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Extrait ajouté par Sheo 2015-11-11T18:29:35+01:00

"- C'est vrai, je suis toujours prisonnier, dit Damen.

- Tes yeux disent "pour l'instant", rétorqua Laurent. Tes yeux ont toujours dit "pour l'instant"."

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Extrait ajouté par Sheo 2015-11-12T01:14:52+01:00

"Pour obtenir ce qu'on désire, il faut savoir exactement ce qu'on est disposé à sacrifier."

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Extrait ajouté par Lusitanna 2015-09-25T20:04:39+02:00

Après un moment, Laurent dit, avec une sincérité déchirante :

- J'éprouve... quelques difficultés à me laisser aller.

- Sans rire, rétorqua Damen.

Il y eut un autre long silence. Puis :

- Tu voudrais me prendre, comme un homme prend un garçon.

- Comme un homme prend un homme, dt Damen.

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Extrait ajouté par Odlag 2016-07-17T15:05:16+02:00

— Non, vraiment ? Tu es tombé amoureux de la maîtresse du roi ?

— Il n’était pas roi, à l’époque. Et elle n’était pas sa maîtresse. Ou si elle l’était, tout le monde l’ignorait, répondit Damen.

Une fois que les mots eurent commencé à sortir, il ne parvint plus à les arrêter.

— Elle était intelligente, cultivée, belle. Elle était tout ce que je rêvais de trouver chez une femme. Mais c’était une intrigante. Elle briguait le pouvoir. Elle a dû penser que sa seule manière d’accéder au trône était de séduire Kastor.

— Mon honorable barbare… Ce n’est pas ainsi que je m’imaginais ton type.

— Mon type ?

— Un joli visage, un esprit déviant et une âme impitoyable.

— Non. Ce n’est pas… J’ignorais qu’elle était… J’ignorais ce qu’elle était.

— En es-tu certain ? insista Laurent.

— Peut-être que je… Je savais qu’elle était gouvernée par son esprit, et non par son cœur. Je savais qu’elle était ambitieuse, et qu’elle pouvait parfois se montrer impitoyable, en effet. J’avoue que cela… m’attirait. Mais je n’aurais jamais deviné qu’elle me trahirait au profit de Kastor. Cela, je l’ai compris trop tard.

— Auguste était comme toi, dit Laurent. Il ne possédait pas le moindre penchant pour la tromperie. Cela le rendait incapable de la déceler chez les autres.

— Et vous ? demanda Damen après avoir pris une profonde inspiration.

— J’ai un penchant très développé pour la tromperie.

— Non, je voulais dire…

— Je sais ce que tu voulais dire.

[...]

— Je vais te dire pourquoi Jokaste a choisi Kastor, dit Laurent.

Damen contempla le foyer. Il observa la bûche à demi consumée, les flammes lui léchant les flancs, les braises à sa base.

— Il était prince, dit Damen. Il était prince et je n’étais…

Il ne put poursuivre. Ses épaules étaient si crispées qu’elles lui faisaient mal. Son passé lui revenait en plein visage ; il ne voulait pas le voir. Mentir signifiait avouer qu’en vérité, il ne savait pas. Il ignorait ce qu’il avait fait pour provoquer, non pas une, mais deux trahisons : celle de sa bien-aimée, et celle de son frère.

— Ce n’est pas la vraie raison. Elle l’aurait choisi même si du sang royal coulait dans tes veines, même si tu étais du même sang que Kastor. Tu ne comprends pas comment fonctionne un esprit comme le sien. Moi, si. Si j’étais Jokaste, et que j’étais une intrigante, j’aurais choisi Kastor plutôt que toi, moi aussi.

— Et vous allez vous faire un plaisir de m’expliquer pourquoi, dit Damen.

Il sentit ses poings se serrer, entendit l’amertume dans sa propre voix.

— Parce qu’une intrigante choisirait toujours l’homme le plus faible. Plus il est faible, plus il sera facile à manipuler.

[...]

— Qu’est-ce qui vous fait croire que Kastor est plus faible que moi ? Vous ne le connaissez pas.

— Mais je commence à te connaître, toi, dit Laurent.

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Extrait ajouté par Lusitanna 2015-09-25T20:13:48+02:00

- Comment c'est de se faire sucer par un prince ? demanda Aimeric.

Et Damen s'aperçut que l'attention de tous était fixée sur lui.

- Je ne le baise pas, déclara-t-il avec une grossièreté délibérée.

C'était peut-être la centième fois qu'il répétait cette phrase, depuis qu'il avait rejoint la troupe de Laurent. Il l'avait assenée d'un ton ferme, afin de clore la conversation. Mais bien sur, il n'en fut rien.

- ça, reprit Lazar, c'est une bouche que j'aimerais bien fourrer. Il te donne des ordres toute la journée, mais à la fin, tu as le droit de le faire taire.

Jord ricana.

- Il te lancerait un seul regard, et tu te pisserais dessus.

Rocher renchérit:

- Ouai. Moi, je ne pourrais pas bander. Tu vois une panthère ouvrir la gueule, tu ne lui présentes pas ta queue.

Ces paroles recueillirent l'approbation générale, mais le débat s'oriente vers un autre point :

- S'il est frigide et qu'il ne baise pas, je ne vois pas l'intérêt. Un puceau au sang froid, c'est le pire coup possible.

- Si tu dis ça, c'est que tu n'en as pas connu. Ceux qui sont froids à l'extérieur sont les plus chauds une fois qu'on y est.

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Extrait ajouté par Sheo 2015-11-09T19:19:41+01:00

"- Auguste était comme toi, dit Laurent. Il ne possédait pas le moindre penchant pour la tromperie. Cela le rendait incapable de la déceler chez les autres.

- Et vous ? demanda Damen après avoir pris une profonde inspiration.

- J'ai un penchant très développé pour la tromperie."

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— Le prince se montre bien léger, déclara le conseiller Guion en regardant Damen, et semble répugner à porter le moindre jugement défavorable sur Akielos.

— Je ne reproche pas aux insectes de bourdonner lorsque quelqu’un renverse leur ruche, répliqua Laurent. Je préfère me demander qui a souhaité me faire piquer.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par bagheera 2016-07-14T18:49:38+02:00

"La voix de Laurent retentit derrière lui, légèrement plus crispée que d'habitude :

-Ça y est, tu m'as jeté en travers de ton cheval.

-Cela ne vous ressemble pas d'abandonner les rênes, ne pût s'empêcher de railler Damen.

-Tes épaules me cachent la route.

-Nous pourrions nous arranger autrement.

-C'est vrai : je devrais être à l'avant, et toi, tu devrais porter le cheval."

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— Tu ne sais rien, dit alors Laurent d’une voix froide et effroyable. Tu ne sais rien de moi. Ni de mon oncle. Tu es aveugle. Tu ne vois même pas… ce que tu as devant les yeux. (Laurent eut soudain un rire bas et moqueur.) Tu as envie de moi ? Tu es mon esclave ?

Damen rougit.

— Ça ne va pas marcher, prévint-il.

— Tu n’es rien, déclara Laurent, rien d’autre qu’un échec ambulant qui s’est laissé enchaîner par le bâtard d’un roi, parce qu’il n’arrivait pas à satisfaire sa maîtresse au lit.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Après un long moment, Laurent dit, avec une sincérité déchirante :

— J’éprouve… quelques difficultés à me laisser aller.

— Sans rire, rétorqua Damen.

Il y eut un autre long silence. Puis :

— Tu voudrais me prendre, comme un homme prend un garçon.

— Comme un homme prend un homme, dit Damen. Je veux prendre mon plaisir en vous, et vous donner du plaisir à mon tour.

Il ajouta, doucement et franchement :

— Je voudrais jouir en vous.

Les mots s’élevaient en même temps que ce sentiment au fond de lui.

— Je voudrais que vous jouissiez dans mes bras.

— À t’entendre, cela paraît simple.

— C’est simple.

Laurent serra les dents, et le pli de sa bouche changea.

— Il est plus simple de jouer les hommes que de s’aplatir sur le ventre, j’imagine.

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