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Les extraits appréciés par LenaNora

Après tout, on donne bien des noms aux chiens ou aux chats. Il n'y a pas de raison que ce nouveau monde altéré n'en ait pas.

1Q84 - voilà comment je vais appeler ce nouveau monde, décida Aomamé.

Q, c'est la lettre initiale du mot Question. Le signe de quelque chose qui est chargé d'interrogations.

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Peu importe la date à laquelle je vis aujourd’hui, peu importe le lieu où je me trouve ici. Ça n’a aucun rapport avec le fait que j’ai envie de le voir. Envie de le voir à en mourir. Il me semble que c’est la seule certitude que j’aie. La seule chose que je pourrais affirmer sans l’ombre d’un doute.

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Tandis qu'il m'embrassait, de minuscules flammes ont embrasé chaque molécule de mon corps. C'était différent de notre première étreinte au fond des bois. Nous étions plus tranquilles, moins pressés. Sans la crainte de la découverte, nous avions davantage de temps pour explorer. Voilà comment j'avais imaginé l'intimité du mariage. Je me sentais à l'abri, protégée et baignée de chaleur.

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À mesure que nos corps se serraient, que ses mains glissaient vers ma taille, ma respiration s’est accélérée.

- Tu es sûr ? J’espère qu’on ne franchit pas la ligne jaune.

- Tant pis ! Je veux montrer à ma femme combien je l’aime.

Sa voix me donnait la chair de poule. Il s’est tu et a pris mon visage entre ses mains. Ses prunelles turquoise étincelaient dans la pénombre.

- Comment m’as-tu appelée ?

- Ma femme, a-t-il répété tout bas en faisant glisser une bretelle de ma robe.

À ce contact, pourtant si familier, j’ai vibré comme s’il me touchait pour la première fois. Nos corps à présent enlacés, j’ai compris à quel point il aurait été facile de déraper. Comment avions-nous réussi à résister si longtemps ? Comment avions-nous fait pour étouffer l’étincelle qui jaillissait dès que nous nous frôlions ? C’était étrange, de savoir que, cette fois-ci, nous pouvions succomber à cette atmosphère électrique. J’ai posé la main de Xavier sur ma poitrine haletante afin qu’il sente mon cœur cogner contre mes côtes. Il a fermé les yeux en grimaçant presque.

source site "dans notre petite bulle"

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Sur ce, Xavier m’a attrapé les mains et a mis un genou à terre. Le coeur battant, j’oscillais entre la joie et la consternation.

— Beth, nous sommes faits l’un pour l’autre ! Je serais ravi et honoré de passer le reste de ma vie avec toi.

Il s’est tu un instant avant de demander :

— Veux-tu m’épouser ?

J’en ai eu le souffle coupé. Je croyais sincèrement le connaître à fond ; or, celle-là, je ne l’avais pas vue venir. D’instinct, j’ai levé les yeux au ciel, mais personne ne m’a donné de conseil. Il fallait que je me débrouille seule. Une multitude de réponses se sont bousculées dans ma tête, plus raisonnables les unes que les autres.

Dans le désordre : Est-ce que tu as perdu la tête ? Tu n’as même pas dix-neuf ans ! Tu n’es pas en situation de te marier. Il faut d’abord y réfléchir. Je ne te laisserai pas jeter tes rêves à la poubelle… Après la fac, on pourra peut-être en reparler. On n’a pas l’autorité nécessaire pour prendre seuls une telle décision. Tes parents vont te renier. Comment Ivy et Gabriel vont-ils réagir ?

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— Jane Eyre ? Tu es au courant que ça parle d’amour ? Eh bien, j’ai déteint sur toi, on dirait !

— Je doute de devenir un jour aussi cruche et sentimentale, a rétorqué Ivy, les yeux rieurs.

Gabriel a levé le nez de sa guitare.

— À ce niveau-là, Bethany est championne du monde.

Avec ses cheveux blond-blanc attachés en queue de cheval, son regard gris acier et sa belle musculature, mon frère possédait les attributs du guerrier céleste ; en revanche, son jean délavé et son tee-shirt ample étaient tout ce qu’il y avait de plus humain. À ma grande joie, il affichait un air aimable et détendu, signe que ma famille acceptait de mieux en mieux mes choix personnels.

— Comment se fait-il que tu arrives toujours avant moi, Gab ? lui ai-je demandé. Je rentre en voiture, et toi à pied !

— J’ai mes petits secrets… et je ne m’arrête pas toutes les deux minutes pour exprimer mon affection.

— On ne s’arrête pas pour « exprimer notre affection » !

— Ah bon ? Ce n’était pas la voiture de Xavier qui était garée à deux rues du lycée ?

— Peut-être, ai-je admis à contrecoeur, mais toutes les deux minutes, tu exagères.

— Cool, Bethany ! a gloussé Ivy. Maintenant, on sait que tu kiffes les effusions en public.

— C’est quoi, ce langage ? ai-je soufflé.

Je ne l’avais jamais entendue parler ainsi ! Au contraire, dans le monde moderne, ses formules vieillottes détonnaient souvent.

— Je côtoie les jeunes, tu sais. J’essaie de rester chébran.

J’ai éclaté de rire, imitée par Gabriel.

— Commence déjà par ne plus dire « chébran », ma grande.

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Mon pouls s’est emballé ; j’ai commencé à transpirer. Jake a effleuré ma poitrine luisante et, un sourire satisfait aux lèvres, a commenté :

— Tu t’amuses bien, en fin de compte ?

— On peut boucler ça en vitesse ? ai-je lancé, dégoûtée.

— Tes désirs sont des ordres. Il s’est mis torse nu, m’a mordillé l’oreille et susurré en me léchant le cou du bout de la langue :

— Tu trouves ça intense ? Ce n’est que le début. Tu verras, tu auras l’impression d’exploser.

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En croisant son regard, j'ai compris que mon monde se résumait à lui et que jamais je ne pourrais le quitter.

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Fantôme s'est mis à grogner et a bondi du canapé pour aller renifler sous la porte.

- Qu'est-ce qu'il vient faire ici, celui-là ? a marmonné Gabriel tout bas. Il n'avait pas besoin d'ouvrir la porte pour savoir qui se trouvait derrière.

- C'est qui ? ai-je murmuré en coeur avec Ivy.

- Nul autre que notre héroïque capitaine de collège.

- Xavier Woods ? ai-je soufflé, incrédule, en me regardant vite fait dans le miroir.

Il n'était pas tard, mais j'étais déjà en pyjama, celui avec des vaches. Ivy a eu l'air amusé.

Je me suis blottie derrière le canapé.

- Je t'en prie, n'ouvre pas, je ne veux pas qu'il me voie comme ça !

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Pour moi, le plus frustrant était le mot Aimer. Tant de signification pour un si petit mot. Les gens le prononçaient a tort et à travers, pour parler de leur attachement à un objet, un animal, un lieu de vacances ou encore un plat appétissant. Et ils pouvaient l'associer dans la même phrase à la personne la plus importante de leur vie. Franchement, quelle insulte ! Il aurait dû y avoir d'autre termes pour décrire les émotions les plus intenses. D'autant plus que l'amour était le principal souci des humains. Ils cherchaient tous désespérément la personne qu'ils pourraient appeler leur "moitié". D'après ce que j'ai lu, être amoureux revenait à n'avoir plus qu'une seule personne en tête. Le reste du monde n'avait plus aucune importance aux yeux des amoureux. La moindre séparation les rendait mélancoliques et les retrouvailles faisaient palpiter leur cœur à nouveau. La puissance de ce sentiment me laissait songeuse. L'être aimé pouvait devenir si cher que son visage resterait à jamais gravé dans votre mémoire. On pouvait tenir à cette personne plus qu'à sa propre vie. Incroyable ! Nous, les anges, n'avions pas le droit de tomber amoureux.

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