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 — Cependant, un petit conseil : je ne lancerais pas « trou du cul » ou « connard » au visage de Kieran Aindréas Cairbre Aimhrea. Il a, comme on le dit, mauvais caractère. « Fils de pute », par contre, ça pourrait aller, puisqu’il en est un au sens propre du terme.

Le conducteur marqua une pause, comme s’il réfléchissait.

— Au sens figuré aussi, je dois dire.

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Bien sûr, elle aurait pu en débattre dans sa tête toute la journée… il y avait tout de même une calotte rouge debout devant elle.

— Ne me mangez pas, chuchota-t-elle, avant de fermer la bouche abruptement.

Sa peur avait soufflé les mots sans prévenir tandis que la pensée lui traversait l’esprit.

Le garde à la calotte rouge la lorgna de la tête aux pieds et lui sourit. Oh, oui, les dents étaient comme celles de son imagination. L’étourdissement et la nausée la poussèrent à faire un pas vers l’arrière.

— Vous n’êtes pas à mon goût, gronda-t-il. 

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Et cet homme en particulier était, en effet, très fort.

Son esprit vagabonda vers son rêve de la veille. Au moment où elle s’était réveillée, elle avait cru qu’il ne s’agissait que d’un rêve clair, tangible, mais inoffensif. Elle avait réalisé tous ses fantasmes avec cet homme sensuel, et maintenant elle avait l’impression…

Oh, mince… La vérité la frappa de plein fouet.

Son rêve était tout, sauf inoffensif, et l’homme avec lequel elle avait commis ces actes érotiques était probablement réel. C’était sûrement lui qui la tenait en laisse en ce moment, qui la tirait si violemment vers lui.

Elle leva une main fébrile pour la poser sur l’encolure de son tricot. Les choses qu’elle avait faites dans ce rêve…

Un homme drapé du costume traditionnel du Phaendir s’assit devant elle. Bon nombre des membres de la secte de druides aux pouvoirs magiques portaient des vêtements ordinaires, des complets foncés, des pantalons habillés et des polos. Il était habituellement impossible de distinguer un Phaendir d’un homme ordinaire, mais celui assis en face d’elle était vêtu d’une robe de moine.

La main toujours posée sur l’encolure de son tricot, elle lui offrit un timide sourire, qu’il lui rendit accompagné d’un regard sévère. Presque comme s’il lui disait qu’il savait ce qu’elle avait fait la nuit précédente.

Charlotte s’enfonça discrètement dans sa chaise et détourna le regard.

Les Phaendir étaient tous des hommes et la plupart étaient grands et imposants. Et il était impossible d’ignorer leur magie puissante. Leur pouvoir était assez fort pour garder tous les fae du monde emprisonnés. Les Phaendir méritaient le plus grand respect et il valait mieux ne pas se moquer d’eux.

Pourtant, Charlotte s’apprêtait à leur manquer de respect, et à se moquer d’eux, en prime.

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