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Commentaires de livres faits par mistinguette60

Extraits de livres par mistinguette60

Commentaires de livres appréciés par mistinguette60

Extraits de livres appréciés par mistinguette60

date : 20-11-2014
-En effet, elle est bien carrossée, commenta le grand. Enlève donc ce soutien-gorge.

Jessica frissonna en entendant l’ordre de ce grossier personnage. Mais bizarrement, elle se sentait aussi légèrement excitée en sentant les yeux de ces hommes se poser sur son corps vulnérable. Même Thierry avait arrêté de travailler sur le coffre pour regarder ses formes généreuses.

Lentement, Jessica fit glisser les bretelles de son soutien-gorge, révélant ainsi ses gros seins à la peau d’un blanc laiteux. Elle avait de gros mamelons roses, et ses tétons pointaient de façon effrontée. Dans un élan de pudeur, elle plaça ses mains sur ses seins, mais ils étaient trop gros pour qu’elle puisse les dissimuler convenablement. Elle rougissait sans savoir plus où se mettre…
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date : 14-09-2014
Le temps, il finit toujours par venir à bout des choses.

Toute ma vie, on m'a répété cette phrase. Et aujourd'hui encore. Une fois de plus. Une fois de trop.

Ce matin, c est Josué qui me l'a dite. Josué qui se croit plus sage que nous tous, du haut de ses cinquante-six ans. Je me redresse à demi, un coude sur l'oreiller. Josué, il parle comme ça, surtout après l'amour. Avec ses airs de grand diseur. Moi, ça ne me coûte pas de coucher avec lui de temps en temps. Il a l'expérience de l'amour et la patience de la maturité.

Je n'ai pas répliqué. Josué, c'est le plus ancien de nous tous. Il a la confiance des patrons. Il dit que cela n'a pas toujours été facile mais qu'avec le temps et beaucoup d'efforts, il a pu s'en sortir.

Parce que Josué, il croit dur comme fer qu'il a réussi. Depuis le temps qu'il est là à ramper pour garder son emploi et que nous l'avons sur le dos en permanence comme un chien sur une charogne. Mais la Madame, elle n'écoute que lui. Ce qui lui donne droit de vie et de mort sur nous autres du petit personnel. Pourtant ce n'est pas moi qui irai me dresser contre lui. Moi, j'ai toujours été avec le pouvoir et pour l'instant, à l'hôtel, c'est Josué qui a le pouvoir.

Je n'ai pas répliqué, mais je ne suis pas du tout d'accord. C'est moins le temps qui aide à vivre que l'habitude même de la vie. Le temps, il ne vient jamais à bout des choses. Bien au contraire ! Il prolonge ta douleur, comme ces vers, tout en dedans, qui te rongent les entrailles, ces fièvres qui te minent de l'intérieur ou ces mauvais rêves dans lesquels tu te débats tout éveillé. Je sais cela d'expérience. A presque vingt-huit ans, je suis déjà une vieille femme qui a vécu tout ce qu'il y avait à vivre de joies comme de peines, de plaisirs comme de souffrances ; qui a pleuré toutes les larmes de son corps au point qu'il ne reste qu'une vieille peau desséchée, comme ces hardes qu'on oublie au bout d'une ligne, sous la flamme d'un soleil de midi. Oui, je sais cela d'expérience, avec ce corps de vieille marqué par le fouet de l'existence.

Peut-être que je suis morte et que je ne le sais pas encore ? Dimanche dernier, j'ai entendu le pasteur dire que l'enfer est sur terre. Même si je suis un peu d'accord, le pasteur, il peut dire ce qu'il veut : il a Dieu avec lui ; moi c'est le contraire. Je ne sais pas pourquoi je continue à me rendre à l'église en quête d'un pardon qui jamais ne viendra. Ou plutôt, si, je sais. C'est surtout pour plaire à ma tante Zia.
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De son siège, William apercevait les cadrans du tableau de bord. C'était la première fois qu'il volait sur un avion aussi minuscule. Il reconnaissait l'anémomètre, l'instrument chargé de mesurer la vitesse, et il lui semblait que, malgré les sautillements de l'aiguille, la vitesse restait stable. Le variomètre était lui aussi très sage. Dans la mémoire de William, ce cadran indiquait la vitesse verticale, si l'avion montait ou descendait. Il lui restait quelques notions de pilotage, et il était satisfait de constater que sa mémoire n'était pas tout à fait effacée. Les médecins avaient été trop alarmistes quant à son état de santé, et il leur en voulait un peu. Il y a cinq ans, une éternité, il avait pris quelques cours pour les besoins d'un tournage. A l'époque, William Baker était encore acteur, une star incontestée qui provoquait des émeutes aux abords des parkings de supermarché de Hollywood. Il se souvenait très bien du jour où il s'était offert Bernardo, un perroquet gris du Gabon muet. Il avait fallu courir et s'engouffrer dans un 4 x 4 avancé par ses bodyguards, le volatile y avait laissé quelques plumes. Depuis, l'immense William Baker avait arrêté net sa carrière à la suite d'un stupide accident.

L'avion avait à peine décollé de Logan Airport à boston que William filmait déjà la côte et ses riches propriétés. Équipé d'une petite caméra, il s'attardait sur les eaux scintillantes en contrebas, elles s'enroulaient dans les plis de la côte pour aller se nicher jusqu'au seuil de ces magnifiques demeures. Des maisons érigées par des architectes de renom, pour des décideurs et des présentateurs de télévision. Il filmait aussi l'intérieur de l'appareil, la nuque boursouflée du pilote dans son col de chemise trop serré, ainsi que les autres passagers penchés vers les hublots. Ils n'étaient que huit à bord. William, tapi dans le fond, était d'humeur joyeuse, très heureux de changer de cap dans cette vie qui l'avait rendu dingue. Il était surtout ravi de constater qu'après ces deux années passées en retrait de l'actualité les gens l'avaient déjà oublié. Il avait tant maigri qu'ici personne ne l'avait reconnu, il n'avait plus à porter ses éternelles lunettes noires. La liberté avait pris une nouvelle saveur depuis cet après-midi, à dix-huit heures, quand le petit avion de la compagnie Cap Air avait décollé en direction de l'île de Martha's Vineyard, un caillou jeté dans l'Atlantique, au large de Boston, Massachusetts.
Il s'amusait à filmer les nuages en secouant sa caméra pour imiter des turbulences. Les vibrations de ses poings donnaient l'impression que l'appareil était secoué en tout sens. À trente-huit ans, William restait un grand enfant, l'ancien amuseur de Hollywood. Satisfait de sa blague, il reposait sa caméra quand une douleur vive lui mordit le pied gauche. Il songea alors à la folie de ces dernières années et à cette fameuse soirée, celle de l'accident, il y a deux ans déjà.
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Pour éviter l'odeur de l'ail sur les mains, il suffit de les frotter avec du persil.
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date : 05-07-2014
«Je n'ai pas été désirée»
«Allons jouer dans la cabane, s'écrie la nurse. Les yeux de Diana Spencer s'éclairent à cette perspective. Immédiatement, la petite fille part au trot vers la grande cuisine au style rustique avec sa cuisinière Aga, à la recherche de la maîtresse des lieux. Elle demande à la grisonnante et corpulente Mme Smith des assiettes, des tasses, des casseroles et autres ustensiles, avant de fuir vers les bois de Park House avec sa batterie de couverts et de vaisselle cachés au fond d'un panier en osier.
Son petit frère Charles considère le lieu comme l'endroit idéal pour jouer aux cow-boys et aux Indiens, dans une atmosphère de Far West nourrie de feux de camp et de barbecues. Diana, de son côté, a un point de vue plus pratique : elle veut faire de la cabane une vraie maison. Son ancienne nounou, Mary Clarke, se souvient de l'enthousiasme avec lequel Diana s'est mise au travail, s'ingéniant à aménager le petit intérieur de la manière la plus parfaite. De cet instantané de l'enfance de Diana, on peut tirer un enseignement : dès son plus jeune âge, elle a voulu construire un foyer heureux, où elle aurait vécu avec un mari aimant et, bien sûr, une grande famille.
C'est un thème qui reviendra tout au long de sa vie.
Park House est une triste demeure en pierre grise du Norfolk, située à Sandringham, sur le domaine de la reine. Terne, massive et presque petite vue de l'extérieur, la maison est bien différente à l'intérieur. Les plafonds sont hauts, les pièces vastes et, du temps où Diana y vivait, elle comptait dix chambres.
La demeure du XIXe siècle fut acquise par sa famille maternelle, George V en octroya le bail au grand-père maternel de Diana, Maurice, quatrième baron Fermoy, un ami de son fils, le duc d'York. La propre mère de Diana, Frances Burke Roche, grandit sur la propriété, la famille de son père étant quant à elle installée à Althorp House, dans le Northamptonshire.
Ce domaine imposant recèle un grand nombre de richesses accumulées par la famille de Diana au cours des siècles. L'origine de la fortune du clan remonte au XVe siècle, époque où les Spencer se livraient au commerce de moutons. Pendant des centaines d'années, les membres de la famille ont joui de positions privilégiées à la cour. Le propre père de Diana fut écuyer du roi George VI et de la reine Elisabeth II.
Les parents de Diana se sont mariés à l'abbaye de Westminster en juin 1954 et, après un bref séjour sur le domaine d'Althorp, se sont installés à Park House, reprenant le bail des parents de Frances. C'est là, dans la pièce qui est devenue par la suite la chambre de ses parents, que Diana a vu le jour, le 1er juillet 1961.
Sa naissance fut saluée par des applaudissements et un soleil éclatant. C'était un jour d'été, ensoleillé et chaud, sentant bon le gazon fraîchement tondu. Pour compléter le tableau, l'équipe de cricket de Sandringham jouait non loin, sur le terrain local.
Au moment même où Diana est venue au monde, une clameur spontanée et un tonnerre d'applaudissements se sont élevés. Ils étaient en fait destinés à un joueur de cricket qui venait de marquer une centaine pour son équipe, mais ont résonné comme un bon présage pour la famille de la future princesse.
Les descriptions de l'enfance de Diana, pleine de rires et de divertissements, peuvent sembler idylliques. Elle effectuait de longues promenades dans les bois avec les chiens, dans une campagne magnifique où elle avait tout le loisir de rêver. Elle était également entourée d'amis chez qui elle pouvait se rendre au retour de l'école. Derrière la maison se trouvait une piscine où elle adorait nager et particulièrement plonger - discipline dans laquelle elle est devenue experte. Elle aimait aussi jouer la comédie, et les leçons qu'elle a prises l'ont certainement marquée. Diana étonnait souvent son entourage en se lançant dans des récits solennels qui attiraient l'attention sur elle.
Mais si son enfance est décrite comme heureuse et saine, selon les critères classiques, ce n'est pas l'image que Diana en a donné parvenue à l'âge adulte, du moins dans les récits qu'elle en a faits à des amis proches. Dans son esprit, comme elle l'a raconté à ses confidents, elle a vécu une enfance malheureuse, se sentant seule et abandonnée.

source: amazon
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Tout en la prenant dans ses bras, l’homme darda sa langue chaude et humide dans sa bouche et commença à l’enrouler autour de la sienne. Myriam se sentit mouiller de plus belle. Son sexe était en feu maintenant. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas senti l’odeur d’un male. Elle aimait le contact de ses pectoraux contre ses seins ; elle aimait sentir la bosse de son pénis en érection contre sa chatte en manque.

L’homme la fit s’allonger sur un banc en bois, puis il dégrafa le haut de son bikini, révélant ainsi ses seins très fermes et pulpeux. Lentement, il déposa de tendres baisers sur ses mamelons tandis que Myriam caressait ses pectoraux luisants. Lorsqu’il se mit à sucer ses tétons durcis par le désir, elle commença à haleter. Près d’elle, une jolie trentenaire brune était en train de sucer un grand noir musclé, tandis qu’une asiatique d’environ 20 ans se faisait prendre en levrette par un blond au physique d’acteur de cinéma.

source: amazon
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date : 28-05-2014
Extrait de la préface

Le 25 mars 1977, en pleine journée et en plein centre-ville de Buenos Aires, l'un des escadrons de la mort de la dictature militaire argentine dirigée par le général Jorge Rafaël Videla et l'amiral Emilio Eduardo Massera attira dans un guet-apens et assassina Rodolfo Jorge Walsh, un guérillero péroniste, puis fît disparaître son corps. Il est probable que la douzaine d'assassins qui avaient agi en toute impunité avait eu connaissance de plusieurs éléments à son sujet, son alias et sa véritable identité, ses cinquante ans, son grade et ses actions au sein de l'organisation Montoneros, sa double profession de journaliste et d'écrivain. Mais il est certain qu'aucun d'entre eux n'avait rien lu de lui ni ne pouvait apprécier ses qualités d'écrivain et non plus imaginer que depuis Opération Massacre, en 1957, Walsh était le précurseur d'un nouveau genre littéraire, qui, quelque dix ans plus tard, allait bénéficier d'une diffusion mondiale à travers des écrivains tels que Truman Capote ou Norman Mailer, et serait connu sous le nom de New Journalism ou Non-Fiction
Tout au long de sa vie, Walsh fit alterner son travail de journaliste avec d'autres écrits, mais les deux aspects de sa production changèrent à mesure de son évolution idéologique et de sa radicalisation politique. Dans cette transformation progressive, non seulement il ne résignerait pas un iota de ses propres exigences mais il en viendrait à enrichir son oeuvre de nouveaux genres et de nouvelles thématiques, et surtout s'adresserait à un nouveau public. A ses débuts, lorsqu'il menait encore une vie d'intellectuel talentueux de classe moyenne, il proposait ses articles sans s'inquiéter des positions politiques des journaux, hebdomadaires ou revues qui les publiaient. A cette époque, le genre littéraire qui l'intéressait le plus - dont il lui arriva de publier un recueil -, qui lui donnera une certaine notoriété et lui fera gagner quelque prix, était le genre policier. Sa première série de nouvelles, de 1953 à 1955, traite d'énigmatiques crimes urbains que résolvait, à la suite d'une enquête détaillée, son alter ego le traducteur et détective Daniel Hernández, dont Walsh utilisera plus tard, entre 1956 et 1959, le nom comme pseudonyme pour d'autres nouvelles et une douzaine d'articles. Sa seconde série policière, de 1956 à 1964, centrée sur le commissaire Laurenzi, superpose à la tradition britannique antérieure certaines caractéristiques du roman noir américain, avec des descriptions du contexte social, des déplacements dans des zones rurales et un enquêteur capable d'admettre ses propres faiblesses et ambiguïtés qui, selon l'écrivain de romans policiers Nestor Ponce, «fait songer à Maigret par son insatiable désir de connaître le fond de la nature humaine».
source: amazon
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