajouté par sarachan 2024-01-26T11:30:53+01:00

S’il se pouvait un chœur de violes voilées

S’il se pouvait un cœur que rien n’aurait vieilli

Pour dire le descort et l’amour du pays

S’il se pouvait encore une nuit étoilée

S’il se pouvait encore

Afficher en entier
Extrait ajouté par sarachan 2024-01-26T11:30:42+01:00

L’ombre des tours qui tourne au cadran d’incendie

Sur le pavé des cours noires de la prison

Inscrit la ronde terne et lente des saisons

Ici le temps lanterne ici la mort mendie

Ici le temps lanterne

Afficher en entier
Extrait ajouté par sarachan 2024-01-26T11:30:30+01:00

N'aimes-tu pas le velours des mensonges

Il est des fleurs qu'on appelle pensées

J'en ai cueilli qui poussaient dans mes songes

J'en ai pour toi des couronnes tressé

Ils sont entrés dans la chapelle peinte

Et sacrilège il allait l'embrasser

La foudre éclate et brûle aux yeux la Sainte

Le toit se fend Les murs sont renversés

Afficher en entier
Extrait ajouté par sarachan 2024-01-26T11:30:16+01:00

Si l'univers ressemble à la caserne

À Tours en France où nous sommes reclus

Si l'étranger sillonne nos luzernes

Si le jour aujourd'hui n'en finit plus

Faut-il garder le compte de chaque heure

Haïr moi qui n'avais jamais haï

On n'est plus chez soi même dans son coeur

Ô mon pays est-ce bien mon pays

Je ne dois pas regarder l'hirondelle

Qui parle au ciel un langage interdit

Ni s'en aller le nuage infidèle

Ce vieux passeur des rêves de jadis

Je ne dois pas dire ce que je pense

Ni murmurer cet air que j'aime tant

Il faut redouter même le silence

Et le soleil comme le mauvais temps

Ils sont la force et nous sommes le nombre

Vous qui souffrez nous nous reconnaissons

On aura beau rendre la nuit plus sombre

Un prisonnier peut faire une chanson

Une chanson pure comme l'eau fraîche

Blanche à la façon du pain d'autrefois

Sachant monter au-dessus de la crèche

Si bien si haut que les bergers la voient

Tous les bergers les marins et les mages

Les charretiers les savants les bouchers

Les jongleurs de mots les faiseurs d'images

Et le troupeau des femmes aux marchés

Les gens du négoce et ceux du trafic

Ceux qui font l'acier ceux qui font le drap

Les grimpeurs de poteaux télégraphiques

Et les mineurs noirs chacun l'entendra

Tous les Français ressemblent à Blondel

Quel que soit le nom dont nous l'appelions

La liberté comme un bruissement d'ailes

Répond au chant de Richard Coeur-de-Lion

Afficher en entier
Extrait ajouté par sarachan 2024-01-26T11:29:38+01:00

Il fallait ce long chemin pour qu'on reprît en connaissance de cause la longue histoire du vers français, non pas comme une leçon qui se répète, bien apprise, non pas comme une science nécessaire à quelque baccalauréat, mais comme le sanglot organique et profond de la France, comme ce parler de toute la terre et de toute l'histoire, dont chaque poète français est l'héritier, l'interprète trop souvent ignorant de ce qu'il fait.

Prologue

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode