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Commentaire de LeParfumdesMots

Norferville


Commentaire ajouté par LeParfumdesMots 2024-05-13T22:17:25+02:00

Il est très compliqué, en 2024, d’aborder un roman de Franck Thilliez où l’on se pose légitimement la question de savoir si le nom n’est pas le seul argument de vente après autant de romans beaucoup appréciés par les lecteurs avides des « best-sellers » mais fortement décriés par les lecteurs experts du genre.

Faisant partie de la deuxième catégorie, je dois bien reconnaître que le succès de l’auteur n’est pas uniquement dû à ses premiers succès ni même à sa réputation. Effectivement, j’avais cette frayeur de tomber sur un ouvrage similaire au dernier de Guillaume Musso, acheté en masse lors de sa publication lui permettant des « recettes » à 5 chiffres mais sans le moindre intérêt.

On comprend assez rapidement qui se cache derrière la personne responsable des atrocités commises dans ce roman. Non pas par esprit de déduction, mais tout simplement parce qu’il n’existe qu’un seul véritable suspect aux yeux des lecteurs. Franck Thilliez a tenté de brouiller les pistes en rajoutant des complices, mais sans jamais proposer de fausses pistes. En effet, chaque coupable désigné au fur et à mesure des pages est véritablement coupable… Le fait que les révélations interviennent bien avant la fin du roman permet aux lecteurs de comprendre que le gros poisson n’a pas encore été attrapé (et nous savons tous de qui il s’agit).

Finalement, après une intrigue relativement dense et sans énormément de lenteurs, l’auteur nous propose un dénouement final totalement bâclé en moins de dix pages sans instaurer le moindre doute auprès du lecteur. Alors que certains parviennent à rendre le dénouement « secret » jusqu’au tout dernier moment où l’on est incapable de dire si tout se terminera pas, Norferville offre une fin classique où le méchant finit dans la tombe et les gentils s’en sortent miraculeusement au tout dernier moment sur la base d’une intuition ou d’un élément révélateur intervenant tardivement.

Ce dernier gâche totalement le récit. Dès le départ, ou presque, on comprend que l’empreinte laissée sur le livre sera la clef de l’enquête. Que tout a été pensé par Thilliez afin de provoquer cette situation qui ne parait pas réaliste. Parmi les nombreux points que je pourrais citer, je retiens le fait que le responsable hiérarchique de « la flic » (qui note ici la pauvreté du vocabulaire de l’auteur qui use de ce terme une centaine de fois) refuse d’envoyer une équipe complète, de ne pas proposer des analyses après le 2ème jour sur place… Bref, les lecteurs habitués savent, dès la 30e page que tout se jouera avec l’analyse de cette empreinte .

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