Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 031
Membres
1 014 803

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

— Tu parles d’autres langues ? demandai-je.

(...)

— Allemand, espagnol, hollandais, mandarin et, bien sûr, français. Impressionnant.

— Dis quelque chose en allemand, dis-je avant de boire une gorgée.

C’était doux, avec un arrière-goût épicé. Je n’étais pas sûre d’aimer.

— Scheide, dit Noah. Je décidai de prendre une autre gorgée.

— Qu’est-ce que ça veut dire ?

— « Vagin ». Je faillis m’étrangler et me couvris la bouche de la main.

— Charmant, dis-je après m’être ressaisie. C’est tout ce que tu connais ?

— En allemand, hollandais et mandarin, oui. Je secouai la tête.

— Pourquoi connais-tu le mot « vagin » en plusieurs langues ?

— Parce que je suis européen, et donc plus cultivé que toi, dit-il en prenant encore une gorgée et en essayant de ne pas sourire.

Afficher en entier

« Ma respiration s'est bloquée dans ma gorge alors qu'il me regardait.

J'ai plissé les yeux :

- Tu es le mal en personne.

Pour seule réponse, Noah m'a souri et a levé son doigt pour tapoter doucement le bout de mon nez.

-Et tu es mienne, a-t-il dit, avant de s'éloigner. »

Afficher en entier

« - Je te hais, marmonnais-je.

Noah souria encore plus.

- Je sais.»

Afficher en entier

« - Tu me veux autant que je te veux. Et tout ce que je veux, c'est toi.

Ma langue contredit ma pensée.

- Aujourd'hui, soufflais-je.

Noah se leva lentement, son corps parcourant le mien tandis qu'il se redressait.

- Aujourd'hui. Ce soir. Demain. Pour toujours.»

Afficher en entier

“Mara, if you’re tired, I can hear it. If you’re hurt, I can feel it. And if you lie, I will know it.”

Afficher en entier

« - Qu'est-ce que tu ferais si je t'embrassais, tout de suite ?

Je fixai son magnifique visage et sa merveilleuse bouche, et je ne voulais rien d'autre que de la gouter.

- Je t'embrasserais en retour.»

Afficher en entier

Voilà ce que Noah portait ce matin, de bas en haut :

Chaussures : des Converses grises.

Pantalon : en tweed anthracite.

Chemise : coupe près du corps, à rayures très fines. Cravate hyper mince, nouée lâche autour de son col ouvert, laissant apparaître un tee-shirt imprimé.

Nombre de jours sans se raser : entre trois et cinq.

Demi-sourire : criminel.

Yeux : bleus et profonds.

Cheveux : belle, très belle pagaille.

— Bonjour, dit-il d’une voix chaude.

Au secours.

— Bonjour, réussis-je à répliquer en louchant.

Afficher en entier

Mara et Noah p.272.

La main de Noah apparut sur le casier à côté du mien, et je le sentis s'appuyer contre moi. L'atmosphère était saturée d'électricité.

-Embrasse moi, dit-il.

-Quoi ?

Je me retournai et me retrouvai à seulement quelques centimètres de lui. Mon sang s'embrasa sous ma peau.

-Tu ma très bien entendu.

Je sentais le regard des autres élèves. À la périphérie de ma vision, je les voyais se réunir en petits comités sous les allés couvertes attendant que la pluie s'arrête. Ils contemplaient bouche bée le visage de Noah penché sur le mien, sa main appuyée sur le metal près de mon oreille. Il ne s'approcha pas plus; il demandait la permission, attendait que je fasse le prochain pas. Mais alors que mon visage virait à l'écarlate en sentant ses yeux et les leurs rivés sur moi, les autres élèves commençaient a disparaître, les uns après les autres. Et par là, je ne veux pas dire qu'ils s'eloignaient. Ils disparurent.

-Je n'aime pas trop embrasser, lachai-je, en regardant Noah droit dans les yeux

Il afficha un minuscule sourire.

-Oh ?

Ma gorge était serrée, mais j'acquiesçai toutde même.

-C'est idiot, dis-je, en cherchant la foule du regard.

Rien. Disaprue.

-Fourrer sa langue dans la bouche de quelqu'un d'autre, c'est idiot. Et dégoûtant.

Où était donc passé mon riche vocabulaire ?

Afficher en entier

— Tu fumes ?

Il m’adressa un petit sourire espiègle.

— Tu en veux une ?

Lorsqu’il arquait les sourcils comme ça, son front se plissait d’une manière très sexy. Il y avait vraiment quelque chose qui ne tournait pas rond chez moi. Je le notai à l’attention de ma santé mentale précaire et évitai ses yeux.

— Non, je n’en veux pas une. Les clopes, c’est dégoûtant. Noah rangea le paquet dans la poche de sa chemise.

— Je peux ne pas fumer si ça te dérange, proposa-t-il, mais d’une façon qui me mit mal à l’aise.

— Ça ne me dérange pas, répondis-je. Si toi ça ne te dérange pas de paraître quarante ans quand tu en auras vingt, d’avoir l’odeur nauséabonde d’un vieux mégot et un cancer des poumons, pourquoi ça me dérangerait ?

Ces mots avaient jailli de ma bouche malgré moi. C’était odieux, mais je ne pouvais pas m’en empêcher ; Noah faisait ressortir le pire en moi. Me sentant un peu coupable, je jetai un coup d’œil dans sa direction pour voir s’il était vexé. Bien sûr que non. Il semblait juste amusé.

Afficher en entier

Mara, Anna et Noah. P.183 à p.186.

-C'est ça que tu cherches ? Chantonna-t-elle innocemment, en levant mon carnet.

J'essayai de le saisir, mais elle l'éloigna.

-Suceuse, lancai-je les dents serrées.

Anna fit semblant d'être choquée.

-Mon dieu, Mara. Quel langage ! Je rends simplement un objet perdu a sa propriétaire légitime. C'est bien toi sa propriétaire légitime, non ? demanda-t-elle en ouvrant le carnet à la première page. Mara Dyer, lut-elle à voix haute. C'est toi, ajouta-t-elle en ponctuant sa declaration d'un ricanement.

Je ne dis rien.

-Aiden a été très gentil et l'a ramassé quand tu l'as laissé malencontreusement tomber en cours d'algèbre.

Aiden sourit alors. Il devait l'avoir piqué dans mon sac.

-En fait, il l'a volé.

-Je crains que non, Mara. Tu as dû l'égarer, affirma-t-elle.

Allons donc !

Maintenant qu'elle avait planté le décor, Anna commençait à tourner les pages. Si je la frappais, Aiden attraperait mon carnet et Noah verrait quand même ce que j'avais dessiné. Et soyons honnêtes, je n'avais jamais frappé qui que ce soit de ma vie. En plus, ça ne changerait rien à la situation. Les croquis étaient des portraits détaillés tellement bien réalisés qu'ils trahirait mon obsession grandissante à la seconde même où ils seraient révélés. L'humiliation serait totale, et elle le savait.

La défaite empourpra mes joues et se propagea à mon cou. Je ne pourrait rien faire d'autre que de subir cette lapidation en restant immobile, pendant que l'ensemble de l'école me fouetterait jusqu'à ce qu'Anna fasse une overdose de cruauté.

Je ramasserais mon carnet lorsqu'elle en aurait fini. Parce qu'il était à moi et je comptais bien le récupérer.

Je préférai ne pas regarder le visage de Noah lorsqu'Anna arriva à la page où il apparaissait pour la première fois. Decouvrir un petit sourire satisfait, le voir rire ou lever les yeux aux ciel me detruirait et je ne pouvait pas me permettre de pleurer. Au lieu de ça, je fixai mon regard sur le visage d'Anna et l'observai vibrer d'une jubilation malicieuse alors qu'elle s'avançait vers lui, mon carnet à la main. La foule encercla Anna et Noah.

-Noah, roucoula-t-elle

-Anna, repondit-il d'un ton plat.

Elle feuilletait une à une les pages et j'entendis les chuchotements se transformer en un bourdonnement. Un rire clair s'éleva même du côté de la hutte Tiki, puis s'estompa. Anna tournai les pages lentement et, comme une maîtresse d'école diabolique, tenait le livre de façon à ce qu'un maximum de personnes puisse en profiter. Il fallait que tout le monde ait l'occasion de contempler longuement ma disgrâce.

-C'est très ressemblant, dit-elle à Noah, en serrant son corps contre le sien.

-Ma copine a du talent, repondit Noah

Mon coeur cessa de battre.

Le coeur d'Anna cessa de battre.

Les coeurs de toute l'assemblé cessèrent de battre. Le bourdonnement presque inaudible d'un moucheron aurait semblé indécent dans ce silence absolu.

-Ce ne sont que des connneries, murmurra finalement Anna, mais sa voix fut assez forte pour que tout le monde l'entende.

Elle n'avait pas bougé d'un centimètre.

Noah haussa les épaules.

-Je ne suis qu'un salaud, et pourtant, Mara est très indulgente avec moi.

Après une pause, il ajouta :

-En revanche, je suis heureux que tu n'aies pas posé tes griffes cupides sur l'autre carnet. Là ça aurait été embarrassant.

Ses lèvres affichèrent un sourire entendu alors qu'il quittait la table de pique-nique sur laquelle nous étions assis.

-Maintenant, lâche-moi, dit-il calmement à une Anna ahurie et sans voix tandis qu'il la repoussait et lui arrachait le carnet des mains.

Puis il s'avança vers moi.

-Allons-y, m'ordonna-t-il gentiment une fois à mes côtés. Son corps effleura la ligne de mon épaule et de mon bras d'un geste protecteur. Puis il me tendit la main.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode