Les extraits ajoutés par Mathou17
« les personnes qui savent
Regarder avec le cœur savent combien tu es brisée.
combien tu veux être aimée.
seule une âme fendue peut en comprendre une autre. »
Afficher en entierTu étais comme une vague qui revenait sans cesse vers moi, parfois tu t’éloignais, souvent un peu trop, mais tu revenais toujours.
J’ai pris l’habitude de te regarder aller et venir, t’observer partir avant de te voir revenir, je m’y attendais toujours, je savais que tu le ferais…Mais cette fois-ci, tu es parti, tu as disparu au loin et je ne t’ai plus jamais revu.
J’ai longtemps hésité à me lever, à partir à ta recherche, quitte à me noyer dans un océan froid qui ne portait désormais plus ton nom, mais j’ai compris que tu venais caresser le cœur d’une autre, et que tu n’allais sûrement jamais revenir frôler le mien
Afficher en entier« Torturée
entre
l’envie
d’aimer
encore
plus fort
et l’envie
de fermer
mon cœur
à tout
jamais »
Afficher en entierJ’aurais préféré devenir amnésique plutôt que de trop bien me rappeler de ton prénom et de tout ce qu’il représentait pour moi, réussir à l’effacer et le remplacer par un autre, comme toi tu l’avais fait. J’aurais aimé ne plus pouvoir me rappeler de ton si joli sourire lorsqu’il n’était plus pour moi, pouvoir oublier la couleur de tes yeux, le son de ta voix et celui de ton rire qui résonnait encore au creux de mon cœur. J’aurais voulu effacer les souvenirs et les silhouettes de nos fantômes qui continuaient de vivre à mes côtés
Afficher en entier« - Au moment où tu as fait voler la cuve en éclats, c’était pareil que le Grand Feu.
C’est comme ça que je le ressens en tout cas. Quand les flammes se sont abattues sur terre, le temps s’est divisé entre l’Avant et l’Après ; quand tu as cassé la paroi de verre , j’ai basculé d’un monde à un autre. Les projections de verre, le déferlement de l’eau, le fracas assourdissant, mon corps éjecté : le voilà, mon grand Feu à moi.
J’avais grimacé en revivant ces événements
- Avant ça, avait-il continué, il n’y a qu’un passé perdu à tout jamais. Bien sûr que ça me rend triste, bien sûr que j’aimerais m’en souvenir. Mais tout ce qui s’est passé depuis l’explosion de la cuve, c’est mon Après. C’est tout ce que j’ai et je dois l’accepter. Et, même si j’ai du mal à expliquer tout ça , ça n’en demeure pas moins grisant. Je renais ! »
Afficher en entier"C'est mieux ainsi,soeurette.Pour profiter de la vie,il faut savoir prendre des risques."
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