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— Tu ne me le pardonneras jamais, hein ?

— C’est déjà fait ! hurlai-je, parce que hurler me paraissait mieux que pleurer. Et si je t’ai pardonné, c’est justement parce que je t’aime ! (Prononcer ces mots me procura un intense soulagement.) Je t’aime tant que ça me terrorise, car je t’aime plus que je n’ai jamais aimé personne. Je ne t’ai pas mis à l’écart, Logan, j’ai juste pris le temps de réfléchir. Mais ça… (Je le désignai, sentant mes larmes couler.) … là, tu me tiens à l’écart, et je suis de nouveau terrifiée.

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— Mais toi… (Il secoua la tête.) … je ne pourrais pas me détourner de toi même si j’en avais envie. Et je n’en ai pas envie. Tu es le réel et l’oubli rassemblés dans un insupportable pack ergoteur et snob qui veut toujours avoir le dernier mot.

Ces compliments déguisés me touchèrent droit au cœur.

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— D’accord. J’arrêterai si tu peux m’affirmer n’avoir rien ressenti dans cette salle de cinéma. Dis-moi que, tandis que je bandais à cause du simple fait de me trouver près de toi et de sentir ton odeur, tu ne pensais pas du tout à la fois où on a couché ensemble. Dis-moi que tu ne pensais pas à remettre le couvert. Parce que moi, je ne pensais qu’à ça. J’ai envie de te baiser, et j’ai envie de te faire l’amour… (Il se rapprocha de moi alors que je continuais de marcher, fuyant ces paroles qui faisaient s’emballer mon rythme cardiaque.) Et j’ai envie de recommencer, encore et encore, jusqu’à la fin de nos jours.

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Certains moments de la vie nous changent irrémédiablement. Parfois, ces moments sont fabuleux et dramatiques, tragiques ou merveilleux par leur intensité. D’autres fois, ils sont discrets et fragiles, tels des bruits de pas s’estompant derrière une porte fermée. La subtilité de ces instants parvient généralement à dissimuler leur impact.

Il arrive aussi que l’impact soit encaissé en profondeur, que la futilité de l’événement échappe à tout le monde autour de soi, ce qui ajoute la solitude à l’équation.

Voilà comment je me sentais le lendemain matin alors que je regardais fixement mon ordinateur.

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- C'est vrai. Mais il y a vieux, et vieux. Je suis sûr que papa ne t'aimerait pas si tu avais l'âge de Braden.

- C'est faux, la démentit Logan en se resservant des pâtes. Je l'aimerais quelles que soient les circonstances.

Il dit cela avec grande désinvolture, tout en enfournant sa fourchette dans sa bouche.

Il n'y avait pourtant rien de désinvolte dans ses propos, ni dans l'intention qu'il y avait derrière. Je le dévisageai, surprise, peinant à respirer avec autant d'aise qu'auparavant.

Sentant mon regard, Logan se tourna vers moi, puis vers sa fille.

- Quoi ?

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Il commença à descendre comme si je n'étais pas là.

- Ne vous avisez pas de me tourner le dos !

Il s'arrêta, se retourna, haussa un sourcil.

- C'est censé me faire peur ? Sérieusement, Grace, c'est comme se faire mordre par un papillon.

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— Je veux que tu m’aides à passer à autre chose. Avant ça, j’ai accumulé les rendez-vous pourris – dont certains organisés par toi. Je te demande de réfléchir et de me dénicher le meilleur rencard que tu pourras jamais trouver. Il est temps de reproduire le miracle Aidan et Juno.

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- Est-ce qu'on a le droit de dire "se taper des gonzesses" devant Maia ? s'inquiéta Ellie en fronçant les sourcils.

- Etant donné que vous venez de la faire deux fois, je suppose que la question est rhétorique, répliqua Maia avec un haussement d'épaule.

Shannon s'esclaffa.

- Je vous ai déjà dit que j'adorais ma nièce ?

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J'observais Logan par en dessous. Tout les muscles de son corps semblaient bandés.

- Non, il ne m'a rien fait, répétais-je posément. Mais il n'avait qu'une idée en tête.

Il serra les dents.

- Comment tu as réagis ?

- Je lui ai dit que je n'aimais pas les coups d'un soir parce que j'avais besoin de faire confiance à un homme pour le laisser me faire ce qu'il voulait au lit.

Logan eu un air interdit.

- Tu lui as dit ça ? demanda-t-il platement.

- C'était pour rire.

Je haussais les épaules, ne me sentant subitement plus aussi hilarante.

- Eh bien, à ta place, je m'attendrais à un coup de fil de sa part demain. Lui balancer un truc pareil alors que tu portais cette putain de robe...

Sa colère était revenue.

Et, comme d'habitude, elle attisa la mienne.

- Pourquoi tu te comportes comme un vrai con avec moi, ce soir ?

- Tu es aveugle à ce point ? s'écria-t-il, incrédule.

- Apparemment ! rétorquai-je.

- Eh bien, je te donne un indice.

Je n'eus pas le temps de dire ouf qu'il me plaqua contre le mur. Il me cloua les poignets à la cloison, m'immobilisant complètement. Le souffle court, le visage à quelques centimètres du mien, il me regarda dans les yeux et souffla d'une voix rauque:

- Demande moi de partir, Grace.

J'étais écarlate. En réalité, j'avais l'impression qu'un feu consumait chaque centimètre carré de ma peau.

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Je pris alors la main de Logan et l’attirai dans le bureau de Gio.

— Ça va ? m’inquiétai-je.

En réponse, il me prit dans ses bras et me serra contre lui.

On resta ainsi longtemps, sans dire un mot.

— Tu n’es rien qu’à moi, chuchota-t-il enfin.

Je me figeai.

— Pardon ?

Logan me prit le visage en coupe.

— As-tu vraiment envisagé de sortir avec le prof d’histoire de Maia ?

Surprise par ce brusque changement de conversation, je secouai la tête.

— Aidan déconnait.

— Alors ?

— Logan…

— Tu n’es rien qu’à moi, répéta-t-il avec fougue. Et moi à toi. Je ne laisserai jamais rien ni personne s’interposer entre nous.

Sa tendre possessivité me fit frémir et je m’agrippai à lui plus fort encore.

— Je ne désire personne d’autre que toi.

Il ferma les paupières de soulagement et posa son front contre le mien.

La pièce replongea dans le silence, celui-ci ne faisant cette fois que renforcer notre proximité, notre lien et les promesses silencieuses que nous nous adressâmes mutuellement.

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