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Contrairement à la plus grande partie des hommes de mer, Angelo Prestia, patron du bateau de pêche Santopadre, était un homme gras et suant. Mais il suait de par sa nature, et non à cause des questions que lui posait Valente, car, à cet égard, il paraissait non seulement tranquille mais encore légèrement agacé.

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Le propriétaire de la boutique de graines et semences, chez qui habituellement Montalbano se ravitaillait, avait mis au point un système génial pour contourner la fermeture obligatoire du dimanche : devant le rideau baissé, il s'était installé lui-même avec un étal très bien fourni.

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- Monsieur le Questeur ? Montalbano, je suis. Je vous appelle pour vous dire que je suis vraiment navré, mais demain soir je ne pourrai venir dîner chez vous.

- Vous êtes navré parce que nous ne pourrons nous voir ou pour les pâtes à l'encre de seiche ?

- Pour les deux.

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En toute sincérité, Fazio aurait voulu répondre qu’à son avis, le commissaire était fou de naissance, mais il ne dit rien et fixa la fenêtre.

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— Non, c’est moi qui vous demande ce qui se passe, nom de Dieu !

Nom de Dieu ? Le Questeur disait "Nom de Dieu" ?

— Expliquez-moi.

— Quel caca êtes-vous allé remuer ?

Caca ? Le Questeur disait "caca" ? C’était le début de l’Apocalypse ? D’ici peu les trompes du Jugement dernier allaient sonner ?

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— Tu veux me dire comment, bordel, on a tué le Tunisien du bateau de pêche ?

— Arme à feu.

— Tiens, c’est drôle ! Je croyais qu’on l’avait étouffé avec un coussin.

— Tes traits d’esprit me font vomir.

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— Ça te convainc pas ?

— On dirait la reconstitution de l’assassinat du président Kennedy par le sénateur Warren.

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— Que se passe-t-il au commissariat de Vigàta ? demanda l’éditorialiste, question adressée à lui-même et à la création sur un ton à faire passer celui qu’utilisait Torquemada dans ses meilleurs moments pour le ton d’un type qui raconte une blague.

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— Je passe des nuits blanches.

— Ah oui ? Pourquoi ?

— À lire votre livre. Il est plus prenant qu’un roman policier et puis, si débordant de détails !

Un ennui mortel : dates sur dates, noms sur noms. En comparaison, l’horaire des chemins de fer était plus riche de trouvailles et de coups de théâtre.

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— Mais qui on doit prendre ? intervint Fazio.

— Un voleur de goûter.

Dans la pièce, on n’entendait plus personne respirer. Sur le front d’Augello parut un voile de sueur.

« Ça fait un an que je lui dis de voir quelqu’un », pensa-t-il.

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