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Écrire ces quelques lignes me font mal, mais je viens de connaître ma première déception avec Joël Dicker. Avant tout, je pense qu’il faut vraiment avoir lu Le Livre des Baltimore avant (ce qui malheureusement n’était pas mon cas). Aucun spoil, oui, mais pourtant ne pas être au fait de ce pan du récit m’a donné de l’inconfort. Je n’ai pas apprécié (a sa juste valeur je pense, du moins j’espère) cette partie de fond de l’histoire.
L’histoire justement…par où commencer. Je pense qu’à trop faire du Dicker avec des personnages déjà (sur)exploités dans une précédente affaire, ressorts scénaristiques compris, est le premier élément de déception. OUI c’est « une suite ». Mais quitte à faire un copier coller, l’affaire HQ était (et de très loin) meilleure ! La résolution de l’enquête (on passera sous silence le nombre pharamineux d’incohérences) se sent à des km (perso j’avais trouvé le coupable plutôt rapidement malgré les 250 premières pages longues mais longues). Ce qui fonctionnait précédemment, soit perdre le lecteur sur de multiples pistes qui ô bonheur finissent par se rejoindre, est ici épuisé à la corde. Et puis Marcus est tellement antipathique dans ce tome ! Tellement le cul entre plusieurs sièges, monsieur joli cœur ! Et pourquoi ne tuer que des femmes ? Tout le temps. Ce point m’a frappé au cours de la lecture… et puis quelles femme s’il vous plaît. Des stéréotypes à foison. Pas une pour rattraper l’autre. Bref je suis déçue. Déçue.
Dernier point, ok notre auteur se lance dans « l’auto édition de luxe » mais est ce trop demander un papier de moindre qualité où on ne voit pas au travers ?! Pour le prix…sans mentionner les 2 coquilles présentes.
Arf. Je ne sais pas si je laisserai la chance à L’affaire Gaby-je-sais-plus-quoi. Car, oui surprise, on suivra, encore un feminicide non élucidé……..
Écrire ces quelques lignes me font mal, mais je viens de connaître ma première déception avec Joël Dicker. Avant tout, je pense qu’il faut vraiment avoir lu Le Livre des Baltimore avant (ce qui malheureusement n’était pas mon cas). Aucun spoil, oui, mais pourtant ne pas être au fait de ce pan du récit m’a donné de l’inconfort. Je n’ai pas apprécié (a sa juste valeur je pense, du moins j’espère) cette partie de fond de l’histoire.
L’histoire justement…par où commencer. Je pense qu’à trop faire du Dicker avec des personnages déjà (sur)exploités dans une précédente affaire, ressorts scénaristiques compris, est le premier élément de déception. OUI c’est « une suite ». Mais quitte à faire un copier coller, l’affaire HQ était (et de très loin) meilleure ! La résolution de l’enquête (on passera sous silence le nombre pharamineux d’incohérences) se sent à des km (perso j’avais trouvé le coupable plutôt rapidement malgré les 250 premières pages longues mais longues). Ce qui fonctionnait précédemment, soit perdre le lecteur sur de multiples pistes qui ô bonheur finissent par se rejoindre, est ici épuisé à la corde. Et puis Marcus est tellement antipathique dans ce tome ! Tellement le cul entre plusieurs sièges, monsieur joli cœur ! Et pourquoi ne tuer que des femmes ? Tout le temps. Ce point m’a frappé au cours de la lecture… et puis quelles femme s’il vous plaît. Des stéréotypes à foison. Pas une pour rattraper l’autre. Bref je suis déçue. Déçue.
Dernier point, ok notre auteur se lance dans « l’auto édition de luxe » mais est ce trop demander un papier de moindre qualité où on ne voit pas au travers ?! Pour le prix…sans mentionner les 2 coquilles présentes.
Arf. Je ne sais pas si je laisserai la chance à L’affaire Gaby-je-sais-plus-quoi. Car, oui surprise, on suivra, encore un feminicide non élucidé……..
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