Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 827
Membres
1 013 950

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

J'ai envie de tuer mon patron.

C'est devenu une vérité absolue : chaque jour, je consacre une petite portion de mon temps à créer de nouvelles façons de plus en plus inventives de le tuer lentement.

Prenez aujourd'hui, par exemple.

Aujourd'hui, je me demande si je vais le pendre de la fenêtre du dixième étage après avoir attaché une corde à la table de conférence ou si je vais l'éviscérer avec la pelle à tarte du chariot à dessert.

J'imagine tout ça en prenant assidûment des notes durant la réunion à laquelle il m'a obligé d'assister.

Qu'on ne dise plus jamais que les hommes ne sont pas multitâches.

Afficher en entier

À : Dylan Mitchell

De : Gabe Foster

Avez-vous le dossier Houghton à portée de main, ou devrais-je dire à M. Houghton que je vais activer ma boule de cristal aujourd’hui ?

Afficher en entier

« À : Dylan Mitchell

De : Gabe Foster

Quand j’étais petit, j’aimais manger de la terre. Ma mère s’en est inquiétée, mais elle n’aurait pas dû s’en soucier. Sans que nous le sachions tous les deux, je me préparais en fait à boire votre café. »

Afficher en entier

« Il me jette un long regard en coin.

— Ça a toujours été plus. Je te veux depuis très longtemps.

— Combien de temps ? demandé-je en inspirant brusquement.

Il me lance un regard ironique, rempli de passion et d’autre chose.

— Environ trente secondes après le début de ton entretien d’embauche.

— Quoi ?

Il hausse les épaules.

— J’ai eu une érection pendant ton entretien d’embauche. Tu étais tellement intéressant. Si plein de vie, audacieux et drôle. J’ai hésité à t’engager, pour être honnête.

— Pourquoi ?

— Parce que tu me déconcentrais, et me déconcentres toujours, beaucoup. »

Afficher en entier

« — Ne le laissez pas travailler tout le week-end. Il doit s’amuser.

Je ris, d’un air gêné.

— Je n’ai pas le contrôle là-dessus. C’est le problème de Fletcher et je suis sûr qu’il le fera arrêter de travailler quand il aura besoin de lui. Je pense que je tiens plus le rôle de Cendrillon pendant ce voyage.

Il me regarde d’un air interrogateur.

— Que du travail et pas de jeu, expliqué-je.

Il rit légèrement et me tape sur le haut du bras avant de retourner vers sa voiture, disant par-dessus son épaule :

— N’oubliez pas ce qui est arrivé à Cendrillon.

Je secoue la tête vers lui, faisant un signe de la main quand la voiture s’éloigne. Oui, Cendrillon a touché le gros lot : un homme incapable de voir sa vraie nature avant que son pied entre correctement dans une chaussure. »

Afficher en entier

« Une fois redescendu, je dégage avec force Jude de mon plat à emporter et tombe sur la nourriture avec un grognement de bonheur.

— Merci de m’avoir apporté ça. J’avais tellement faim et il n’y a rien à manger dans cette maison.

Ma déclaration est accueillie par le silence, donc je lève les yeux vers lui, constatant qu’il me fixe du regard.

— Quoi ?

Il secoue la tête.

— C’était quoi tout ça ?

— Tout ça quoi ?

— Tout ça. Les gestes affectueux, les plaisanteries. On aurait presque dit des préliminaires pour malade.

Je m’étouffe avec une crevette.

— Ce n’étaient pas des préliminaires, nom de Dieu. Je lui parle toujours comme ça.

— Eh bien, dans ce cas, je suis surpris qu’il ne t’ait pas encore pris sur son bureau à chaque minute de libre qu’il avait.

— Oh mon Dieu, arrête.

— Non, toi, arrête. J’ai vraiment trop chaud à cause de toute la tension sexuelle qu’il y a ici. Et ça, malgré le fait qu’il soit malade.

— Il n’y a pas de tension sexuelle, ne fais pas l’imbécile. Tu imagines des choses.

— Non. Je vois clairement les choses, plus clairement que toi, c’est sûr. Pourquoi vous vous touchez tout le temps ?

Je repousse mon assiette, perdant soudain mon appétit.

— Arrête, Jude.

Il se penche en avant et derrière son amusement, je vois l’inquiétude.

— Non, toi, tu arrêtes, chuchote-t-il. Je ne vous avais jamais vus ensemble. Tout ce que je savais, c’étaient tes plaintes envers lui. À partir de là, je me suis imaginé un homme froid, bien qu’amusant. J’attendais à chaque fois de connaître les insultes qu’il te disait. Mais maintenant que je vous ai vus ensemble, je dois admettre que je suis inquiet.

— Inquiet ? Pourquoi ?

Il tend la main et attrape la mienne.

— Tu es bien plus impliqué avec lui que je le pensais. Sérieusement, Dylan, fais attention, parce que tu es du genre à toujours donner. Si quelqu’un a besoin de quelque chose, tu es le premier à l’offrir. Ne choisis pas quelqu’un qui n’appréciera pas ce cadeau. Ne le donne pas à quelqu’un qui le prendra et ne te donnera jamais rien en retour.

Il regarde en direction des escaliers.

— J’ai la terrible impression qu’il est l’une de ces personnes. Il y a quelque chose de très mystérieux chez lui. »

Afficher en entier

- C'était quoi tout ça ?

- Tout ça quoi ?

- Tout ça. Les gestes affectueux, les plaisanteries. On aurait presque dit des préliminaires pour malades.

Je m'étouffe avec une crevette.

- Ce n'étaient pas des préliminaires, nom de Dieu. Je lui parle toujours comme ça.

- Eh bien, dans ce cas, je suis surpris qu'il ne t'ait pas encore pris sur son bureau à chaque minute de libre qu'il avait.

- Oh mon Dieu, arrête.

- Non, toi, arrête. J'ai vraiment trop chaud à cause de toute la tension sexuelle qu'il y a ici. Et ça, malgré le fait qu'il soit malade.

- Il n'y a pas de tension sexuelle, ne fais pas l'imbécile. Tu imagines des choses.

- Non. Je vois clairement les choses, plus clairement que toi, c'est sûr. Pourquoi vous vous touchez tout le temps ?

Je repousse mon assiette, perdant soudain mon appétit.

- Arrête, Jude.

Afficher en entier

- Salaud de Patron, hein ? Vous savez, Dylan, j'ai vraiment de la chance avec mon assistant. Les autres partenaires de l'entreprise ont fini avec quelqu'un d'horrible qui les apaise, qui est à leur disposition et qui est toujours d'accord avec eux. moi j'en ai un sarcastique, avec l'esprit de contradiction, négligé, rarement là où il devrait être et qui m'appelle Salaud de Patron au lieu de Monsieur.

Afficher en entier

à: Gabe Foster

De : Dylan Mitchell

M. Thrope voulait savoir aujourd'hui pourquoi je ne vous appelle pas monsieur et vous avez acquiescé pour montrer votre approbation. ça fait un peu Cinquante Nuances de Grey à mon avis, mais je veux bien vous laisser une chance. En revanche, vous ne devez pas m'obliger à utiliser le mot bâillon-boule pour l'expliquer.

Afficher en entier

-Nom de Dieu, votre visage a une couleur vraiment bizarre, Gabe.

Ignorant ses objections marmonnées, je pose ma paume sur son front.

-Et vous êtes sacrément chaud.

-Je sais que je suis chaud, parce que je suis moi.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode